dimanche 27 mai 2012

Damas nie toute responsabilité dans le massacre de Houla


Le régime syrien a nié dimanche être à l'origine du bombardement de la ville de Houla, qui a causé la mort de 92 personnes, dont 32 enfants, dans la nuit de vendredi à samedi.

« Nous réfutons totalement toute responsabilité gouvernementale dans ce massacre terroriste qui a visé les habitants », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Jihad Makdissi, lors d'une conférence de presse à Damas.

Il a annoncé la mise sur pied d'une commission d'enquête pour faire la lumière sur les événements. « Nous avons formé une commission conjointe de l'armée et de la justice qui va enquêter sur l'ensemble des faits et qui publiera ses résultats dans trois jours », a-t-il poursuivi.

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2 commentaires:

  1. La version très majoritaire des médias occidentaux est celle de l'OSDH, basée à Londres, et soutenue par les pays de l'Otan et par les monarchies (dictatures) pétrolières, Qatar et Arabie Saoudite en tête.

    Source unique et bien entendu, férocement partisane.

    L'OSDH est sur-armée, évidemment, et probablement composée en grande partie de mercenaires, Al Qaeda notamment puisque Al Qaeda la soutient officiellement.

    A présent, posons nous la question : à qui profite ce crime odieux ? Est-ce au régime de Bachar Al Assad ? Voyons, il prend le risque de donner un prétexte en or à l'OTAN pour se faire attaquer officiellement (l'attaque sournoise étant entamée depuis le début de cette pseudo révolution). Il prend le risque de se faire lâcher par la Russie et la Chine ? Bachar serait-il un fou furieux psychopathe ?

    Cela n'est vraiment pas le plus probable. Les psychopathes seraient plutôt ses ennemis jurés de Al Qaeda et de l'OSDH, sans parler des monarques absolues des émirats pétroliers et de leurs alliés du NWO.

    Devant l'enlisement de la "révolution", les mercenaires de l'Otan cherchent à créer un prétexte pour la guerre ouverte, c'est le plus vraisemblable. Un "false flag" de plus...

    L'ami Pierrot

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  2. info de l'agence de presse vaticane : les rebelles sont une réalité à laquelle s'oppose le gouvernement syrien, en voici un exemple.
    (les rebelles sont financés et armés par des puissances pétrolières régionales : qatar, arabie).



    http://www.fides.org/aree/news/newsdet.php?idnews=33063&lan=fra

    2012-05-23
    ASIE/SYRIE - Trois civils chrétiens tués dans la zone de Homs
    segnala invia articolo stampa imprimer stampa preferiti

    Hama (Agence Fides) – Les civils chrétiens innocents sont victimes du conflit en cours en Syrie. Dans la zone martyrisée de Homs, où le conflit armé se poursuit, un certain nombre de familles chrétiennes ont abandonné le village de Dmeyneh, entièrement chrétien, se trouvant sur la route reliant Qusayr à Homs. Ainsi que l’a appris l’Agence Fides, le village est protégé par l’armée syrienne mais il a été touché ces jours derniers par des tirs de mortier effectués par des milices rebelles, tirs qui ont fait trois morts parmi les civils chrétiens : Hanna Skandafi, âgée de 60 ans, son petit-fils, George Skandafi, de 14 ans, et Jessica Layyous, 13 ans. Après les bombardements, une vingtaine de familles chrétiennes ont quitté Dmeyneh et ne savent actuellement pas où aller.


    Entre temps, un certain nombre de familles chrétiennes qui avaient été chassées du village d’Al Borj Al Qastal, dans la province de Hama (voir Fides 12/05/2012) ont regagné leur village. L’Armée syrienne a en effet pris le contrôle de la zone et les habitants chrétiens ont pu rentrer en possession de leurs maisons. C’est ce qu’indique à Fides des sources au sein de la communauté gréco catholique locale. Comme cela a été référé à Fides, le Père George Hosh, prêtre grec orthodoxe, a déclaré que « les fidèles ont recommencé à prier » alors que « des fidèles musulmans sunnites et alaouites des villages alentours ont exprimé leur solidarité, condamnant un tel incident ». Des habitants du lieu affirment que « les occupants étaient des étrangers et des radicaux islamiques armés qui ont séquestré des maisons dans tout le village et réquisitionné l’église pour en faire leur quartier général ». Selon le Père George Hosh, « il s’agissait de militants armés venus de Turquie et d’autres extrémistes islamiques provenant de Tunisie, de Libye et du Pakistan ». (PA) (Agence Fides 23/05/2012)

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