Le Programme des Nations unies pour l'environnement est l'un des plus importants de l'ONU, et le premier à avoir été implanté, au début des années 70, dans un pays émergent.
Son siège social est à Gigiri, près de Nairobi, capitale du Kenya, un pays qui a été la cible d'attentats terroristes dans un passé récent. Six des sept volets du programme sont établis à Nairobi, et l'organisation compte plus de 600 employés d'origines diverses.
Avec l'Organisation météorologique mondiale, ce programme a mis en place le «Groupe d'experts intergouvernementaux sur l'évolution du climat», le GIEC, qui, depuis 1988, est une référence mondiale en matière de réchauffement climatique.
Le programme a déjà été sous la responsabilité de Canadiens. De 1973 à 1975, il était sous la férule de Maurice Strong, premier président de l'Agence canadienne de développement international (ACDI). Strong a été l'un des fondateurs du GIEC, institué à la demande des sept pays industrialisés membres du G7, en 1988. Maurice Strong a été un mandarin important pour le gouvernement de Pierre Trudeau.
Par la suite, en 1993, la direction est revenue au Canada, avec Elizabeth Dowdeswell, qui a occupé le poste pendant cinq ans. Originaire d'Irlande du Nord, Mme Dowdeswell est maintenant lieutenante-gouverneure de l'Ontario. Ex-sous-ministre adjointe d'Environnement Canada, elle avait été élue à l'unanimité pour diriger le Programme des Nations unies pour l'environnement.
Depuis 2016, le Norvégien Erik Solheim était à la barre, mais il a dû quitter son poste en novembre dernier. Ancien ministre de l'Écologie en Norvège, il a été forcé de démissionner pour des dépenses inconsidérées - un demi-million de dollars en voyages et en dépenses injustifiées, à un moment où l'ONU doit s'imposer un régime minceur.
Je vous invite ardemment à lire l'article au complet même si ça demande une bonne dose de concentration, mais si vous n'avez ni le temps ni l'intérêt d'absorber de telles notions de chimie atmosphérique, voici les conclusions qui démontrent que le prétendu réchauffement climatique causé par le CO2 d'origine humaine est un fait qui ne tient scientifiquement pas la route.
Voici une étude du Dr. Ed Berry, physicien spécialisé dans la physique atmosphérique, météorologue consultant (CCM) agréé par la Société américaine de météorologie, directeur général de Climate Physics, etc. Il démontre que les affirmations et prétentions du GIEC à l'égard du CO2 sont fausses et que leurs modèles sont donc erronés et invalides (en anglais): https://edberry.com/blog/climate-physics/agw-hypothesis/preprint-a-fatal-flaw-in-global-warming-science/
3. Conclusion
De cet exposé on peut conclure que :
La présence de 0,04 % de CO2 dans l’atmosphère se manifeste par l’absorption dans une couche atmosphérique de 10 m d’épaisseur au voisinage de la surface terrestre d’un peu moins de 2 % de l’énergie reçue du Soleil au sommet de l’atmosphère.
L’hypothèse de l’effet de serre, tel que défini par les partisans d’un réchauffement climatique d’origine anthropique, est en contradiction avec les informations tirées de la théorie cinétique des gaz et de la théorie du corps noir.
Les molécules de CO2 ayant absorbé une fraction du rayonnement thermique de la Terre se désactivent par collisions avec les molécules environnantes et non par réémission du rayonnement absorbé.
L’influence du CO2 se manifeste par une modification des proportions des différents mécanismes de dissipation de l’énergie reçue du Soleil. Les mouvements de convection de l’air seront en légère augmentation au détriment de l’intensité du rayonnement thermique.
Le climat peut changer comme il l’a toujours fait et continuera à le faire mais le CO2 ne peut contribuer en aucune manière à un réchauffement de la surface terrestre.
"La Cour estime provisoirement que la cause la plus récurrente des grands incendies de 2017 et 2018 imputables aux équipements de PG & E est la susceptibilité des lignes de distribution de PG & E aux arbres ou aux branches qui tombent sur elles lors de vents violents", indique son ordonnance.
"Les conducteurs d'alimentation sont presque toujours non isolés", a écrit le juge WilliamAlsup. "Lorsque les conducteurs sont poussés ensemble par la chute d'arbres ou de branches, des étincelles électriques tombent dans la végétation située en dessous. Pendant la saison des feux de forêt, lorsque la végétation est sèche, ces étincelles électriques constituent un danger extrême d'enflammer un feu de forêt."
Alsup a ordonné au service public de déterminer s'il était responsable de l'incendie, qui a tué au moins 88 personnes et anéanti la ville de Paradise. Dans un document obtenu par CNBC, PG & E a reconnu que son équipement avait peut-être déclenché l'incendie.
En 2018, plus de 500 articles scientifiques ont été publiés qui remettent en question la position officielle, dogmatique, selon laquelle les émissions de CO2 d'origine anthropique sont la cause du réchauffement climatique/changements climatiques. Ces articles affirment qu'il existe d'importantes limites et incertitudes inhérentes à notre compréhension du climat et des changements climatiques, soulignant que la science du climat n'est pas réglée.
Plus précisément, les articles de cette compilation soutiennent ces quatre principales positions sceptiques - classées ici en tant que N (1) - N (4) - qui remettent en question l’alarmisme climatique popularisé dans les gros titres médiatiques.
