lundi 9 mai 2016

«Fort McMurray, le trou du cul du monde»

* Un peu raide comme titre, mais qui prend tout son sens en suivant le point de vue de celui qui raconte son expérience à Fort McMurray. Je ne sais pas si c'est le même constat, peu flatteur, qui pourrait être fait par une majorité de citoyens de Fort McMurray, mais j'avoue être étonnée/choquée de la réalité vue et perçue par ce jeune homme. 

http://journalmetro.com/opinions/coup-de-coeur-coup-de-gueule/960959/fort-mcmurray-le-trou-du-cul-du-monde/

4 commentaires:

  1. https://fr.sott.net/article/28185-Le-Far-West-Canadien-ce-que-cache-Fort-McMurray-videos

    Avec toute cette pollution et les déchets nucléaires en plus, même si je ne suis jamais allé dans cet endroit j'ai une forte tendance à croire qu'il y a beaucoup de vrai dans tout ce qu'écrit l'homme.
    Je sympathise avec la population de Fort McMurray, j'espère que ces gens pourront se relever le plus rapidement rapidement possible de cette tragédie et qu'ils pourront orienter autrement l'économie de leur région.

    gps

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  2. Fermont, ce n'est pas mieux, c'est bien pire que ça! À la mine, les camions consomment 5 000 litres de diesel par jour chacun et il y en a 40. Faites le calcul! C'est la pire place que j'ai connu de toute ma vie! Dégueulasse comme place. Les danseuses pouvaient bien se faire 250 000$ par année!

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  3. Effectivement, tout le secteur minier n'est que l'exploitation de différents trous! Mais quand on n'a pas de talent particulier suffisamment monnayable, c'est bien d'avoir un trou pour gagner sa vie... Même si c'est le plus puant des trous du cul du monde... Les mines clandestines africaines sont les plus immondes!

    Bisous
    André.

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  4. Il a bien raison... là où va s'installe l'exploitation pétrolifère, tout dégénère. ça m'avait sorti de l'esprit complètement les problèmes liés à ça, mais à l'île d'Anticosti... (paru dans le Devoir en 2014...

    Dans ce petit village où tout le monde se connaît, la criminalité est pour ainsi dire absente. Il n’y a d’ailleurs pas de police sur l’île. À l’aéroport, on peut voir le véhicule de la Sûreté Québec utilisé lorsqu’un policier vient — « rarement », nous dit-on — patrouiller.

    Tous ceux qui redoutent l’arrivée d’une industrie aussi intensive que celle des énergies fossiles, avec tout ce que cela peut supposer de problèmes sociaux, soutiennent que l’art de vivre des Anticostiens sera directement menacé.

    « Le pétrole viendrait totalement bouleverser notre mode de vie. C’est ce que je dénonce depuis le début, lance Frédéric Michaud. Ça signifie clairement la mort de notre potentiel touristique et de notre industrie de la chasse. Le pétrole a déjà des impacts sur la population, parce que le débat divise les gens. Et aller faire de l’exploration, c’est déjà mettre le doigt dans l’engrenage. »

    Corpus

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