dimanche 31 mars 2013

La "Porte de l'Enfer" de Hiérapolis (cité antique située en Turquie) trouvée et fouillée par des archéologues italiens!

Fondée au 2ème siècle av. J.-C. par Eumène II, roi de Pergame, la cité antique de Hiérapolis se trouve au sommet de la butte de Pamukkale, dominant la plaine de 70 mètres. Elle se développa grâce à l'exploitation de ses sources thermales. Hiéra était le nom de la femme de Téléphore, fondateur légendaire de Pergame. La ville était dédiée à Pluton et à Apollon, qui avait un oracle dans les sous-sols du temple d'Apollon.*  [Wikipedia]

« Écris à l'ange de l’Église de Pergame : « Voici ce que dit celui qui tient l'épée aiguë à deux tranchants : Je connais [tes œuvres et] l’endroit où tu es établi : là se trouve le trône de Satan. Tu es fermement attaché à mon nom et tu n'as pas renié la foi en moi, même durant les jours où Antipas, mon témoin fidèle, a été mis à mort chez vous, là où Satan est établi (...) » (Apocalypse, 2, 12 et 13)

Et lisez bien la suite parce que la porte de l'enfer s'ouvrira à nouveau dans des temps de grandes tribulations...  Le "puits de l'abîme" vient du mot grec ἄβυσσος abyssos, ce qui signifie "abysse"...

« Le cinquième ange sonna de la trompette. Et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la terre. La clef du puits de l'abîme lui fut donnée, et elle ouvrit le puits de l'abîme. Et il monta du puits une fumée, comme la fumée d'une grande fournaise ; et le soleil et l'air furent obscurcis par la fumée du puits. (...)  Elles [les sauterelles] avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon.»


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Une expédition archéologique de l'Université de Salento a enfin trouvé l'ancienne Hiérapolis en Phrygie, la «Porte de l'Enfer» dont parlent différents auteurs de l'Antiquité.

La découverte a été faite par l'équipe dirigée par le professeur Francesco D'Andria, responsable des fouilles dans la ville hellénistique-romaine, dont les ruines sont situées en Turquie près de la ville de Pamukkale.  La découverte a été annoncée lors d'une conférence organisée par l'ambassadeur de l'archéologie en Turquie.

La "Porte de l'Enfer" était le lieu où on offrait des sacrifices au dieu Pluton, le seigneur de l'Hadès (Ploutonion en grec, en latin plutonium), selon la mythologie gréco-romaine.   

Déversement de pétrole canadien en Arkansas

* Ce n'est pas un petit dégât!  Regardez les photos sur ce lien:
http://www.thv11.com/news/article/257413/2/Pipeline-ruptures-sending-oil-into-Lake-Conway#.UVZZtXI-C0A.facebook

La pétrolière Exxon Mobil annonce que des équipes travaillent toujours à contenir et à nettoyer un déversement majeur de pétrole survenu à Mayflower, en Arkansas. Le déversement est survenu à la suite du bris d'un des oléoducs transportant du pétrole issu des sables bitumineux albertains.

La rupture de cet oléoduc a causé la fuite d'environ 10 000 barils de pétrole provenant de la région de Wabasca, en Alberta. Exxon Mobil affirme qu'environ 4500 barils de pétrole et d'eau ont été récupérés, jusqu'à présent.

Les employés tentent aussi d'empêcher la nappe de pétrole d'atteindre un lac voisin, alors qu'une vingtaine de maisons ont été évacuées dans le secteur.

Exxon Mobil avait interrompu le flot de l'oléoduc vendredi après-midi, après avoir détecté la fuite. Une enquête est en cours pour déterminer la cause du bris.

La structure en question permet d'acheminer 90 000 barils de pétrole quotidiennement de Patoka, en Illinois, jusqu'à des raffineries situées près de la côte du golfe du Mexique, au Texas

Projet Keystone XL

Cette fuite survient alors que le département d'État américain étudie le projet de pipeline Keystone XL, qui permettrait d'acheminer du pétrole des sables bitumineux canadiens aux États-Unis. Les partisans de cette initiative soutiennent que le pipeline permettra de diminuer les coûts de l'essence aux États-Unis, tandis que les environnementalistes s'opposent au projet.

Certains d'entre eux affirment que le pétrole des sables bitumineux est plus corrosif que le pétrole conventionnel, ce qui rend son transport par pipeline plus hasardeux.

Il s'agit du deuxième évènement du genre à se produire dans les derniers jours. Mercredi, un train transportant du pétrole brut canadien a déraillé au Minnesota, déversant des milliers de litres de carburant.

Source:http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2013/03/31/001-arkansas-oleoduc-fuite-petrole-canadien.shtml

Espagne: séisme de magnitude 4,9 sur l'île volcanique de El Hierro

* Une cinquantaine de séismes ont été enregistrés dans les tous derniers jours et un effondrement s'est produit bloquant certains accès.  Le 4.9 est le plus important  séisme jamais enregistré dans les dernières années.  La pression du magma est telle qu'un côté de l'île s'est élevé de 11 cm.

Un séisme de magnitude 4,9 a secoué dimanche El Hierro, dans l'archpel espagnol des Canaries, la plus forte des secousses enregistrées par l'Institut géographique national sur l'île volcanique depuis plus de dix jours, du fait d'un regain d'activité sismique.