N (1) Les mécanismes naturels jouent bien plus qu'un rôle négligeable (comme l'affirme le GIEC) dans les changements nets du système climatique, notamment les variations de température, les régimes de précipitations, les phénomènes météorologiques, etc., ainsi que l'influence de l'augmentation des concentrations de CO2. sur les changements climatiques sont moins prononcés que prévu actuellement.
N (2) Le réchauffement / les niveaux de la mer / le recul des glaciers et des glaces / l'intensité des ouragans et de la sécheresse… vécus à l'ère moderne ne sont ni sans précédent ni remarquables, et ne sortent pas du domaine de la variabilité naturelle.
N (3) Les modèles climatiques informatiques ne sont ni fiables, ni toujours précis, les fourchettes d'incertitude et d'erreur sont irréductibles et les projections sur les états climatiques futurs (c.-à-d. une intensification du cycle hydrologique) ne sont pas étayées par des observations et / ou sont un peu plus que de la spéculation.
N (4) Les politiques actuelles d'atténuation des émissions, notamment liées au plaidoyer en faveur des énergies renouvelables, sont souvent inefficaces et même préjudiciables à l'environnement, alors qu'une teneur élevée en CO2 et un climat plus chaud procurent des avantages inattendus à la biosphère (une planète plus verte et des cultures plus riches).
Études scientifiques publiées en 2018, répertoriées en 3 catégories:
Le président Trump a notamment annoncé une somme de 800 millions de dollars américains pour de l'« aide humanitaire d'urgence » à la frontière, en plus d'une autre somme d'un peu plus de 800 millions pour de l'équipement technologique servant à la détection de drogues.
Donald Trump souhaite ainsi mettre fin à ce qu'il qualifie de « crise humanitaire et de sécurité » nécessitant des « mesures immédiates ».
Le président propose également l'embauche de 2700 agents frontaliers supplémentaires et de 75 juges afin de venir à bout de 900 000 dossiers d'immigration en attente.
Un délai supplémentaire de trois ans sera également accordé aux « Dreamers », ces jeunes sans-papiers arrivés aux États-Unis quand ils étaient enfants et dont le sort était incertain après l’entrée au pouvoir du président républicain, et aux immigrants protégés par un statut temporaire.
« On est au même point , a estimé Donald Cuccioletta, chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand de l'UQAM sur les ondes de RDI. Une grande partie du discours, c'était pour plaire aux démocrates. »
Pour M. Cuccioletta, le président américain tente, en reprenant des suggestions initialement émises par les démocrates, de placer ces derniers « au pied du mur ».
Une offre refusée avant même d'être entendue
En échange de ces mesures, le président veut voir le financement à hauteur de 5,7 milliards de dollars américains pour la construction d’un mur à la frontière être approuvé par les démocrates qui refusent d’accorder le moindre dollar à cette promesse électorale phare de Donald Trump.
« Il s'agit d'un compromis alimenté par le bon sens, et tout le monde devrait l'approuver », a indiqué M. Trump lors de son annonce samedi après-midi à la Maison-Blanche.
Or, la réponse démocrate n'a pas tardé, et la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a rejeté le projet de Donald Trump avant même son annonce officielle.
« Les démocrates espéraient que Donald Trump était enfin prêt à rouvrir le gouvernement et à poursuivre une discussion très nécessaire pour protéger la frontière, a-t-elle écrit sur son compte Twitter. Malheureusement, les rapports indiquent clairement que sa proposition est une compilation d'initiatives précédemment rejetées. »
La question de l'immigration et de la frontière avec le Mexique est au coeur d'un litige législatif entre les républicains et les démocrates.
Cette impasse budgétaire a forcé la paralysie partielle de l’administration fédérale à partir du 22 décembre dernier.
De leur côté, les démocrates ont annoncé samedi une somme d’un milliard de dollars pour améliorer la frontière avec le Mexique, sans que cela serve au projet de mur.
"Le climat est fondamentalement une tactique mondialiste qui instille la peur pour plus de pouvoir."
- Ernesto Araújo
Le nouveau ministre des Affaires étrangères du Brésil estime que le changement climatique fait partie d'un complot des "marxistes culturels" pour étouffer les économies occidentales et promouvoir la croissance de la Chine.
Ernesto Araújo, haut diplomate de la plus grande nation d'Amérique du Sud, a publié dans un message intitulé "Détournement et perversion" son opinion sur le mouvement écologiste.
"La tactique de la gauche consiste essentiellement à: séquestrer des causes légitimes et des concepts nobles et à les pervertir au service de leur projet politique de domination totale.
Au fil du temps, la gauche a séquestré la cause environnementale et l’a pervertie jusqu’au point de saturation au cours des 20 dernières années avec l’idéologie du changement climatique, du réchauffement climatique. Il y a des données suggérant une corrélation entre la hausse des températures et la concentration croissante de CO2 dans l’atmosphère, mais les données suggérant le contraire sont occultées, censurées, pour créer un dogme "scientifique" que personne ne peut contester sous peine d’être excommunié de la bonne société, exactement le contraire de l'esprit scientifique.
