mardi 16 février 2016

Planète X

J'ai vécu une période (2009-2012)  au cours de laquelle j'ai consacré énormément de temps de recherches pour tenter de comprendre pourquoi cette fameuse et énigmatique "Planète X" alimentait autant les passions. En 2016, je constate que la curiosité perspicace de nombreux chercheurs est toujours aussi vive et que les sceptiques tiennent encore le même discours: "si une planète géante meublait réellement notre système solaire, la NASA le saurait... et nous le dirait!".

En ce qui me concerne, il n'y a nul doute que "planète X" (Nibiru, Nemesis, Tyché, le Destructeur, Hercolubus, l'Absinthe...) est bel et bien dans notre système solaire parce que la NASA a publié l'avoir trouvée en 1983! 

Vous trouverez des articles surprenants attestant des recherches et découvertes de la NASA au début des années 80, ainsi que quelques articles scientifiques que j'ai archivés au cours de mes recherches. Sans m'avancer dans des prédictions que je n'ai pas la capacité de faire et que je n'ai pas envie de faire, je crois tout de même que l'approche de ce corps céleste, possédant son propre orbite, va créer un domino de bouleversements, un enchaînement de désastres, à cause des radiations et de la force électromagnétique qui s'en dégage. 

Les scientifiques qui ont annoncé en janvier dernier avoir perçu l'existence d'une "possible 9ème planète", disent que leurs travaux reposaient essentiellement sur une démonstration mathématique. Intéressant de constater que les particularités de cette neuvième planète, selon les travaux de Brown et Batygin, sont excessivement similaires à celles énumérées par la NASA au début des années 80 et en 2011.

Est-ce que le télescope à infrarouge du Vatican nommé "L.U.C.I.F.E.R" (Large Binocular Telescope Near-Infrared Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research) pourrait servir, entre autres ou précisément, à anticiper l'approche de la "Planète X"? Et plus récemment, le super radiotélescope (FAST) de la Chine?

L'article du New York Times, du 30 janvier 1983, concerne le lancement de l’IRAS (Satellite astronomique infrarouge), dont le but est de rechercher la "Planète X".

Le titre est on ne peut plus clair:

"Clues get warm in the search for Planet X’"

L'article du Washington Post, du 30 décembre 1983, annonce que l'IRAS a trouvé un objet (un monstre) qui correspond à ce que les scientifiques cherchaient, en direction de la constellation d'Orion (2 sources):

"Orbiting eye reveals mystery space monster"

Article du Huffington Post (22 mai 2012):
"Planet X?' Odd Orbits In Solar System May Mean Unseen Object, Astronomer Conjectures"

Article dans le magazine Astrobiology (11 mars 2010): voir la traduction en bas de page
"Getting WISE About Nemesis"

Article du Daily Mail (14 février 2011):
"Largest planet in the solar system could be about to be  discovered - and it's up to four times the size of Jupiter" (voici la traduction):

Les scientifiques pensent avoir trouvé une nouvelle planète aux confins du système solaire, jusqu'à 4 fois la masse de Jupiter.

Son orbite serait des milliers de fois plus loin du Soleil que celle de la Terre, ce qui pourrait expliquer pourquoi elle est restée inconnue jusqu'à présent.

Ces données pourraient prouver l'existence de Tyché, une géante gazeuse dans le nuage externe d'Oort, lesquelles seront prêtes à être publiées plus tard cette année, malgré que certains pensent que la NASA l'a déjà observée avec son télescope Wise. (cliquez ici pour voir l'article "Getting Wise about Nemesis")

Le professeur Daneil Whimire de l'Université de Louisianne à Lafayette croit que les données peuvent prouver l'existence de Tyché dans les deux prochaines années. Il a déclaré qu'il croit qu'elle serait composée d'hydrogène et d'hélium, avec une atmosphère semblable à Jupiter, avec des taches, des anneaux et des nuages. Il a rajouté qu'elle pourrait même avoir des lunes.

Si elle est confirmée [elle l'est déjà], elle deviendra la neuvième planète et potentiellement la plus grande. Elle aura alors à être acceptée par l'Union astronomique internationale.