L'épicentre du séisme de magnitude 4,9, enregistré à 10H59 GMT, était situé dans l'Atlantique, à 20 kilomètres de profondeur et à une dizaine de kilomètres à l'ouest de l'île de El Hierro, où la population a ressenti la secousse, a précisé l'IGN.

Plus tôt dimanche, à 09H40 GMT, un autre séisme, de magnitude 4,5, enregistré à 20 kilomètres de profondeur dans le même secteur, avait également été ressenti sur l'île, selon l'IGN.

Depuis le 18 mars, des centaines de secousses, associées à une activité volcanique sous-marine, ont été enregistrées dans la même zone, dont deux séismes de magnitude 4,6 recensés vendredi et mercredi.

Face au regain d'activité sismique, le gouvernement régional des Canaries a décrété mercredi soir plusieurs "mesures de protection" des habitants de l'ouest de l'île: il a élevé le niveau d'alerte dans cette zone, jusqu'au niveau intermédiaire, "jaune", sur une échelle de trois, et fermé deux tronçons de route ainsi que la voie la plus proche de la paroi d'un tunnel de cette zone.

La direction de la Protection civile des Canaries avait décidé de maintenir ces mesures vendredi, indiquant alors que "l'activité sismique s'est déplacée vers le sud-ouest au cours des dernières 24 heures".

Pendant l'été et l'automne 2011, des milliers de secousses, la plupart très faibles, avaient secoué la petite île espagnole, perchée dans l'Atlantique sur un ancien volcan sous-marin et peuplée de 10.000 habitants.

Le 10 octobre 2011, une éruption volcanique sous-marine s'était produite à cinq kilomètres de ses côtes, deux jours après une secousse de magnitude 4,3.

Pendant des mois, l'île de 287 kilomètres carrés, la plus à l'ouest de l'archipel des Canaries, avait vécu au rythme de cette intense activité sismique, surveillée avec inquiétude par les équipes de vulcanologues et par les habitants dont des centaines avaient dû être évacués.

Source:
http://www.elwatan.com/depeches/espagne-seisme-de-magnitude-4-9-sur-l-ile-volcanique-de-el-hierro-31-03-2013-208590_167.php



Suivi de la situation:
http://earthquake-report.com/2011/09/25/el-hierro-canary-islands-spain-volcanic-risk-alert-increased-to-yellow/

1 avril 2013: La Corée du Sud annonce son plan de "dissuasion active" contre les menaces d'attaque de la Corée du Nord


* Cette nouvelle vient tout juste de sortir sur le réseau sud-coréen Yonhap News.  Les choses semblent se corser d'heure en heure.  Un "false flag" sera-t-il nécessaire pour justifier l'entrée en guerre ou les rumeurs de guerre seront-elles suffisantes pour justifier une "attaque préventive"?  

Le Ministère de la Défense de la Corée du sud a dévoilé lundi un nouveau plan d'urgence de "dissuasion active" qui permet à son armée de lancer une attaque préventive [suicide collectif] contre la Corée du Nord si le Nord montre des signes d'une attaque nucléaire imminente ou une attaque de missile sur le Sud.  

Source:
http://english.yonhapnews.co.kr/news/2013/04/01/0200000000AEN20130401003700315.HTML 

Les mortalités de masse d'animaux marins sont toujours d'actualité et une loi du silence semble régner pour ne pas alerter l'opinion publique

Starving, Dying Sea Lions Washing Up On Southland Beaches

“Manatees Dying in Droves on Both Coasts of Florida” — Deaths of pelicans, turtles, dolphins also increasing — “Scientists fear this is the beginning of a devastating ecosystem collapse”

TV: Dead dolphin spike in Louisiana, Mississippi — “We have been advised not to discuss our findings” — Mostly babies washing up (VIDEO)

The Wall Street Journal: "Les États-Unis déplacent des chasseurs furtifs en Corée du Sud".

Des avions de combat F-22 furtifs sont arrivés en Corée du Sud, dimanche, pour des exercices conjoints.  Les responsables américains de la Défense ont dit que la dernière démonstration des fonctionnalités des avancées militaires avait pour but de décourager les provocations de Pyongyang.

L'arrivée des F-22 s'est faite suite aux affichages précédents de la puissance aérienne américaine qui comprenait des bombardiers B-52 et des bombardiers furtifs B-2Les F-22 sont habituellement stationnés au Japon, à la base aérienne de Kadena, mais il se sont rendus à la base aérienne Osan en Corée du Sud pour des exercices continus.

Lire la suite:
http://online.wsj.com/article/SB10001424127887324883604578394330559756950.html

North Korea Missile Launch Sites Said To Show Increased Activity


South Korea’s Yonhap news agency reported on Friday additional troop and vehicle movements at the North’s mid- and long-range missile sites, saying this indicates they may be ready to fire
The report from Reuters notes “It was impossible to verify the report”.

CNN: "State media: North Korea in 'state of war' with South, threatens to 'dissolve' U.S."

* Il semble bien que la déclaration de guerre de la Corée du Nord contre la Corée du Sud n'est pas une rumeur puisque la nouvelle se trouve sur une majorité de médias internationaux.  Une attaque pourrait être lancée dans les prochaines heures, prochains jours, et la Pâques catholique de dimanche pourrait nous enlever les envies de célébrer et de se gaver de chocolat!


(CNN) -- North Korea has entered a "state of war" with neighboring South Korea, according to a report Saturday from the state-run Korean Central News Agency that included a threat to "dissolve" the U.S. mainland.