Ce dogme a servi à justifier une augmentation du pouvoir de réglementation des États sur l'économie et sur des institutions internationales sur les États et leurs populations, ainsi qu'à étouffer la croissance économique des pays capitalistes démocratiques et à favoriser la croissance de la Chine. (Une partie importante du projet mondialiste consiste à transférer le pouvoir économique de l'Occident au régime chinois. Un élément clé du projet de Trump consiste à perturber ce processus, qui se produit déjà.)
Le climat est fondamentalement une tactique mondialiste qui instille la peur pour plus de pouvoir. Le climat dit: "Vous, vous allez détruire la planète. Sa seule option est de tout me donner, de me donner la conduite de sa vie et de sa pensée, sa liberté et ses droits individuels. Je vais vous dire si vous pouvez conduire, si vous pouvez allumer la lumière, si vous pouvez avoir des enfants, pour qui vous pouvez voter, ce qui peut être enseigné dans les écoles. Alors seulement sauverons-nous la planète. Si vous posez des questions, avec des données autres que les données officielles que je contrôle, je vous appellerai négationniste du climat et vous jetterai dans le cachot intellectuel.
"Je vais faire une annonce majeure concernant la crise humanitaire à notre frontière sud, et la paralysie budgétaire, demain après-midi à 15 h, en direct de la Maison-Blanche."
Vous vous rappelez quand vous avez dit que vous vouliez déménager au Canada? C'est le bon moment pour commencer à faire vos valises.
Le Parlement canadien a annoncé son intention d’ajouter plus d’un million de nouveaux résidents permanents au cours des trois prochaines années. Cela représente près de 1% de la population du pays chaque année.
Le Canada a accueilli plus de 286 000 résidents permanents en 2017 et prévoit que ce nombre pourrait atteindre 350 000 cette année.
Et 360 000 en 2020.
Et 370 000 en 2021.
C'est beaucoup d'immigrants, hein?
«Grâce en grande partie aux nouveaux arrivants que nous avons accueillis au cours de notre histoire, le Canada est devenu le pays fort et dynamique que nous aimons tous», a déclaré Ahmed Hussen, ministre de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté (IRCC).
Hussen, lui-même un immigrant somalien, a déclaré que cet afflux aidera à compenser le vieillissement de la population et la baisse du taux de natalité au Canada, tout en augmentant sa main-d'œuvre….
Le pôle nord magnétique de la Terre s'est éloigné du Canada en direction de la Sibérie, entraîné par la fonte de fer liquide au cœur de la planète. Le pôle magnétique se déplace si rapidement qu'il a contraint les experts en géomagnétisme du monde à faire un geste rare: le 15 janvier, ils mettront à jour le modèle magnétique mondial, qui décrit le champ magnétique de la planète et qui sous-tend toute la navigation moderne, les systèmes de gestion des navires en mer aux cartes Google Maps sur les smartphones.
La version la plus récente du modèle est parue en 2015 et devait durer jusqu'en 2020, mais le champ magnétique change si rapidement que les chercheurs doivent maintenant le corriger. «L’erreur augmente constamment», déclare Arnaud Chulliat, géomagnétiste à l’University of Colorado Boulder et aux centres nationaux d’information sur l’environnement de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration).
Le problème tient en partie au pôle en mouvement et en partie à d’autres changements au plus profond de la planète. Le barattage de liquide au cœur de la Terre génère la majeure partie du champ magnétique qui varie avec le temps, à mesure que les flux profonds changent. En 2016, par exemple, une partie du champ magnétique s'est temporairement accélérée, en profondeur sous le nord de l'Amérique du Sud et dans l'est de l'océan Pacifique. Des satellites tels que la mission Swarm de l’Agence spatiale européenne ont suivi ce changement.
Au début de 2018, le modèle magnétique mondial était en difficulté. Des chercheurs de la NOAA et du British Geological Survey d’Edimbourg vérifiaient annuellement dans quelle mesure le modèle captait toutes les variations du champ magnétique terrestre. Ils se sont rendus compte que c'était tellement imprécis que c'était sur le point de dépasser la limite acceptable d'erreur de navigation.
Pôle errant
«C’était une situation intéressante dans laquelle nous nous sommes retrouvés», déclare Chulliat. "Que se passait-il?" La réponse est double, a-t-il déclaré le mois dernier lors d'une réunion de l'Union géophysique américaine à Washington DC.
Tout d'abord, l'impulsion géomagnétique de 2016 sous l'Amérique du Sud est arrivée au pire moment possible, juste après la mise à jour de 2015 du modèle magnétique mondial. Cela signifiait que le champ magnétique avait vacillé juste après la dernière mise à jour, d'une manière que les planificateurs n'avaient pas anticipée.
Deuxièmement, le mouvement du pôle magnétique nord a aggravé le problème. Le pôle se promène de manière imprévisible, ce qui fascine les explorateurs et les scientifiques depuis que James Clark Ross l’a mesuré pour la première fois en 1831 dans l’Arctique canadien. Au milieu des années 90, il a pris de la vitesse, passant d’environ 15 kilomètres à environ 55 kilomètres par an. En 2001, il était entré dans l'océan Arctique - où, en 2007, une équipe comprenant Chulliat avait atterri sur la glace marine pour tenter de localiser le pôle.
En 2018, le pôle a franchi la ligne de date internationale dans l'hémisphère oriental. Il fait actuellement un pas en avant vers la Sibérie.
