* Ils ne veulent surtout pas que des individus [groupes patriotiques, miliciens, etc.), concernés par leur statut d'identification au sein des agences de police et du renseignement, puissent savoir et connaître à quel point ils sont des sujets d'intérêt et quelle est leur "côte" sur l'échelle du "terrorisme domestique"...
Le Federal Bureau of Investigation (FBI) veut empêcher la circulation de cette information au grand public, soit concernant sa base de données biométriques qui contient les empreintes digitales, du visage, de l'iris et empreintes de la voix de millions d'Américains.
Le ministère de la Justice est arrivé avec une proposition visant à exempter la base de données biométriques à la divulgation publique. Il indique que le système d'identification de nouvelle génération (NGI) ne devrait pas être soumis à la Loi sur la protection des renseignements personnels, qui exige que les organismes fédéraux doivent fournir aux gens l'accès aux documents qui ont été colligés les concernant, "leur permettant de vérifier et de corriger si nécessaire."
La proposition indique que de permettre aux particuliers de consulter leurs propres dossiers, ou même une partie de ces dossiers, pourrait compromettre les enquêtes criminelles ou les "efforts de sécurité nationale", en révélant potentiellement une "technique sensible d'enquête" ou fournissant des informations qui pourraient aider à un sujet "à éviter la détection ou l'appréhension".
La base de données contient des informations biométriques sur les personnes qui ont fourni des empreintes digitales aux employeurs, pour les licences et les vérifications des antécédents criminels ainsi que sur les criminels reconnus coupables et ceux qui ont été soupçonnés d'actes répréhensibles, même pour une courte période de temps, selon Underground Reporter.
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http://lesmoutonsenrages.fr/2016/05/24/soldat-cyborg-un-pas-de-plus/#more-95581
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