"Any issues regarding North and South will be treated in accordance to the state of war," the report said. "... The condition, which was neither war nor peace, has ended."

Le survol du territoire sud-coréen par deux bombardiers américains est considéré par Pyongyang comme une menace de « guerre nucléaire ». Kim Jong-un ordonne des préparatifs pour des frappes de missiles vers les États-Unis


Une mise en scène nocturne dans la salle de commandement des opérations militaires. Avec, en fond d'écran, les plans de frappe des forces stratégiques nord-coréennes contre les États-Unis. Des dizaines de milliers de civils et de militaires appelés à défiler contre les «impérialistes américains». Et un Kim Jong-un en colère qui met en alerte les fusées de l'Armée populaire et menace de «frapper sans pitié» le continent nord-américain ainsi que les bases américaines en Corée du Sud et dans le Pacifique, y compris Hawaï et Guam. Dans le théâtre de guignol nord-coréen qui multiplie les représentations depuis le début de l'année, les acteurs ont franchi une étape supplémentaire vendredi.

Les gesticulations militaires de Pyongyang répondent au survol du territoire sud-coréen par deux bombardiers furtifs B2 américains, considéré par Kim Jong-un comme un «ultimatum» et une menace de «guerre nucléaire». Le téléphone rouge militaire entre les deux Corées a été coupé, faisant ainsi disparaître le dernier lien direct entre le Nord et le Sud. La tension est entretenue par Moscou, qui a mis en garde contre des «actions unilatérales» du Nord qui risqueraient de «faire perdre le contrôle de la situation».

Malgré cette escalade verbale, aucun expert ne prend au sérieux le risque d'une nouvelle guerre dans la péninsule coréenne. Le régime de Pyongyang n'ayant pas encore réussi à tester des missiles balistiques intercontinentaux, il n'est pas en mesure de frapper les États-Unis. Les bruits de bottes nord-coréennes viseraient davantage à forcer Washington à revenir à la table des négociations et à exercer des pressions sur le Sud pour obtenir un assouplissement de sa politique.

Pacte militaire

La tension est montée à Pyongyang juste après l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de nouvelles sanctions pour protester contre un troisième test nucléaire nord-coréen. La rhétorique belliqueuse du dernier régime stalinien de la planète vise aussi sans doute à resserrer l'unité nationale autour du jeune Kim Jong-un, porté au pouvoir en décembre 2011.

La Corée du Nord a toujours testé l'arrivée d'un nouveau leader au Sud - Park Geun-hye vient de s'installer à Séoul - en menaçant de faire voler en éclats la fragile paix entre le Nord et le Sud. Elle a toujours salué par une brusque montée de tension les manœuvres conjointes qui se déroulent chaque année entre les États-Unis et la Corée du Sud. Celles qui ont eu lieu cette année étaient particulièrement importantes, puisqu'elles ont accompagné la signature d'un nouveau pacte militaire entre les deux pays. En promettant une réponse conjointe à toute provocation du Nord, même mineure, comme une incursion «limitée», Séoul et Washington ont renforcé leur alliance.

Rien de nouveau, donc. Dans la région, personne n'a envie d'une nouvelle guerre de Corée. Surtout pas le Nord, qui sait bien qu'attaquer les États-Unis équivaudrait à un suicide. Reste qu'il est impossible d'exclure un incident. En donnant l'impression qu'il précipite son pays au bord du conflit, Kim Jong-un attire l'attention sur la fragilité de l'armistice entre le Nord et le Sud. La péninsule n'est pas à l'abri d'une altercation navale dans les eaux disputées de la mer Jaune, comme ce fut le cas à trois reprises depuis 1999. Si la Corée du Nord n'a pas encore d'engins balistiques, elle a testé avec succès des missiles Scud à courte portée, pouvant atteindre le Sud et le Japon. Des menaces qui s'inscrivent parfaitement dans le recentrage stratégique américain en Asie et dans le Pacifique.

Source:

Le leader nord-coréen veut préparer ses missiles à frapper les Etats-Unis

Le numéro un nord-coréen Kim Jong-un a ordonné que les unités de fusées de l'armée populaire soient placées en état d'alerte, prêtes à viser les bases américaines en Corée du Sud et dans le Pacifique, rapporte vendredi l'agence de presse nord-coréenne KCNA.

Cette décision prise lors d'une réunion d'urgence convoquée en pleine nuit fait suite au survol du territoire nord-coréen par des bombardiers furtifs de l'US Air Force. 

Lors de la réunion avec des chefs militaires, Kim "a jugé que le temps était venu de régler les comptes avec les impérialistes américains, étant donné la situation actuelle", ajoute KCNA. 

"Il a finalement signé un ordre sur les préparatifs techniques des fusées stratégiques de l'armée populaire, ordonnant qu'elles soient placées en alerte afin d'être en mesure de frapper à n'importe quel moment le continent américain, les bases militaires américaines sur les théâtres d'opération dans le Pacifique, notamment Hawaï et Guam, et les bases en Corées du Sud", poursuit l'agence. 