Source:

Dans l'article du Washington Post de 1983, nous retrouvons la liste des particularités de "Planète X", les mêmes que décrites dans les travaux de Brown et Batygin :

"L'explication la plus fascinante de ce corps mystérieux, qui est si froid, qui ne projette aucune lumière et qui n'a jamais été vu par des télescopes optiques sur Terre ou dans l'espace, est qu'il s'agit d'une planète géante gazeuse aussi grande que Jupiter et située à 50 milliards de milles de la Terre. Ce corps céleste a été vu deux fois par le satellite infrarouge alors qu'il balayait le ciel du nord, de janvier à novembre, et lorsque le satellite est sorti du "super froid d'hélium" ça a permis à son télescope de voir les organismes les plus froids dans les cieux. Quoi qu'il en soit, Houck a dit que ce corps mystérieux est si froid que sa température est d'au plus 40 degrés au-dessus du "zéro absolu", ce qui représente 456 degrés Fahrenheit en dessous de zéro."

Un article du Newsweek de 1982 intitulé: 
"Est-ce que le soleil a un compagnon" (“Does the Sun Have a Dark Companion”) dit ceci:

"Lorsque les scientifiques ont remarqué qu'Uranus ne suivait pas son orbite prévue, ils n'ont pas remis en question leurs théories. Au lieu de cela, ils ont blâmé les anomalies d'une planète encore invisible et, Neptune a été découverte en 1846... Maintenant, les astronomes utilisent la même stratégie pour expliquer les bizarreries dans les orbites d'Uranus et de Neptune. Selon John Anderson du Jet Propulsion Laboratory à Pasadena en Californie, ce comportement bizarre suggère que le soleil a un compagnon invisible, un astre sombre gravitationnellement lié à lui, mais à des milliards de milles."

Est-ce que cette théorie selon laquelle le soleil puisse avoir un compagnon fait du sens aujourd'hui? Le télescope IRAS a été lancé pour examiner des gros objets froids avec la technologie infrarouge. L'IRAS a trouvé un objet super froid dans la constellation d'Orion et celui-ci ne peut être vu qu'avec des télescopes comme IRAS, rien d'autres.

Ci-dessous, vous pourrez faire l'écoute d'un documentaire extrêmement intéressant qui explique la précession des équinoxes et qui démontre que nous vivons dans un système stellaire binaire. Gardez à l'esprit que la plupart des étoiles sont en orbite binaire avec une ou plusieurs étoiles et si ce n'était pas le cas pour le Soleil, il serait l'exception...

Le narrateur du documentaire est James Earl Jones, celui qui a fait la voix de Darth Vader, le commandant de l'Étoile de la Mort dans Star Wars...

Traduction de l'article:
"Getting WISE About Nemesis"


Comparaison de la taille de notre Soleil avec, une étoile de faible masse, une naine brune, Jupiter et la Terre. Les étoiles possédant moins de masse que le Soleil sont plus petites et plus froides, et donc beaucoup plus faiblement observables à la lumière visible. Les naines brunes ont moins de huit pour cent de la masse du Soleil, ce qui n'est pas suffisant pour maintenir la réaction de fusion qui permet au Soleil de conserver sa chaleur. Ces corps célestes froids sont presque impossibles à voir dans la lumière visible, mais se distinguent lorsqu'ils sont observés dans l'infrarouge. Leur diamètre est environ le même que celui de Jupiter, mais ils peuvent avoir jusqu'à 80 fois plus de masse et on pense qu'ils possèdent leurs propres systèmes planétaires. Crédit Photo: NASA

Un objet sombre pourrait se cacher près de notre système solaire, percutant et envoyant à l'occasion des comètes dans notre direction. Surnommé «Némésis» ou «l'Étoile de la mort », cet objet non détecté pourrait être une naine rouge ou brune, ou une entité encore plus sombre de plusieurs fois la masse de Jupiter. Pourquoi les scientifiques pensent-ils que quelque chose pourrait se cacher au-delà des confins du système solaire ? À l'origine, l'hypothèse de Némésis a été suggérée pour tenter d'expliquer le cycle des extinctions de masse sur la Terre.

D'après les paléontologues David et Jack Raup Sepkoski, au cours des 250 derniers millions d'années, la vie sur Terre a du faire face à des extinctions massives selon un cycle de 26-millions d'années. Des astronomes ont proposé l'hypothèse d'impacts de comète comme cause possible de ces catastrophes.

