* Ceux et celles qui dépendent de l'aide sociale, du salaire minimum garanti par l'État, devront très bientôt se soumettre à ce type d'identification dans à peu près tous les pays du monde. Notez que l'Indes procède, depuis quelques mois, au recensement biométrique de sa population:
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2012/01/le-recensement-biometrique-obligatoire.html
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2012/01/le-recensement-biometrique-obligatoire.html
L'USDA, département de l'agriculture, qui gère le programme de coupons alimentaires pour les personnes démunies, se tourne vers l'identification biométrique obligatoire pour les citoyens qui voudront obtenir de l'aide alimentaire.
La technologie d'identification biométrique sera obligatoire pour identifier toute personne qui veut se prévaloir des coupons alimentaires qui servent à nourrir des millions de personnes aux États-Unis à chaque mois. L'identification s'effectue par les empreintes digitales, par le scan de la paume de la main, par les caractéristiques des yeux et du visage, ainsi que par les caractéristiques de comportement, incluant la signature et la voix.
Ces systèmes d'identification sont actuellement opérationnels, à certains niveaux, en Arizona, en Californie, au Connecticut, dans l'Illinois, Massachusetts, New Jersey, New York et Texas. Le scan du doigt est la principale forme de technologie utilisée dans les huits États, bien que d'autres technologies sont à l'essai, dont la reconnaissance faciale et le balayage de la rétine de l'oeil. D'autres États sont en voie de se prémunir de ce système biométrique pour contrôler les bénéficiaires des coupons alimentaires.
Source:
D'où l'importante de ne pas accepter le revenu d'existence garanti, si alléchant soit-il!
RépondreSupprimerTara
Je viens de tomber sur ceci:
RépondreSupprimer« Le nombre d’Américains qui reçoit des coupons alimentaires, soit 47,1 millions, a atteint un nouveau record en août de cette année, selon les plus récentes statistiques du département de l’Agriculture. Ce nombre a augmenté d’un million par rapport à l’année dernière et de plus de 50 % depuis octobre 2008, lorsque la statistique s’établissait à 30 millions. À Washington D.C., la capitale du pays, et dans l’État du Mississippi, plus du cinquième des résidents reçoivent maintenant des coupons alimentaires.
Une personne qui bénéficie des coupons alimentaires reçoit en moyenne l’équivalent de 130 $ par mois, ou environ 4,33 $ par jour, soit moins que le prix d’un café dispendieux dans le bas Manhattan.
Néanmoins, un projet de loi qui est maintenant débattu au Sénat américain priverait ce programme de milliards de dollars sur 10 ans, ce qui précipiterait un nombre incalculable d’enfants, de personnes âgées et de malades dans la pauvreté.
Quelque 50 millions de personnes souffrent d’insécurité alimentaire aux États-Unis, par rapport à 36 millions en 2007 ; 17 millions de ceux qui ont faim sont des enfants.
(…) Le mot « pauvreté » n’apparaît pratiquement jamais dans les discours et les commentaires du président Barack Obama, élu au plus haut poste, dans un pays où la moitié de la population est soit pauvre ou presque pauvre. L’administration Obama est le parfait exemple de l’inhumanité de l’aristocratie financière et de ses serviteurs politiques.
L’élection de novembre derrière eux, les démocrates et les républicains s’affairent maintenant à attaquer les programmes gouvernementaux et ce qui reste du « filet de sécurité » social. Pour de tels programmes, « il n’y a pas d’argent ». Au même moment, les partisans multimillionnaires des politiciens amassent les profits records et profitent des fortunes de la bourse de Wall Street.
Que la pauvreté abjecte et la misère doivent cohabiter avec la richesse la plus extravagante et la plus absurde est une réalité inévitable, tout à fait naturelle, pour les deux partenaires de la grande entreprise et tous les pourvoyeurs de sagesse politique aux États-Unis. La population, qui elle n’a jamais été consultée sur ces questions, bouillonne de colère, malgré la confusion qui peut subsister. La société américaine, sclérosée, injuste et inégale, se dirige tout droit vers des soulèvements sociaux.»
Ça va en faire du monde micropucé...
Parfois on se demande à qui pourrait bien servir cette grosse crise...
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