Source:

La zone située là où se trouve le « sinkhole » du Bayou en Louisiane a été déclarée en état d’alerte (code 2) aujourd’hui après qu'une rampe d'accès se soit effondrée et que l'activité sismique du sous-sol ait été observée à la hausse


Il y a quelques jours, la superficie de l’effondrement était de 12-13 acres.  C’est sans compter les parcelles de terre qui ont été englouties dans les derniers jours, dans les dernières heures.  Les mass-médias ne semblent porter aucun intérêt sur cet évènement aux proportions potentiellement apocalyptiques.  Ce que l’on sait, c’est que le sol est extrêmement friable, que des bulles de méthane sont expulsées du gouffre depuis plusieurs semaines, que des matières toxiques et radioactives sont entreposées à quelques kilomètres du site, que des portions significatives de terre sont avalées presque quotidiennement, que des secousses sismiques sont mesurées ponctuellement au point de faire cesser les travaux d’experts, que la situation pourrait entraîner des conséquences locales dévastatrices et extrêmement meurtrières, ainsi que des conséquences régionales dramatiques (secteur tout près du Golfe du Mexique).  Mais ce n'est d'aucun intérêt tant qu'il n'aura pas de morts!

Le Bureau de la Conservation, en concertation avec les services d’urgence de la paroisse de l’Assomption, avise le public que le statut d’alerte a été relevé au code 2.  Il a été exigé que tous les travaux soient arrêtés jusqu’à nouvel ordre.  La surveillance sismique a détecté une activité élevée dans le sous-sol de la zone autour du gouffre ainsi qu'un mouvement de fluide et de gaz en dessous du gouffre.  Un bourbier a été observé le long du côté sud-est du gouffre, ce matin, et l’accès à cette zone s’est effondré.  Le suivi est constamment en cours dans la région et le Bureau de la Conservation continuera à informer le public des changements importants concernant les conditions du sous-sol.

Chypre: les retraits limités à 300 euros par jour

* Comme la crise bancaire en Argentine de 2001, de Turquie, et de plusieurs autres pays, les citoyens de Chypre sont pris en otage et très bientôt, ce seront tous les épargnants du monde qui seront pris au piège.  Sortez des banques!

Un autre gigantesque effondrement de terre dans l'État de Washington, dont la cause est inconnue, dans la journée d'hier

* Tous ces effondrements et "sinkholes" se multiplient, particulièrement sur le territoire américain depuis 2011-2012, et ils n'augurent rien de bien rassurant puisque la cause n'est pas connue du grand public.  Des experts savent forcément ce qui provoque ces immenses gouffres, mais si la cause réelle devait être révélée un état de panique incontrôlable et "inutile" pourrait être déclenché.


La Corée du Nord coupe le son (diplomatie)


La menace nord-coréenne est-t-elle crédible? De la réponse à cette épineuse question tient peut-être l’avenir proche des Etats-Unis et surtout de la Corée du Sud. Depuis les nouvelles sanctions internationales prises par les Nations unies en réponse au troisième essai nucléaire de février, Pyongyang bombe le torse et se lance dans une escalade de provocation dont on redoute une fin armée. Dans un premier temps, la Corée du Nord a décrété l'abrogation de l'armistice de 1953, conclusion négociée de la Guerre de Corée. Elle a ensuite menacé Washington d'attaque nucléaire «préventive» et Séoul de «destruction finale». Mardi, alors que des bombardiers B-52 américains ont survolé la péninsule coréenne dans le cadre d’exercices militaires communs avec la Corée du Sud, Pyongyang a encore durci son discours, rapportait l'agence officielle nord-coréenne KCNA.

«A partir de cet instant, le commandement de l'Armée populaire coréenne va placer en position de combat n°1 toutes ses unités d'artillerie, dont ses unités de missiles stratégiques à longue portée, qui viseront tous les éléments ennemis des bases impérialistes américaines sur le continent, à Hawaii et à Guam», écrivait KCNA. Une déclaration prise avec sérieux par Washington. «Ils (les Nord-Coréens) doivent cesser de menacer la paix dans la péninsule, cela n'est bon pour personne. Nous sommes prêts à répondre à toute éventualité», annonçait le porte-parole du ministère américain de la Défense, George Little. Les Etats-Unis ont renforcé leur défense antimissile en Alaska pour parer à toute éventualité.

"LA GUERRE PEUT ÉCLATER À TOUT MOMENT"

Mercredi, Pyongyang a prévenu qu’elle allait couper «le téléphone rouge» avec la Corée du Sud, un dernier lien de communication entre les deux pays, estimant que la guerre pouvait désormais éclater «à tout moment». «Dans une situation où une guerre peut éclater à tout moment, il n'y a pas besoin de conserver des communications militaires entre le Nord et le Sud (...)», a déclaré un porte-parole militaire de Pyongyang, cité par l'agence de presse officielle KCNA. Le Nord a déjà cessé de répondre au «téléphone rouge» reliant Pyongyang au commandement militaire américain chargé de superviser la zone démilitarisée (DMZ) entre le Nord et le Sud ainsi que la ligne téléphonique de la Croix-Rouge utilisée par les deux Etats de la péninsule, toujours techniquement en guerre depuis l'armistice de 1953.

Le surprenant discours de janvier dernier de Kim Jong-un parait bien loin. Le nouveau maître de la Corée du Nord expliquait dans un discours télévisé qu’«un élément déterminant pour une solution à la division du pays et sa réunification est de mettre un terme à l'affrontement entre le Nord et le Sud». «L'affrontement entre compatriotes ne mène qu'à la guerre», concluait le successeur à Kim Jong-il. Mais ça, c’était avant…

Les Etats-Unis montrent leurs muscles à la Corée du Nord

Les B-52 n'ont pas calmé la logorrhée du régime de Kim Jong-un ? Pas de problème. Barack Obama a mieux en magasin. Des bombardiers furtifs B-2. Selon un communiqué du commandement des forces américaines en Corée du Sud, deux bombardiers B-2 Spirit partis de la base aérienne Whiteman, au Missouri, ont volé jusqu'en Corée du Sud pour larguer des munitions factices sur des cibles en territoire sud-coréen.

