dimanche 21 septembre 2014

Selon une nouvelle étude, les antidépresseurs peuvent changer la connectivité du cerveau en seulement 3 heures, après l'ingestion d'une seule dose du médicament

* Tout ce que je sais à propos des antidépresseurs est que parmi toutes les nombreuses personnes que je connais qui les utilisent (suite à une dépression ou pour des troubles anxieux sévères), aucune d'entre elles n'a réussi à mettre fin à leur traitement. Le sevrage crée, semble-t-il, l'émergence d'une intensité émotionnelle devant laquelle l'inconfort est insupportable. Quelle frustration et quel désarroi ces personnes doivent ressentir lorsqu'elles se voient contraintes de poursuivre la médication pour ainsi continuer de pallier leurs occupations quotidiennes...

Sources:
http://journalmetro.com/plus/sante/560633/la-moindre-dose-dantidepresseurs-cree-des-modifications-cerebrales/
http://thewestsidestory.net/2014/09/21/17133/antidepressant-can-change-intrinsic-connectivity-brain/

6 commentaires:

  1. de PALIER LEURS..;transitif. je souffre pour ma langue.

    RépondreSupprimer
  2. Bon article! Avez-vous des déprogrammeurs à référé, parce que je crois qu'on est une gang au Québec à pas vouloir se laisser faire....

    RépondreSupprimer
  3. La transition est faite. En passant, ça prenant ll à pallier... ;0)

    RépondreSupprimer
  4. Je confirme, 10 mois zombie sur anti dépresseur, sans suivit médical compétent, j'ai arrêté le traitement "sec, net, fret" , j'ai vécu un poignard émotionnel durant 2 mois, pire qu'avant ma supposée dépression ( en fait une grande fatigue), un débalancement hormonal épouvantable de 5 mois et encore quelques soubresauts mélancoliques même 1 an après. Très dangereux pour ceux qui ne sont pas bien accroché à la vie.

    RépondreSupprimer
  5. J'ai fait le choix, il y a plus de 10 ans, après une déception sentimentale, de prendre, pour la 1ère fois de ma vie, un anti-dépresseur... je me disais "je mérite pas "en plus" la dépression..." ... le médecin qui m'a prescrit le remède, a choisi le moins fort, le moins nocif, parce que j'avais exprimé mes réticences... tout de même, au bout de quelques jours, je commençai à faire de tels cauchemards en m'endormant, tel que je n'en faisais pas habituellement, les mauvais rêves sont rares chez moi... mais le pire... c'est que petit à petit je constatai que le cauchemar reprenait la nuit suivante... là où je l'avais laissé... comme s'il m'était impossible d'y échapper... je replongeais chaque nouvelle nuit dans un univers effrayant auquel il m'était devenu impossible d'échapper... au bout d'un mois, on a fait le point, et j'ai choisi d'arrêter le traitement et ne le remplacer par rien du tout.

    D'une part, j'ai senti que par les prières faites durant ce mois écoulé, Dieu m'avait déjà aidée à surmonter le plus gros de la tristesse, et que du coup je n'avais plus besoin d'un anti-dépresseur.

    D'autre part, j'avais juste envie d'arrêter de faire ces horribles cauchemars, et craignais dèsormais tout nouvel effet secondaire de n'importe quel nouveau médicament de ce genre.

    Ce médicament, dont je n'ai pas gardé le nom, m'a fait plus de mal que de bien... j'étais terrorisée à l'idée de m'endormir le soir venu... mes nuits étaient atroces, et... le médecin a eu cette expression magnifique : "vous faites parties des rares personnes qui ont ce genre d'effet secondaire, qui est connu pour ce médicament mais rare... pour vous, les effets négatifs du médicaments surpassent les effets positifs qu'il peut avoir, il vaut mieux l'arrêter.".

    RépondreSupprimer
  6. Bonjour,

    J'aimerais poser une question aux lecteurs :

    y a-t-il quelqu'un qui a entendu parler d'un extrait de mélisse, qui aide le corps à libérer plus souvent la sérotonine, et donc produit un effet positif sur le moral des personnes qui sont soumises à trop de stress émotionnel, à une période de leur vie.

    Il semblerait que ce remède, entièrement naturel, n'a aucun des effets secondaires négatifs de tous ces médicaments chimiques, mais j'aimerais en être sûre.

    Une pharmacienne m'a expliqué, que devant un état de stress face à certaines situations, l'extrait de mélisse agit sur la libération de la sérotonine.

    Elle a ajouté que 85 % de la Sérotonine, qui donne une sensation de bien-être, est fabriquée dans les intestins grâce au Magnésium, elle encourage donc à prendre tous les soirs une dose de Magnésium, sous la forme de Glycérophosphate de Magnésium (assimilé à 11 %, ce qui est excellent), ou de Bisglycinate de Magnésium assimilé à 13 % (encore mieux) ou de Malate de Magnésium (qui lui ne cause aucun trouble au système digestif).

    Elle conseille donc des gellules qui contiennent 300 mg par gellule d'extrait de Mélisse qui agit sur le recaptage présinaptique de sérotonine = la laisse se libérer plus souvent. En prendre une gellule le matin, si possible à jeun, mais pas obligatoirement, et une le soir.

    Selon elle ces gellules sont naturelles et remplacent les compositions chimiques suivantes :

    Seresta
    Temesta
    les Benzodiazépines
    Sertaline
    Risperdol ... qui sont des neuroleptiques chimiques.

    On peut trouver des infos sur le net au sujet de l'extrait de mélisse en faisant une recherche avec le nom "Lemon balm officinalis" (pas encore fait...).

    RépondreSupprimer