La géométrie du champ magnétique terrestre amplifie les erreurs du modèle aux endroits où le champ change rapidement, comme le pôle Nord. «Le fait que le pôle avance rapidement rend cette région plus sujette à de grosses erreurs», déclare Chulliat.
Pour réparer le modèle magnétique mondial, lui et ses collègues l'ont alimenté sur trois années de données récentes, y compris l'impulsion géomagnétique de 2016. La nouvelle version devrait rester exacte, dit-il, jusqu'à la prochaine mise à jour régulière prévue en 2020.
Questions de base
Entre-temps, les scientifiques s’efforcent de comprendre pourquoi le champ magnétique change de manière si spectaculaire. Les impulsions géomagnétiques, comme celle de 2016, pourraient être attribuées aux ondes «hydromagnétiques» provenant des profondeurs du cœur. Et le mouvement rapide du pôle magnétique nord pourrait être lié à un jet de fer liquide à grande vitesse sous le Canada.
Le jet semble ternir et affaiblir le champ magnétique sous le Canada, a déclaré Phil Livermore, géomagnétiste à l'Université de Leeds, au Royaume-Uni, à la réunion de l'American Geophysical Union. Et cela signifie que le Canada est essentiellement en train de perdre un bras de fer magnétique avec la Sibérie.
«L'emplacement du pôle magnétique nord semble être régi par deux plaques de champ magnétique à grande échelle, l'une située sous le Canada et l'autre sous la Sibérie», a déclaré Livermore. "Le plaque sibérienne gagne le concours."
Ce qui signifie que les géomagnétistes du monde auront beaucoup à faire pour les occuper dans un avenir prévisible.
* Faut-il renoncer à la démocratie pour endiguer le réchauffement climatique, ou attendre que celui-ci ait raison de la démocratie, voire de notre civilisation? Voilà le véritable enjeu, l'agenda derrière le prétendu "réchauffement climatique d'origine anthropique": restreindre nos droits et libertés au nom de la préservation de la Terre. Aurélien Barrau(écoutez à partir de la 23ème minute alors que le discours du hippie sympathique se transforme...), astrophysicien et "prophète de la fin du monde", nouvelle coqueluche de la propagande de l'urgence climatique, a fait ces déclarations vertigineuses au cours des derniers mois.
"Donc la seule manière de nous sauver aujourd’hui, c’est que les dirigeants, c’est leur rôle, c’est pour ça que nous leur déléguons notre pouvoir, c’est pour ça que nous les élisons, il faut donc qu’ils assument leur fonction et qu’ils nous sauvent. Ils sont très exactement là pour ça."
"Parce qu’on le sait nous sommes faibles, et moi le premier, […] nous sommes tous collectivement faibles, mais on est quand même suffisamment sages pour être capables de comprendre que quand ça va plus il faut des lois, il faut que le droit et le politique interviennent pour nous limiter."
Barrau, en plus d'être un autre porte-voix utile au lobby et un promoteur de l'agenda réchauffiste, tient des propos qui sont l'expression d'une idéologie éco-fasciste incarnée dans le discours de plusieurs intellectuels et hauts-dirigeants. De plus en plus de ces "bien-pensants" et "maîtres à penser" nous vendent des mesures ultra contraignantes et des politiques d'État totalitaire comme uniques solutions au prétendu "réchauffement climatique", ultimement une gouvernance mondiale fondée sur "l'urgence climatique": l'Homme ne peut se diriger lui-même, il est une force destructive pour la nature et il doit être contrôlé et réprimé dans ses actions par les hautes instances salvatrices qui ont autorité sur Lui. Au Québec, nous avons Yvan Dutil, astrophysicien et "dénonciateur de faiseurs de slogans et de théories du complot", qui tient ce même discours totalitaire que Barrau concernant l'urgence climatique:
"Pour ce qui est des actions, la première chose à faire, c’est de contrôler notre démographie. Moins il y aura d’humains à nourrir et à loger, moins le problème sera grand." "Rendu à ce point de la lecture, vous auriez normalement dû comprendre que pacte de transition écologique ou pas, cela ne changera pas fondamentalement la nature du problème. Seules des mesures coercitives extrêmes pourraient permettre une telle transition de façon efficace. La logique est simple : il faut rationner les ressources afin de tenir compte de l’existence de limites biophysiques." "Cette dernière solution étant totalement inacceptable à la majorité de la population, je peux vous garantir que la transition écologique n’aura pas lieu volontairement." https://voir.ca/yvan-dutil/2018/12/02/le-pacte-de-transition-ecologique-etes-vous-certain-de-ce-que-vous-souhaitez/
Lundi 17 décembre, les ONG Greenpeace, Oxfam, la Fondation pour la nature et l’homme et l’association Notre affaire à tous ont lancé une pétition en ligne, disponible sur le site Laffairedusiecle.net, pour soutenir un recours en justice contre l’Etat français pour "carence fautive" dans son action pour contenir le changement climatique. A l’heure où nous bouclons cet article, elle a recueilli près de 2 millions de signatures. Du jamais-vu ! La société civile et les ONG vont-elles réussir, à travers des procès médiatisés, à obliger les gouvernements et les entreprises à prendre leurs responsabilités concernant le réchauffement planétaire ?