Ce vol, qui s'inscrit dans le cadre des vastes exercices conjoints organisés chaque année entre les forces américaines et sud-coréennes, "démontre la capacité des Etats-Unis à réaliser sans délai et sans restriction des frappes de précision à longue distance", affirme le commandement.

"UNE GUERRE THERMONUCLÉAIRE"

L'annonce devrait provoquer une vive réaction de Pyongyang qui avait déjà menacé ce mois-ci de bombarder le territoire américain ou ses îles de Guam et de Hawaï, en riposte aux vols d'entraînement de B-52 au-dessus de la Corée du Sud. Le B-2, utilisé pour la première fois en Serbie (1999) puis en Afghanistan et en Libye (2011) notamment, "est un élément important de la capacité de dissuasion des Etats-Unis dans la région Asie-Pacifique", précise le communiqué américain.

Pyongyang dénonce les provocations américaines et sud-coréennes et se dit prêt à y répondre au risque de déclencher "une guerre thermonucléaire" dans la péninsule coréenne. Avec 11 000 km d'autonomie, le B-2 est une arme redoutable conçue pour des missions spéciales de bombardement stratégique.

Réputé indétectable, volant autour de la vitesse du son, il peut emporter jusqu'à 18 tonnes d'armement conventionnel ou nucléaire, dont 16 bombes de 900 kilos guidées par satellite ou des bombes antibunker. Le secrétaire américain à la défense, Chuck Hagel, a réaffirmé "l'engagement inébranlable des Etats-Unis dans la défense de la Corée du Sud" face aux menaces nord-coréennes dans un entretien téléphonique avec son homologue sud-coréen.

EXPERTS EN "RHÉTORIQUE"

Des experts en Corée du Sud estiment que Pyongyang arrive au bout de ses menaces sans provoquer l'effet escompté, à savoir obtenir de la communauté internationale qu'elle retourne à la table des négociations selon ses propres modalités. Les Nord-Coréens "placent toujours plus haut la barre de la rhétorique, mais la communauté internationale ne réagit pas comme ils l'espéraient", avance Cho Han-bum, analyste à l'Institut coréen pour l'unification nationale.

L'acrimonie nord-coréenne s'explique également, selon eux, par l'arrivée au pouvoir à Pyongyang du jeune Kim Jong-un en 2011, qui l'oblige à asseoir son autorité sur l'armée, et par l'élection à la présidence sud-coréenne de la dirigeante du parti conservateur, toujours très hostile au régime du nord depuis la guerre de Corée (1950-53).

North Korea warns of 'simmering nuclear war' (Aljazeera)


North Korea has again threatened war against South Korea and the United States, saying conditions "for a simmering nuclear war" have been created on the peninsula.

The communist state's foreign ministry said it will inform the UN Security Council of the latest situation, as tensions continue to simmer on Wednesday.

"Upon authorisation of the Foreign Ministry, the DPRK openly informs the UN Security Council  that the Korean Peninsula now has the conditions for a simmering nuclear war," the statement said. "This is because of provocation moves by the US and South Korean puppets".

As this developed, the North announced it was cutting a military hotline with the South, meaning that all direct inter-government and military contact has been suspended after it previously cut a Red Cross link.

"From now, the North-South military communications will be cut off," the North Korean state news agency quoted a military official as saying.

In another sign of brewing tensions, a South Korean soldier standing on guard at the inter-Korean border threw a grenade towards a moving object in the dark early Wednesday, sparking a short-lived alarm.

At daylight, a patrol searched the area but there was no trace of any infiltration from North Korea, a South Korean ministry spokesman said.

A precautionary alert, which had been issued for South Korean units in the northeastern county of Hwacheon, was consequently lifted.

Earlier in the day, the North had repeated threats to target US military bases.

Pyongyang said its military would put all field artillery units, including long-range artillery units and strategic rocket units, into combat duty position that will target all "enemy objects" in the US, "invasionary" bases on its mainland, Hawaii and Guam.

The rhetoric from North Korea drew more concern from China, Pyongyang's only major ally, which said the situation was "sensitive".

'Attention-seeking behaviour'

In an interview with Al Jazeera, Leonid Petrov, a Korea expert at Sydney's Australian National University, said North's "attention-seeking behaviour" is in response to it feeling "cornered" by the international community.


"The regime wants the people of North Korea to be consolidated behind its young leader Kim Jung-un," Petrov said.

But Petrov also said he doubts the North will attack first, adding that its capability to target the US remains limited. Still, he warned that if something happens between the North and the US, "definitely Seoul is going to suffer".

On the other hand, Petrov said, the North is also hinting that it is ready to negotiate.

"Pyongyang really want to have a peaceful, diplomatic solution to the growing problem," he said. 

South Korea and the US military are conducting military drills until the end of April, which they have stressed are strictly defensive in nature.

The North accuses Washington of war preparations by using B-52 bombers, which have flown over the Korean peninsula as part of the drills, and it has abrogated an armistice that ended the 1950-53 Korean War.