Notre système solaire est entouré d'une vaste collection de corps glacé appelé le nuage de Oort. Si notre Soleil faisait partie d'un système binaire dans lequel deux étoiles liées gravitationnellement orbitaient autour d'un centre commun , cette interaction pourrait perturber le nuage d'Oort de façon périodique, en envoyant des comètes vers nous.

L'impact d'un astéroïde est réputé responsable de l'extinction des dinosaures il y a 65 millions d'années, mais l'impact d'une grande comète peut être tout aussi mortel. Une comète a peut-être été la cause de l'événement de Tunguska en 1908 en Russie. Cette explosion représente environ mille fois la puissance de la bombe atomique larguée sur Hiroshima, elle a aplati plus de 80 millions d'arbres sur une zone de 830 miles carrés.

Bien qu'il y ait peu de doute sur la puissance destructrice de leurs impacts, il n'existe aucune preuve que des comètes ont régulièrement provoqué des extinctions de masse sur notre planète. La théorie des extinctions périodiques elle-même est toujours un sujet de débat, de nombreuses personnes insistant sur le fait que plus de preuves sont nécessaires. Même si le consensus scientifique est que les extinctions ne se produisent pas en suivant un cycle prévisible, il existe maintenant de nouvelles raisons de soupçonner l'existence d'un compagnon obscur de notre Soleil.

L'empreinte de Némésis


Une planète naine, récemment découverte, Sedna, possède une orbite extra longue et d'elliptique habituel autour du Soleil. Sedna est l'un des objets les plus éloignés jamais observés, avec une orbite allant de 76 à 975 UA (1 UA est la distance entre la Terre et le Soleil). La durée de l'orbite de Sedna est estimée entre 10,5 à 12 mille ans. L'inventeur de Sedna, Mike Brown, de Caltech, a écrit dans un article pour le magazine Discover que la localisation de Sedna n'avait pas de sens.

«Sedna ne devrait pas être là« , a déclaré Brown. « Il n'y a pas de raisons pour expliquer sa présence à cet endroit. Elle ne vient jamais assez près pour être affectée par le Soleil, mais elle ne s'éloigne, non plus, jamais assez du Soleil pour être affectée par d'autres étoiles. »

Un objet massif invisible est peut-être est responsable de l'orbite mystificatrice de Sedna, son influence gravitationnelle maintiendrait Sedna fixé dans cette partie lointaine de l'espace.

«Mes études ont toujours porté sur des objets plus proches et donc plus rapides« , a déclaré Brown à Astrobiology Magazine. « J'aurais facilement négligé quelque chose de si lointain et de lent comme Némésis. »

John Matese, professeur émérite de physique à l'Université de Louisiane à Lafayette, suspecte l'existence de Némésis pour une autre raison. Les comètes dans le système solaire interne semblent pour la plupart provenir de la même région du nuage d'Oort, et Matese pense que l'influence gravitationnelle d'un compagnon du Soleil perturbe cette partie du nuage, éparpillant des comètes dans son sillage. Ses calculs indiquent que la masse de Némésis est comprise entre 3 et 5 fois celle de Jupiter, plutôt que 13 fois comme pensent certains scientifiques qui stipulent qu'il s'agit d'une qualité nécessaire pour une naine brune. Même avec cette faible masse, de nombreux astronomes la classifieraient encore comme une étoile de faible masse plutôt qu'une planète, car les circonstances de la naissance des étoiles et des planètes différentes.


Le "Nouvel objet" figurant dans cette image est Sedna, une planète naine avec une orbite de 12 000 ans autour du Soleil. L'orbite allongée de Sedna constitue un mystère.

Le nuage de Oort est censé s'étendre à environ une année-lumière du Soleil. Matese estime que Némésis est à 25.000 UA (ou près d'un tiers d'année-lumière). L'étoile suivante connue la plus proche du Soleil, est Proxima du Centaure, située 4,2 années-lumière.