Depuis 2015, les litiges devant les tribunaux se multiplient autour du monde, jouant sur tous les outils juridiques disponibles, qu’ils soient nationaux ou internationaux. La juriste spécialiste du droit de l’environnement Marta Torre-Schaub, directrice de recherche au CNRS, constate que « la question climatique sort du cadre des négociations internationales, devient une cause citoyenne et se transfère devant les cours nationales, s’appuyant sur les constitutions et les lois fondamentales de chaque pays pour nourrir leurs contentieux ». Le climat devient ainsi, litige après litige, un nouveau sujet du droit.
Marta Torre-Schaub donne plusieurs exemples emblématiques. En 2015, au Pakistan, un fermier panjabi, Asghar Leghari, fatigué de voir ses récoltes ravagées par les intempéries répétées, a attaqué le gouvernement fédéral devant la Haute Cour de Lahore pour « inaction, retard et absence de sérieux (…) dans la mise en œuvre de la politique nationale de lutte contre le changement climatique (…), portant atteinte aux droits constitutionnels fondamentaux à la vie et à la dignité ».
* Cet article du Forbes, publié en janvier 2013, est incroyablement révélateur, voire même la preuve de la fabrication du "réchauffement climatique d'origine anthropique". Vous comprendrez les origines de cette prétendue "urgence climatique" menaçant l'humanité d'une catastrophe certaine, nécessitant un effort unifié des grandes puissances pour susciter une intervention politique mondiale concertée. Obliger tous les pays du monde à se soumettre aux diktas du lobby de la "taxe carbone", création de "ceux qui font pousser l'argent dans les arbres" et qui font croire que le CO2 contribue au réchauffement planétaire alors qu'il enrichie la croissance de la forêt dans laquelle ils récoltent leur papier-monnaie! Sans compter que ces faussaires et imposteurs ont réussi à taxer l'air! Faut le faire...
Si vous avez peu de temps pour lire cet article, concentrez-vous sur les passages en jaune.
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Lors de la dernière réunion alarmiste des Nations Unies sur le climat à Doha (2012), le Qatar a connu une sorte de crise provoquée par un homme sous la forme d'un typhon nommé Christopher Monckton, troisième vicomte de Benchley, conseiller de l'ancienne Première ministre Margaret Thatcher et climatologue. Occupant temporairement un microphone vacant attribué à un délégué de Birmanie, il a donné à tout l'auditoire une nouvelle très terrifiante… "depuis 16 ans que nous assistons à ces conférences, il n'y a eu aucun réchauffement climatique".
Si ce n’était pas assez effrayant, entre blasphème et chahuts, Moncton foudroie l'assemblée en poussant le blasphème le plus total: "Si nous prenons action comme ils le proposent toujours, le prix de cela serait bien plus élevé que de prendre des mesures d'adaptation plus tard. Donc, notre recommandation est que nous devons nous engager très rapidement à une révision de la science [du climat, des rapports du GIEC] afin de nous assurer que nous sommes tous sur la bonne voie."
Oui, vous avez bien lu. Il a eu l'audace d'interroger la "science" derrière les demandes de fonds basées sur la crise climatique de l'ONU. Et en réalité, ce n'est vraiment pas une si mauvaise idée.
Pour commencer, rappelons-nous quelques décennies avant cette nouvelle science, une petite histoire remontant aux années 1970 et au début des années 1980, lorsque les pays du tiers monde, par la force du nombre, et les partis verts socialistes européens ont pris le contrôle des Nations Unies. Ils ont rapidement commencé à réclamer un nouvel ordre économique international.
À la fin des années 1980, une peur basée sur des modèles climatiques théoriques et primitifs qui prédisaient que les émissions de carbone d'origine humaine provoquaient un réchauffement planétaire sans précédent et dangereux a parfaitement servi ces objectifs. En réponse, les Nations Unies ont rapidement établi une Convention-cadre sur le changement climatique (FCCC) pour organiser des conférences, ainsi que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) chargé de mener des études scientifiques.
[Le marché du "crédit carbone": un marché payant pour le lobby du réchauffement climatique et pour certaines méga industries!]
La stratégie centrale de la FCCC pour lutter contre ce qui était promu comme un changement climatique «anthropique» (créé par l'homme) était brillante… donner des "crédits carbone" aux industries de combustibles fossiles qui réduisent leurs émissions de dioxyde de carbone, puis laisser les autres industries qui produisent des quantités d'émissions de CO2 en excès acheter des "crédits carbone" d'elles. En d'autres termes, ils créeraient un marché commercial pour acheter et vendre de l'air!
Ce programme commercial du "crédit carbone" serait mis en œuvre à l’échelle internationale, pays par pays, par le biais du protocole de Kyoto, pénalisant les pays développés qui émettent beaucoup de CO2 en les forçant à acheter des crédits à des pays moins développés (gratuits pour eux). La Chine et l’Inde, qui émettent d’énormes quantités de CO2, ont obtenu un laissez-passer en raison de leur statut de pays en développement.
Coup d'envoi de la clameur de la crise climatique à l'ONU
Le Directeur exécutif du Programme Environnement de la FCCC, Maurice Strong [qui a organisé le premier Sommet de l'ONU sur le climat (Earth) à Rio de Janeiro (1992), a exposé d'une manière très franche une priorité sous-jacente: "Nous pouvons arriver au point où la seule façon de sauver le monde sera d'amener la civilisation industrialisée à s'effondrer. N’est-ce pas notre responsabilité d’y arriver?"