La Corée du Nord coupe son téléphone rouge militaire avec le Sud


SEOUL (AFP) - La Corée du Nord a annoncé mercredi que son armée coupait la ligne téléphonique d'urgence avec son homologue de la Corée du Sud, plusieurs jours après avoir suspendu le "téléphone rouge" entre les deux gouvernements et menacé Séoul et les Etats-Unis d'une attaque nucléaire.

"A partir de maintenant, toutes les communications militaires Nord-Sud sont coupées", a déclaré l'agence de presse gouvernementale nord-coréenne KCNA, citant un haut responsable militaire.

"Dans une situation où une guerre peut éclater à tout moment, il n'est plus besoin de maintenir" ces communications, a ajouté ce responsable. La ligne sera suspendue "aussi longtemps que dureront les actes hostiles et anachroniques du Sud".

Mi-mars, le Nord avait interrompu le téléphone rouge entre Pyongyang et Séoul, lien de communication en cas d'urgence. Cette ligne, installée en 1971, avait déjà été suspendue à cinq reprises par le Nord, la dernière fois en 2010.

Source:

La Corée du Nord menace de frapper les Etats-Unis, Guam et Hawaï


* La multiplication des menaces de la part de la Corée du Nord nous semble ridicule et presque enfantine, mais il n'en reste pas moins que cette folie verbale pourrait devenir le cauchemar de toutes les nations de la terre.  Une troisième guerre mondiale est inévitable, elle est inscrite à l'agenda maçonnique (Albert Pike) et à l'agenda prophétique (prophétie de Daniel).  Nous ne connaissons ni l'heure ni le jour, mais nous savons que la saison est proche...

La Corée du Nord a placé son armée en ordre de combat mardi et demandé à ses unités spéciales "stratégiques" de se préparer à d'éventuelles frappes contre les Etats-Unis, et les îles de Guam et de Hawaï dans le Pacifique, a indiqué l'agence officielle nord-coréenne.

"Le commandement de l'armée du peuple coréen déclare que toutes les troupes d'artillerie, y compris les unités stratégiques de missiles et les unités d'artillerie à longue portée doivent être placées en alerte +prêtes au combat+", selon KCNA.

Ces unités doivent se tenir prêtes à attaquer "toutes les bases militaires américaines dans la région Asie-Pacifique, y compris sur le continent nord-américain, Hawaï et Guam" ainsi qu'en Corée du Sud, a ajouté le commandement dans le communiqué transmis par KCNA.

Malgré le tir réussi d'une fusée le 12 décembre dernier --assimilé par Séoul et ses alliés à un missile balistique--, les experts jugent que Pyongyang est loin de maîtriser la technique requise pour lancer un missile intercontinental, capable de frapper les Etats-Unis.

Hawaï et Guam sont également considérés comme hors de portée des missiles de moyenne portée développés par la Corée du Nord, qui pourraient en revanche atteindre les bases au Japon et en Corée du Sud.

Vendredi, Séoul et Washington ont renforcé les conditions de leur pacte de coopération militaire. Il prévoit désormais un soutien accru des Etats-Unis au Sud, même en cas de provocation mineure de la part du Nord.

"Il n'y a pas de plus grande erreur que l'idée qu'ils (Séoul et Washington) auront l'occasion de riposter", a ajouté le commandement de l'armée mardi.

La semaine dernière, Pyongyang avait déjà menacé de s'en prendre aux bases américaines au Japon et à Guam, en riposte aux vols de bombardiers B-52 au-dessus de la Corée du Sud.

Les tensions sur la péninsule coréenne sont actuellement au plus haut depuis 2010. Un test nucléaire le 12 février, le troisième réalisé par le Nord, a entraîné de nouvelles sanctions de l'ONU et des menaces de représailles de la part de Pyongyang.

Dans la matinée, la nouvelle présidente de la Corée du Sud Park Geun-Hye a prévenu Pyongyang que "le seul chemin vers la survie" résidait dans l'abandon de ses programmes nucléaire et balistique et a appelé le Nord "au changement".

"Encore maintenant, la Corée du Nord menace notre sécurité nationale", a ajouté la chef de l'Etat dans un discours prononcé à l'occasion du 3e anniversaire du naufrage d'une corvette sud-coréenne, torpillée par Pyongyang, selon Séoul.

Le torpillage avait causé la mort de 46 marins sud-coréens. Le Nord a toujours nié en être responsable.

Source:

En cas d'attaque, la Corée du Nord réagira "à la vitesse de la lumière"

Le leader nord Coréen, Kim Jong-Un, qui a inspecté une unité des forces spéciales, a ordonné à celle-ci de réagir à "la vitesse de la lumière" au cas ou la guerre éclaterait. Cette inspection a eu lieu alors que la tension monte dans la péninsule coréenne après de multiples menaces de la part de la Corée du nord pour une réponse armée aux manœuvres conjointes américano-sud-coréennes, et aux sanctions des Nations-Unies imposée après les tests nucléaires du mois dernier. 

Kim Jong-Un, qui a rang de maréchal au sein de l'armée coréenne du peuple, a indiqué vendredi à l'unité des forces spéciales 1973 que sa mission était de"conquérir les bastions ennemis", selon l'agence d'Etat nord coréenne KCNA. Jeudi, la Corée du Nord avait déjà menacé de frapper les bases militaires américaines au Japon et à Guam, pour riposter aux vols d'entraînement des bombardiers américains B-52 au-dessus de la Corée du Sud.