Richard Muller de l'Université de Berkeley en Californie fut le premier à suggérer la théorie de l'existence de Némésis, il a même écrit un livre de vulgarisation scientifique sur le sujet. Il pense que Némésis est une étoile naine rouge située à 1.5 année-lumière. Beaucoup de scientifiques opposent qu'une telle orbite est intrinsèquement instable et ne pourrait pas avoir duré longtemps – et certainement pas assez longtemps pour avoir causé les extinctions enregistrées par les fossiles terrestres. Muller pense que cette instabilité a entraîné de grands changements de l'orbite au cours des milliards d'années, et que dans les prochains milliards d'années Némésis sera libéré du système solaire.

Les systèmes d'étoiles binaires sont communs dans la galaxie. Il est estimé qu'un tiers des étoiles dans la Voie lactée fassent parties de systèmes binaires ou de système à étoiles multiples.

Les naines rouges sont également courantes – en fait, les astronomes disent qu'elles sont le type le plus commun d'étoiles dans la galaxie. Les naines brunes sont également réputées pour être largement répandues, mais seules quelques centaines sont répertoriées à ce jour parce qu'elles sont très difficiles à observer. Les naines brunes et rouges sont plus petites et plus froides que notre Soleil, de plus, elles ne brillent pas très fortement. Si les naines rouges peuvent être comparées aux braises rougeoyantes d'un feu mourant, les naines brunes en seraient les cendres fumantes. Compte tenu de la faiblesse de son rayonnement, il est plausible que le Soleil puisse avoir un compagnon secret, malgré toutes nos recherches pendant de nombreuses années et avec une grande variété d'instruments.

Mais, le plus récent des télescopes de la NASA, WISE (Wide-field Infrared Survey – recherche infrarouge à large champ), est peut-être en mesure de résoudre l'énigme Némésis une fois pour toutes.

Chercher des nains dans le noir


Illustration du «nuage de Oort, une vaste étendue de comètes censée se situer une année-lumière au-delà de notre Soleil. Crédit image: NASA / JPL / Donald K. Yeoman

WISE observe notre univers dans la partie infrarouge du spectre. Comme le télescope spatial Spitzer, WISE est un chasseur de chaleur. La différence est que WISE possède un champ de vision beaucoup plus large, et qu'il est donc capable de scruter de plus grandes étendues de ciel à la recherche d'objets éloignés.

WISE a commencé à balayer le ciel le 14 janvier 2010, et la NASA a récemment publié les premières images de la mission. La mission permettra de cartographier l'ensemble du ciel d'ici octobre, avant que le liquide de refroidissement de la sonde soit épuisé.

Une partie de la mission WISE est de rechercher des naines brunes, et la NASA espère qu'elle pourrait trouver un millier d'objets stellaires sombres dans un rayon de 25 années-lumière autour de notre système solaire.

Kirkpatrick du Centre d'analyse et de traitement des infrarouges de la NASA à Caltech n'a rien trouvé quand il a effectué une recherche de Némésis à partir des données du Two Micron All Sky Survey ( 2MASS ). Aujourd'hui, Kirkpatrick fait partie de l'équipe scientifique de WISE, et il est prêt à effectuer une nouvelle recherche de tout indice indiquant la présence d'un compagnon de notre Soleil.

Kirkpatrick ne pense pas que Némésis sera une étoile naine rouge avec une orbite énorme comme celle décrite par Muller. À son avis, la description faite par Matese de Némésis, celle d'un objet de faible masse et plus proche est plus plausible.

« Je pense que la possibilité que le Soleil puisse abriter un compagnon d'un autre genre n'est pas une idée folle», a déclaré Kirkpatrick. « Il pourrait y avoir un objet distant dans une orbite plus stable, plus circulaire et qui serait passé inaperçu jusqu'à présent. »

Ned Wright, professeur d'astronomie et de physique à l'UCLA et chercheur principal pour la mission WISE, a déclaré que WISE permettra de voir un objet avec une masse de plusieurs fois celle de Jupiter et située à 25.000 UA, comme le suggére Matese.