[En 1966, Maurice Strong démissionne du poste de PDG de la Power Corporation du Canada pour prendre la tête de la future Agence canadienne de développement international. De la fin 1970 à la fin 1972, il est secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l'environnement. Cette même année 1972, il participe également à la fondation Rockefeller en tant qu'administrateur et membre du comité exécutif. De 1976 à 1978, il est CEO de Petro-Canada.
Il est l'un des membres fondateurs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) créé en novembre 1988 à la demande du G7 par deux organismes de l’ONU : l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE).]
Strong [qui a fréquenté les multimilliardaires de ce monde toute sa vie] n'a laissé aucun doute vers où et vers qui diriger les blâmes concernant les problèmes mondiaux, il a déclaré dans le rapport de la conférence : "Il est clair que les modes de vie et les modes de consommation actuels de la classe moyenne aisée… impliquant une consommation élevée de viande, la consommation de grandes quantités d'aliments surgelés et de commodité, la propriété de véhicules à moteur, de terrains de golf, de petits appareils électriques, de la climatisation domestique et commerciale et de logements de banlieue n'est pas durable… Un changement est nécessaire pour adopter des modes de vie moins axés sur des modes de consommation dommageables pour l'environnement ".
L'ancien sénateur américain Timothy Wirth (D-CO), qui représentait alors l'administration Clinton-Gore en tant que sous-secrétaire d'État américain pour les questions mondiales, a rejoint Maurice Strong pour s'adresser au public lors du Sommet sur le climat. Il a déclaré : "Nous devons surmonter le problème du réchauffement climatique. Même si la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous agirons comme il convient en termes de politique économique et de politique environnementale."
S'adressant également à la conférence de Rio, Richard Benedick, assistant d'État adjoint, qui a ensuite dirigé les divisions de la politique du département d'État américain, a convenu que le protocole de Kyoto devrait être approuvé, qu'il ait ou non un rapport avec le changement climatique: "Un traité sur le réchauffement climatique doit être appliqué même s’il n’existe aucune preuve scientifique concernant l’effet de serre [renforcé par l'humain]".
Timothy Wirth avait déjà été un proche collègue du sénateur Al Gore, sénateur de l'époque, et l'avait aidé à organiser ses audiences du Comité sénatorial des sciences, de la technologie et de l'espace en 1988, qui avaient déclenché une frénésie du réchauffement planétaire au cours d'un été chaud sur la Côte Est cette année-là. Dans une interview avec PBS Frontline Wirth a raconté: "Nous avons appelé le bureau météorologique pour savoir quel jour serait le plus chaud de l’été et nous avons programmé l’audience ce jour-là et bingo, ce jour a été le plus chaud jamais enregistré à Washington... nous sommes allés la nuit précédente de l'audience ouvrir toutes les fenêtres pour que la climatisation ne fonctionne pas, pour qu'il fasse chaud dans la salle."
Considérez que si le climat est généralement défini sur une période d'au moins trois décennies, le spectacle du sénateur Al Gore, alors soigneusement mis en scène, ne s'est produit que légèrement plus d'une décennie après que de nombreux scientifiques eurent prédit une crise inverse. L'un de ceux-ci était le regretté professeur Stephen Schneider de l'Université de Stanford, auteur de The Genesis Strategy, un livre de 1976 qui mettait en garde contre les risques liés à un refroidissement mondial, constituant une menace pour l'humanité. Schneider a ensuite modifié cette vue à 180 degrés, devenant l’auteur principal des éléments importants de trois rapports séquentiels du GIEC.
Entre 1994 et 1996, lorsque le sénateur Wirth est devenu sous-secrétaire d’État aux affaires mondiales au sein de l’administration Clinton-Gore, il a commencé à collaborer étroitement avec Enron pour faire pression sur le Congrès afin d’accorder à l’EPA le pouvoir de contrôler le CO2 . Dans les années 1990, Enron était devenue propriétaire du plus grand gazoduc existant hors de Russie, un réseau inter-États colossal. Mais comme ce combustible, qui faisait face à une concurrence féroce sur le marché avec le charbon, l’entreprise recherchait l’aide nécessaire à Washington pour faire pencher la balance. Le battage médiatique croissant à propos de la crise du réchauffement de la planète annoncée par les auditions très médiatisées du Congrès de 1988, par le sénateur Al Gore, a été une opportunité de rêve.
Les Sénateurs Wirth et John Heinz (R-PA) avaient récemment coparrainé le «Projet 88», qui devait permettre de transformer les problèmes environnementaux en opportunités commerciales. L’alarme suscitée par les médias concernant les pluies acides avait fourni une base à une législation permettant de créer des marchés pour l’achat et la vente de crédits d’excès de dioxyde de soufre (SO2) et dioxyde d’azote, et le Projet 88 est devenu le Clean Air Act de 1990.
Depuis qu'Enron est devenu un acteur majeur du marché du SO2, cela a amené cette société et d'autres à se demander… pourquoi ne pas faire la même chose avec le CO2? Étant donné que le gaz naturel est moins émetteur de CO2 que le charbon, ce développement changerait certainement la rentabilité. Mais il y avait un problème. Contrairement au SO2, le CO2 n'était pas un polluant, du moins pas à l'époque, et l'EPA n'avait aucun pouvoir pour le réglementer.