La tension est remontée d'un cran dans la péninsule, en raison du tir réussi en décembre d'une fusée nord-coréenne, considérée par Séoul et ses alliés comme un missile balistique, suivi d'un troisième essai nucléaire en février puis de nouvelles sanctions votées par le Conseil de sécurité de l'ONU à l'encontre de Pyongyang.

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Chypre : un accord est trouvé, le FMI parle d'un "plan crédible"


Une semaine après une première tentative ratée, qui prévoyait l'instauration d'une taxe sur tous les dépôts bancaires, un accord a été trouvé, dans la nuit de dimanche à lundi 25 mars, entre le président chypriote et ses bailleurs de fonds internationaux pour parvenir à un plan de sauvetage de Chypre.

Selon la directrice générale du FMI Christine Lagarde, il fournit "un plan complet et crédible pour traiter les défis économiques auxquels est confronté le pays". Il "met fin aux incertitudes concernant Chypre et la zone euro", a assuré pour sa part le chef de file des ministres des finances de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem. "Le résultat est équitable pour toutes les parties en présence", a encore estimé le ministre allemand des finances Wolfgang Schäuble. 

FERMETURE DE LA DEUXIÈME BANQUE DU PAYS

Le nouvel accord maintient la première banque du pays, Bank of Cyprus. Si les petits dépôts seront intégralement préservés, les détenteurs d'actions, d'obligations et les dépôts au-dessus de 100 000 euros subiront des pertes pouvant aller jusqu'à 40 %. L'idée d'une taxe sur tous les dépôts bancaires, prévue dans le premier plan, avait suscité un tollé.

"Les dépôts sécurisés seront mis dans une 'good bank', les autres dans une 'bad bank' [structure de défaisance]. Les dépôts non sécurisés de plus de 100 000 euros seront gelés et participeront à la recapitalisation nécessaire", a précisé lors d'un point de presse le ministre des finances allemand, Wolfgang Schäuble.

L'accord prévoit par contre le démantèlement pur et simple de la banque Laïki, deuxième établissement du pays. En échange de la mise en place de ces mesures, les bailleurs de fonds (Union européenne et Fonds monétaire international) accorderont au pays une aide de 10 milliards d'euros, le montant annoncé il y a une semaine.

"LE MEILLEUR RÉSULTAT POSSIBLE"

"Ce sera très difficile pour le pays" mais la Commission européenne "fera tout son possible pour alléger les conséquences sociales" de ce plan, a précisé le commissaire européen aux affaires économiques, Olli Rehn.

Le plan de sauvetage doit encore être approuvée d'ici mi-avril par plusieurs Parlements de pays de la zone euro, dont l'Allemagne. Les autorités chypriotes, qui ont fait voter vendredi une loi sur les résolutions bancaires, n'auront par contre pas besoin de repasser devant le Parlement pour adopter le nouveau plan de sauvetage. Le premier versement de l'aide devrait avoir lieu début mai.

Le ministre des finances chypriote, Michalis Sarris, n'a pas encore donné de date pour la réouverture des banques du pays, fermées depuis dix jours. "Il faut trouver un équilibre entre prudence et stabilité", a-t-il estimé. L'accord évite selon lui "la possibilité d'une banqueroute", "le désastre et une sortie de la zone euro". "Nous avons abouti au meilleur résultat possible compte tenu des circonstances", a-t-il ajouté.

Interrogé sur la réaction des Russes à cet accord, qui les affectera par la restructuration du secteur bancaire – Bank of Cyprus compte beaucoup de déposants russes –, il a reconnu que "nombre de nos partenaires internationaux loyaux sont très déçus".

"VOUS VOULEZ ME FORCER À DÉMISSIONNER ?"

Le président chypriote, Nicos Anastasiades, qui s'était rendu dimanche à Bruxelles, s'est pour sa part dit "satisfait" de l'issue des négociations, en quittant le Conseil européen tôt lundi matin.

M. Anastasiades s'est entretenu de longues heures avec les présidents du Conseil européen, Herman Van Rompuy, de la Commission, José Manuel Barroso, de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, ainsi qu'avec la directrice du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde.

Ces discussions, dont l'objectif était de faciliter une "solution pour Chypre" avant l'Eurogroupe convoqué dans la foulée, se sont avérées déterminantes pour trouverun accord. Les tractations ont été très complexes et ont duré toute la soirée. M. Anastasiades a même mis sa démission dans la balance. "Vous voulez me forcerà démissionner ?", aurait-il demandé aux responsables de la troïka (UE, BCE, FMI), selon l'agence de presse chypriote CNA, citant des sources au palais présidentiel. "Si c'est ce que vous voulez, dites-le moi", a-t-il ajouté. Un haut responsable du gouvernement chypriote, cité par l'agence CNA, a fustigé l'attitude"rigide" du FMI, qui formulait "chaque demi-heure une nouvelle exigence".

Le temps jouait pourtant contre la petite île méditerranéenne. "Il s'agit d'aiderChypre et de nous aider nous-mêmes car la solution trouvée aura des implications pour tous les pays de la zone euro" avait ainsi prévenu le ministre des finances luxembourgeois, Luc Frieden, avant la réunion.

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dimanche 24 mars 2013

Le pape François, intimement associé aux scientifiques du Vatican, pourrait-il être le "Pape de la révélation extraterrestre"?