Les astronomes pensent qu'il pourrait y avoir autant de naines brunes que d'étoiles comme notre Soleil, mais les naines brunes sont souvent trop froides pour être observées en utilisant la lumière visible. En utilisant la lumière infrarouge, la mission WISE pourrait trouver de nombreuses naines brunes dans les 25 années-lumière autour du Soleil. Ces deux images montrent des données simulées avant et après la mission WISE (les étoiles ne sont pas réelles). L'image simulée sur la gauche montre les étoiles connues (en blanc et jaune) et les naines brunes (en rouge) dans notre voisinage solaire. L'image de droite montre les naines brunes supplémentaires que WISE pourrait trouver. Crédit image: NASA / JPL-Caltech

Les astronomes pensent qu'il pourrait y avoir autant de naines brunes que d'étoiles comme notre Soleil, mais les naines brunes sont souvent trop froides pour être observées en utilisant la lumière visible. En utilisant la lumière infrarouge, la mission WISE pourrait trouver de nombreuses naines brunes dans les 25 années-lumière autour du Soleil. Ces deux images montrent des données simulées avant et après la mission WISE (les étoiles ne sont pas réelles). L'image simulée sur la gauche montre les étoiles connues (en blanc et jaune) et les naines brunes (en rouge) dans notre voisinage solaire. L'image de droite montre les naines brunes supplémentaires que WISE pourrait trouver. Crédit image: NASA / JPL-Caltech

« C'est parce que Jupiter est autolumineuse comme une naine brune », a déclaré Wright. « Mais pour des planètes moins massives que Jupiter dans le système solaire externe lointain, WISE sera moins sensible. »


La comète "Siding Spring" apparaît comme un éclair dans le ciel tel un super héros dans cette nouvelle image de WISE. WISE sera la recherche de comètes et d'astéroïdes qui pourraient constituer une menace pour la Terre. Crédit image: NASA / JPL-Caltech / UCLA

Cependant ni Kirkpatrick ou Wright ne pensent que Némésis pourrait perturber le nuage d'Oort et provoquer l'envoi de comètes vers la terre. Parce qu'ils envisagent une orbite plus bénigne, ils préfèrent le nom de «Tyché » (la bonne sœur).

Indépendamment de ce qu'ils s'attendent à trouver, les recherches de WISE ne se concentreront pas sur une région particulière du ciel.

«La chose fabuleuse avec WISE, comme c'était également le cas avec 2MASS, c'est qu'il s'agit d'une étude de tout le ciel », a déclaré Kirkpatrick. « Il y aura certaines régions telles que le plan galactique où les observations seront moins fines, et d'autres plus peuplées, mais nous les observerons également. Donc, nous ne privilégions pas le ciblage de certaines directions. »

Nous pouvons ne pas avoir de réponse à la question Némésis avant la mi-2013. En effet, WISE doit scruter le ciel à deux reprises afin de générer des images « time lapse »(décalées dans le temps) dont les astronomes ont besoin pour détecter des objets dans le système solaire externe. Le changement d'emplacement d'un objet entre le moment de la première analyse et la seconde indique aux astronomes la localisation de l'objet et de l'orbite. Puis vient la longue tâche de l'analyse des données.

«Je ne doute pas que nous ayons achevé la recherche d'objets candidats avant la mi-2012, puis nous pourrions avoir besoin encore d'un an pour terminer le suivi télescopique de ces objets», a déclaré Kirkpatrick.

Même s'il ne trouve pas Némésis, le télescope WISE éclairera d'une nouvelle lumière les coins les plus sombres du système solaire. Le télescope peut être utilisé pour rechercher des planètes naines comme Pluton qui orbitent autour du Soleil hors du plan de. Les objets qui composent le nuage de Oort sont trop petits et trop lointains pour que WISE puisse les voir, mais il sera en mesure de suivre les comètes et les astéroïdes potentiellement dangereux près de chez nous.

FIN de l'article ""Getting WISE About Nemesis"

"Le troisième ange sonna de la trompette. Et il tomba du ciel une grande étoile ardente comme un flambeau; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux. Le nom de cette étoile est Absinthe; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères.

Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même."

Apocalypse 8

1 commentaire:

  1. Les deux sources citées pour l'article du Washington Post du 30 décembre 1983 sont discutables. Par contre celle-ci l'est beaucoup moins, puisqu'elle est issue du WP lui-même : https://www.washingtonpost.com/archive/politics/1983/12/30/possibly-as-large-as-jupiter/1075b265-120a-4d40-9493-a8c523b76927/?utm_term=.e47630883589

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