Une lettre datée du 1er septembre 1998, adressée au président Clinton par Kenneth Lay, président d’Enron, lui demandait de «modérer les aspects politiques» de la discussion sur le climat en nommant une «commission du ruban bleu». Son intention était claire: éliminer les mécréants de la crise climatique et couper le débat à ce sujet. Auparavant, M. Lay avait eu des contacts directs avec la Maison-Blanche lorsqu'il aurait rencontré le président Clinton et le vice-président Gore le 4 août 1997 pour préparer une stratégie américaine en vue du prochain sommet sur le climat de Kyoto en décembre. Le protocole de Kyoto a présenté la première étape vers la création d’un marché du carbone qu’Enron souhaitait vivement que le Congrès soutienne.
Fin 1997, John Palmaisano, lobbyiste d’Enron, écrivait avec enthousiasme à Kyoto: "S'il est appliqué, le [Protocole de Kyoto] fera plus pour promouvoir les activités d’Enron que toute autre initiative réglementaire autre que la restructuration des industries de l’électricité et du gaz naturel en Europe et aux États-Unis. L’approbation des échanges de droits d’émission a été une nouvelle victoire pour nous… Cet accord sera bénéfique pour le stock d’Enron !!"
Malheureusement (pour Enron), cela ne devait pas être. Dans un rare esprit de solidarité, le Sénat a adopté à l’unanimité (95-0) une résolution bipartisane du Sénat américain Byrd-Hagel (S Res 98) précisant que les États-Unis ne seraient signataires d’aucun accord qui «entraînerait de nuire à l'économie des États-Unis ». Le président Clinton, qui n'était pas étranger au pragmatisme politique, a compris le message et n'a jamais soumis la demande d'approbation nécessaire des États-Unis à la ratification du Congrès.
Bien que les États-Unis ne se soient jamais inscrits, le protocole de Kyoto a été adopté en 1997 et est en vigueur depuis 2005. Les signataires ont convenu de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre par rapport aux niveaux de 1990.
Et comment cela a-t-il fonctionné? Eh bien, le Japon, qui avait promis une réduction de 6%, a plutôt enregistré une augmentation de 7,4% malgré 20 ans de stagnation économique; L'Australie, qui s'est engagée à laisser le carbone n'augmenter que de 8%, a connu une augmentation de 47,7%; les Pays-Bas, qui ont promis une réduction de 6%, ont enregistré des émissions supérieures de 20% à la fin de 2010; et le Canada, qui s'est engagé à réduire de 6%, a enregistré une augmentation de 24%. Dans l’ensemble, l’UE a atteint son objectif grâce principalement au marasme économique, à la fermeture d’industries inefficaces de l’ère soviétique et à l’exportation de la production industrielle à l’étranger pour échapper aux pénalités de plafonnement et d’échange. À l'instar du Canada, la Nouvelle-Zélande, la Russie et le Japon ont maintenant renoncé à l'accord.
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Leçons de science politique du GIEC
En 2006, l'Institut de recherche en politiques publiques (IPPR), un groupe de réflexion qui soutient les réductions de CO2, a fourni une analyse des circonstances entourant les débats sur le réchauffement climatique qui se déroulaient au Royaume-Uni: "Le changement climatique est caractérisé par un lexique incorporant un ton urgent et des codes cinématiques. Il utilise un registre quasi religieux de mort et de malheur et utilise un langage d'accélération et d'irréversibilité.” Le IPPR a même qualifié l'alarmisme concernant le climat comme du "climate porn"!
Mike Hume, directeur du Centre britannique de recherche sur le changement climatique, a reconnu que même si le changement climatique est réel et que les êtres humains peuvent y contribuer, "nous devons prendre une profonde respiration et faire une pause. Le langage de la catastrophe n'est pas le langage de la science."
La situation épeurante sur le climat que les médias mondiaux martèle allègrement vient du GIEC, un organe de l'ONU, organisation hautement politisée qui n'effectue aucune recherche climatologique originale. Au lieu de cela, il publie simplement des évaluations sur la base d’enquêtes prétendument indépendantes et de recherches publiées. Toutefois, certaines de ses conclusions les plus influentes, résumées dans ses rapports, n’ont été ni fondées sur des recherches véritablement indépendantes, ni correctement validées par le biais de processus acceptés par les pairs.
Un exemple est un rapport de 1996 du GIEC qui utilisait des données sélectives, des graphiques falsifiés et des modifications de texte apportées après l’approbation par les scientifiques de l’évaluation et avant leur impression. Frederick Seitz, physicien de renommée mondiale et ancien président de l'Académie nationale des sciences des États-Unis, de l'American Physical Society et de l'Université Rockefeller, a écrit dans le Wall Street Journal : "Je n'ai jamais assisté à une corruption plus inquiétante que ce processus d’évaluation par les pairs que les événements ayant conduit à ce rapport du GIEC. ”
Plusieurs dizaines de milliers de scientifiques ont officiellement protesté contre les pratiques non scientifiques du GIEC. Certains critiques incluent d'anciens alarmistes du changement climatique. James Lovelock, un scientifique de renom, a prédit que la poursuite des émissions de CO2 par l'homme entraînerait une calamité climatique. En 2006, il a déclaré: "Avant la fin du siècle, des milliards d'entre nous vont mourir et les quelques couples de reproducteurs qui survivront seront dans l'Arctique, où le climat restera tolérable."