Jorge Mario Bergoglio a obtenu une maîtrise en chimie de l'Université de Buenos Aires et il a poursuivi des ambitions scientifiques avant d'entrer dans l'ordre des Jésuites.  Le directeur actuel du Groupe de Recherche de l'Observatoire du Vatican (Vatican Observatory Research Group's (VORG), José Gabriel Funes, aussi d'Argentine, est entré dans l'ordre des Jésuites et l'un de ses trois examinateurs était Bergoglio.

Le Jésuite José Gabriel Funes, un des leaders mondiaux dans la recherche sur l'astrobiologie et l'exo-théologie, a écrit un essai percutant intitulé "L'extraterrestre est mon frère".  En octobre 2010, Guy Consolmagno, astonome du Vatican, un des responsables du télescope LUCIFER et ancien scientifique de la NASA, lui aussi membre des Jésuites depuis 1991, a déclaré que les extraterrestres pourraient avoir une âme et qu'ils pourraient choisir d'être baptisés!  Il a même ajouté que nous serions surpris à quel point le Vatican est au courant des dernières recherches scientifiques sur le sujet extraterrestre.  

Face à des révélations de Stephen Hawking, physicien respecté à travers le monde et membre de l'Académie pontificale des Sciences, à l'effet que les lois de la physique éliminent le besoin de Dieu, le Jésuite Consolmagno a dit ceci: "Stephen Hawking est un physicien brillant et quand il s'agit de la théologie, je peux dire qu'il est un brillant physicien"!!!

Funes croit que le premier pape Jésuite va bientôt tourner son attention vers des questions autres une fois que son pontificat sera établi:

Le Père José Funes, directeur de l'Observatoire du Vatican, a déclaré au Service de Nouvelles Catholiques que l'élection d'un Jésuite Argentin avec une formation en sciences (la chimie) est bon pour tous ces intérêts."  Il a ajouté:  "Je pense que le pape se concentrera sur d'autres priorités". 

Le pape François, intimement associé aux scientifiques du Vatican, pourrait-il être le "Pape de la révélation extraterrestre"?  

Lors de la Conférence en astrobiologie de l'Académie pontificale des sciences, en 2009, le conférencier principal, le Dr. Impey Chris, a prédit une divulgation extraterrestre imminente: "la première découverte est à seulement quelques années".  

Voici la carte des séismes pour la seule journée d'aujourd'hui

Regardez, sous la carte, la liste impressionnante des séismes qui sont répertoriés dans les dernières 24 heures.

http://www.globalincidentmap.com/beta/quakes-map

Chypre, l'Union européenne et le FMI parviennent à une entente préliminaire


L'Union européenne et le Fond monétaire international (FMI) se sont entendus avec Chypre sur un programme pour dénouer la crise dans ce pays et renflouer les banques.

L'entente prévoit de protéger les dépôts assurés de la première banque au pays, la Banque de Chypre, mais conduirait à la fermeture de la deuxième banque du pays, Popular Bank of Cyprus, dite Laïki.

Ainsi, les dépôts de moins de 100 000 euros dans cette banque seront transférés à la Banque de Chypre. Les dépôts de plus de 100 000 euros, qui ne sont pas assurés suivant les règles de l'Union européenne, seront gelés et serviront en partie à financer le renflouement des banques.

Les déposants non assurés seront mis à contribution.

L'entente doit encore être approuvée par les ministres des Finances de la zone euro.

Les négociations qui ont eu lieu dimanche entre le président chypriote, la Commission européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le FMI visaient à établir un plan de sauvetage de l'économie de l'île.

Chypre: le président prévient la troïka qu'il pourrait démissionner


Le président chypriote Nicos Anastasiades a prévenu dimanche soir les bailleurs de fonds internationaux à Bruxelles que les contreparties exigées à un plan de sauvetage de l'île pourraient le forcer à démissionner, selon les médias publics chypriotes.

"Vous voulez me forcer à démissionner?" a dit M. Anastasiades, selon l'agence CNA, aux responsables de la troïka -Union européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international (FMI)- pendant les négociations de la dernière chance pour éviter une faillite et une sortie de l'euro.

"Si c'est ce que vous voulez, dites-le moi", a-t-il ajouté, toujours selon CNA qui cite des sources au palais présidentiel à Nicosie, où les responsables des partis politiques sont régulièrement informés de l'état des discussions.

"Je vous fais une proposition, et vous ne l'acceptez pas. Je vous en donne une autre et c'est la même chose. Qu'est-ce que vous voulez que je fasse?" a-t-il lancé.

Le président chypriote, un conservateur qui a succédé il y a moins d'un mois au communiste Demetris Christofias, dénonçait en particulier les exigences de l'UE et du FMI sur l'avenir de la Bank of Cyprus, la plus importante de l'île.

Selon CNA, M. Anastasiades s'est entretenu par téléphone vers 19H00 GMT avec le président du Parlement, Yiannakis Omirou, chef du parti socialiste Edek.

Mardi, le Parlement chypriote avait rejeté un premier accord sur un plan de sauvetage de 10 milliards d'euros parce que les bailleurs de fonds exigeaient en contrepartie une taxe inédite sur les dépôts bancaires censée rapporter 5,8 milliards d'euros.

Le parti Disy du président dispose de 20 sièges sur 56 au Parlement, et M. Anastasiades aura besoin du soutien, ou au moins de l'abstention des autres grands partis -Akel (communistes, 19 députés), Diko (centre-droit, 8) et Edek (5) pour faire adopter les lois liées à un éventuel accord.