* À quoi ça sert d'alerter la population alors qu'elle n'a pas les moyens ni les ressources de faire face à de telles attaques. Faire monter la peur et susciter le besoin d'être pris en charge par les "saintes-autorités", voilà l'objectif. Sans compter que l'industrie chimique/pharmacologique va s'en mettre plein les poches à préparer des antidotes "au cas où".
La France fait face à «une guerre nouvelle», une guerre «où la terreur est le premier but et la première arme», a affirmé Manuel Valls jeudi. «Nous sommes en guerre, pas une guerre à laquelle l'histoire nous a tragiquement habitué», a déclaré le premier ministre devant l'Assemblée nationale où le projet de loi prolongeant l'état d'urgence de trois mois est examiné. «Cette guerre nouvelle reste une guerre planifiée menée par une armée criminelle. Ce qui est nouveau ce sont les modes opératoires, les façons de frapper, de tuer, évoluent sans cesse». «C'est une guerre dont le front se déplace constamment et se retrouve au cœur même de notre vie quotidienne», a-t-il souligné, avant d'égrener plusieurs pistes de lutte contre ce terrorisme.
Armes chimiques
«L'imagination macabre des donneurs d'ordre est sans limite: fusil d'assaut, décapitation, bombe humaine, armes blanches (…) Il ne faut aujourd'hui rien exclure et je le dis avec toutes les précautions qui s'imposent mais nous savons et nous l'avons à l'esprit, il peut y avoir aussi le risque d'armes chimiques et bactériologiques», s'est inquiété Manuel Valls.
L'État se prépare en effet sérieusement à l'éventualité d'une telle attaque. Ainsi, un arrêté du ministère de la Santé autorisant la fabrication d'un antidote aux «neurotoxiques organophosphorés» est paru le 14 novembre. Le texte autorise, à titre dérogatoire, l'acquisition massive, le stockage, la distribution, la prescription et l'administration du sulfate d'atropine 40 mg/20 ml PCA - uniquement fabriqué par la Pharmacie centrale des armées -, un antidote à l'intoxication des neurotoxiques organophosphorés, des armes chimiques extrêmement dangereuses comme le gaz sarin.
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les "attaques" sont de la pure fiction pour la télé.....
RépondreSupprimerCertainement pas de la "fiction" !!!
RépondreSupprimerEntre une attaque sous faux drapeau et de la fiction, la différence est énorme et à ne pas confondre . Maintenant, il peut y avoir une part de "fiction" aussi dans tout cela, c'est vrai : comme les "terroristes" explosés à distance sans beaucoup de dégâts ou les attentats soi-disant déjoués; Mais pour que cela frappe les esprits et permette d'atteindre les buts poursuivis, de vrais morts avec du vrai sang ou de vraies intoxications chimiques ou bactériologiques (en préparation ?) sont nécessaires.
http://www.lelibrepenseur.org/tout-comprendre-sur-les-attentats-de-paris-en-10-minutes/
RépondreSupprimerhttp://www.lelibrepenseur.org/isis-israeli-secret-intelligence-service-par-ken-okeefe/
Je ne vois aucune raison que ca n'arriverait pas..C'est dans l'ordre normal des choses..
RépondreSupprimerTout est programmer on dirait..