Récemment, cependant, il a manifestement réagi au réchauffement climatique en tant que crise, reconnaissant à MSNBC qu'il avait exagéré le cas et maintenant reconnu que: "nous ne savons pas ce que le climat fait. Nous pensions savoir il y a 20 ans. Cela a conduit à des livres alarmistes… le mien inclus… parce que ça avait l'air évident… mais ce n'est pas arrivé." Lovelock a souligné: "Une vérité qui dérange" d'Al Gore et "The Weather Makers" de Tim Flannery comme autres publications alarmistes.
Le Dr. Fritz Vaherenholt, un des fondateurs du mouvement écologiste allemand qui dirigeait la division des énergies renouvelables de la deuxième plus grande entreprise de services publics du pays, est un autre ancien alarmiste du réchauffement climatique qui est maintenant un critique acharné du GIEC. Son récent ouvrage intitulé "Le soleil froid: Pourquoi le désastre climatique ne se produira-t-il pas", dénonce le GIEC d'incompétence flagrante et de malhonnêteté, notamment en ce qui concerne l'exagération alarmante de l'influence climatique des émissions de CO2 provenant de l'homme.
Vahrenholt n'est pas le seul scientifique allemand important à avoir découvert que les prévisions du GIEC sur le réchauffement planétaire sont exagérées. Hans Joachim Schellnhuber, directeur de l’Institut de recherche sur l’impact du climat de Potsdam, est également le conseiller du gouvernement allemand en matière de protection du climat. Schellnhuber a co-écrit un article réfutant la fiabilité des modèles climatiques mondiaux sur lesquels étaient fondées leurs prévisions alarmistes pour 2001, concluant que les tendances en matière de gaz à effet de serre de CO2 étaient clairement surestimées.
Schellnhuber a récemment admis dans un discours à des experts agricoles que "des températures plus chaudes et des concentrations plus élevées de CO2 dans l'air pourraient très bien conduire à des rendements agricoles plus élevés".
Peter Moore, cofondateur de Greenpeace, a déclaré lors de sa comparution sur Fox Business News aux côtés de Stewart Varney en janvier 2011, que les avantages d'un réchauffement planétaire, dans la mesure où cela se produit pour une raison quelconque, sont grandement sous-estimées: "Nous n'avons aucune preuve que nous sommes la cause du réchauffement climatique survenu au cours des 200 dernières années ... L’alarmisme nous pousse par des tactiques alarmistes à adopter des politiques énergétiques qui vont créer une énorme quantité de pauvreté énergétique chez les pauvres, ce n'est ni bon pour les hommes, ni pour l'environnement ... Dans un monde plus chaud, nous pouvons produire plus de nourriture."
Quand on a demandé à Moore qui était responsable de la promotion de la peur injustifiée et quelles étaient leurs motivations, il a déclaré: "Une puissante convergence d’intérêts. Des scientifiques à la recherche de subventions, des médias à la recherche de titres, des universités à la recherche d'énormes subventions, des institutions, des fondations, des groupes environnementaux et des politiciens voulant faire croire qu'ils sauvent les générations futures. Et tous ces gens ont convergé sur cette question."
S'il ne fait aucun doute que la crise climatique artificielle génère des industries scientifiques de plusieurs milliards de dollars et de réglementation énergétique EPA, l'ONU a des objectifs beaucoup plus ambitieux. Comme l'a dit Christine Stewart, alors ministre canadienne de l'Environnement, devant les rédacteurs et les journalistes du Calgary Herald en 1998, "Peu importe si la science du réchauffement planétaire est fausse… le changement climatique [fournit] la plus grande opportunité de rendre justice et l'égalité dans le monde. "
Et, comme le reconnaît un responsable du GIEC, Ottmar Edenhofer, en novembre 2010, "… il faut se libérer de l'illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale. Au lieu de cela, la politique de lutte contre le changement climatique concerne la manière dont nous redistribuerons de facto la richesse mondiale ... "
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Pensez également aux paroles d'un discours prononcé par le président français Jacques Chirac, qui soutenait un objectif clé du protocole de Kyoto en Europe occidentale: "Pour la première fois, l'humanité instaure un véritable instrument de gouvernance mondiale, qui devrait trouver sa place dans le monde. L’Organisation pour l’environnement que la France et l’Union européenne souhaiteraient voir instaurer."
Les rapports du résumé à l'intention des décideurs du GIEC proposent des recommandations pour la répartition de la richesse et la redistribution des ressources, y compris les économies régionalisées (petites) afin de réduire la demande de transport, réorientant les modes de vie de la consommation, le partage des ressources via la copropriété et encourageant les citoyens à profiter de leur temps libre.
Global Warming Petition Projectestune pétition lancée en 1998 qui a été signée par 31 487 scientifiques, dont plus de 9 000 titulaires d'un doctorat en science de l'atmosphère, sciences de la Terre, climatologie et environnement. Aucun de ces scientifiques hautement respectés n'acceptent la théorie du réchauffement climatique.