lundi 2 mai 2016

Adélaïde, ville d'Australie, est actuellement un laboratoire pour devenir la première "ville intelligente" au monde où seront utilisées "l'internet des choses" et les technologies émergentes pour améliorer le fonctionnement de la ville et la surveillance globale

Une coalition de responsables provenant du gouvernement australien, de la ville d'Adélaïde, d'entreprises, de l'université et de grandes sociétés technologiques qui se mobilisent actuellement pour faire de la ville d'Adélaïde un modèle de ville technologique qui pourra être exporté à travers le reste de l'Australie et dan
2s le monde entier.

Adélaïde est assez petite pour être utilisée comme un laboratoire, mais assez grande pour y entreprendre des initiatives ambitieuses, explique un professeur des sciences informatiques de l'Université d'Adélaïde. L'idée centrale d'une ville intelligente est l'internet des objets, soit des objets du quotidien qui comportent la connectivité en ligne. D'autres technologies prospectives sont étudiées dans le domaine de la sécurité dont des lecteurs biométriques qui permettent aux ambulanciers d'obtenir les dossiers médicaux des patients inaptes, via un scan des empreintes digitales ou via des techniques de reconnaissance vidéo qui sont aussi capables d'identifier les suspects d'un crime et ce, même s'ils portent un masque.

Lancé il y a 8 mois, les principaux acteurs du projet sont l'Université d'Adélaïde, le ministère sud-australien du développement de l'État, le conseil de ville, les entreprises locales ainsi que les géants Ernst and Young, Cisco, Microsoft, Oracle, Fuji, Xerox et NEC Australia.

La NEC (société industrielle japonaise d'informatique et de télécommunication) a beaucoup à offrir en matière de sécurité publique avec les technologies d'identification biométrique déjà utilisées sur les smartphones de la police du sud et du nord australien. Ces technologies permettent une identification immédiate des membres du public.

La NEC a été impliquée dans une initiative similaire en Grande-Bretagne dans le cadre du Bristol Is Open.

Source:

8 commentaires:

  1. Ouille... Intelligent city for dumb people and dumbing people je suppose ? Une expérience à suivre de près.
    Corpus

    RépondreSupprimer
  2. Très intelligent, une panne d’électricité et paf la ville s’effondre.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ce qui est intelligent, dans leur agenda à eux, c'est que la survie et l'autonomie de la population dépendra entièrement de l'entité qui aura la main sur l'interrupteur on/off. Donc, pour avoir un contrôle parfait et absolu dans leur logique de gouvernance mondiale, ça prend des villes intelligentes où toutes les fonctionnalités de la vie courante s'activent et sont maintenues "de l'extérieur". De cette façon, ils pourront garder la main mise sur toutes les activités du quotidien puisque aussitôt que l'interrupteur va se fermer, la population va s'incliner pour réclamer les "privilèges" qu'on lui aura accordés.

      L'électricité, l'eau courante et autres utilités seront des "privilèges" accordés par l'État le jour où ils nous auront fait croire que nous ne pouvons survivre sans leur intervention miséricordieuse!!!

      Supprimer
    2. C'est bien cela d'infimes privilèges consentis du bout des lèvres. Cette citation du jour sur sott.net (la source:http://www.jasez.ca/forums/topic,24193-_la_s_paration_du_qu_bec_du_reste_du_can.html) tombe joliment bien pour illustrer ton propos Isabelle :

      "Tout est privilège concédé par l'état: votre voiture, votre maison, votre profession, bref votre vie; et ce que l'état donne, il peut le reprendre si vous n'êtes pas un contribuable docile." Pierre-André Paré, ex sous-ministre au Ministère du Revenu du Québec, devant une commission de l’assemblée Nationale du Québec, rapporté par Le Devoir, le 6 avril 1996

      Ça ressemble de plus en plus à ces films de science-fiction dans lesquels les résistants vivent dans les égouts, les canalisations ou encore dans des lieux abandonnés aux immeubles défoncés, là où les autorités n'ont pas cru bon installer (ou en apparence, comme dans 1984) de la technologie intelligente... on est dan une ère d'esprit de la ruche!
      Corpus


      Supprimer
    3. Cet ex sous-ministre n'avait pas la langue de bois en 1996!

      "Contribuable docile"... ça me fait gricher des dents! Et c'est pourtant bien la véritable appellation puisque si nous sommes pris en défaut par le ministère de l'impôt, ses sbires à cravates ont tous les pouvoirs de saisies.

      Supprimer
    4. Incroyable hein dire cela 'contribuable docile'! Juste ça aurait dû allumer plein de gens. Docilité pas seulement d'un point de vue fiscal. Ce qu'on aura gagné à la sueur de notre front, l'État/banque te le reprend sans sourciller. La liberté d'exprimer son désaccord, par exemple.

      Rebaptisons la Charte des droits... Charte des privilèges du citoyen docile, ce qui révèle une tout autre réalité ! Si donc un droit peut être retiré, c'est qu'il n'en est pas un. Ce n'est qu'un privilège ne nous en déplaise. (Le stand-up Georges Carlin en parlait dans un de ses sketchs dans les années 80 ou 90 :-))
      Corpus

      Supprimer
  3. L' intelligence des machines et l'esclavage des hommes sans énergie ,que sur commande ,bravo l'évolution je pense que certain seront les premiers à se jeter dans cette abîme

    RépondreSupprimer
  4. c'est simple ....Adélaïde, ville d'Australie, est actuellement un laboratoire pour esclaves humains ,dociles complétement déshumanisé """""mais c'est un laboratoire climatisée""""" une des plus belle création de nos psychopathes francs macaques et OUISTITI ....QUELLE MONDE DIRIGER PAR DES vieux tarés qui ont vendus leurs Ames ..au nom du grand architecte le dieux satanique des francs macaques ou momies francs maçonnes c'est comme on veut
    quelle monde !!! diriger par des dégénérés c'est incroyable mais .....vraie ... prêt pour la puce RFID au nom de la liberté ??? ...PERSO JAMAIS ils ont qu'a se la mettre ou je pense ....tipman51 ..bye

    RépondreSupprimer