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Trump aura la vie dure jusqu'à la fin de son mandat, c'est assuré. Les scandales vont se succéder et les médias occidentaux vont nous répéter en boucle, et c'est déjà commencé, que Trump sera forcément destitué puisqu'il ne peut occuper le poste de président, blablabla... le formatage habituel quoi!
Le «shadow banning» des pages conservatrices sur les plus grands réseaux sociaux est directement lié à la stratégie visant à renverser Trump.Telle est la conclusion des médias américains qui ont pu consulter un document secret décrivant la coopération entre Facebook, Twitter et les forces politiques de gauche.
Le complot contre Trump est dirigé par le milliardaire George Soros, qui a déclaré la guerre au dirigeant américain immédiatement après la présidentielle de 2016, écrit jeudi le site d'information Gazeta.ru.
Les réseaux sociaux pour la gauche
Récemment, les plus grands réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et YouTube ont connu une vague de blocages des utilisateurs affichant des opinions politiques de droite. Les compagnies nient publiquement tout parti pris et affirment que les pages supprimées transgressaient les règles de conduite de leurs plateformes.
Néanmoins, le blocage a été confirmé par les statistiques. Donald Trump s'en est plaint, et a accusé les réseaux sociaux de «shadow banning» (action d'empêcher un utilisateur d'accéder à un contenu sans qu'il ne s'en rende compte). Selon lui, «Twitter bloque les comptes des membres du parti républicain».
Le «shadow banning» est différent de la suppression d'un compte: l'utilisateur reste sur le réseau social comme si de rien n'était, mais toute son interaction avec la plateforme est cachée aux abonnés. Personne ne voit ses likes, partages et commentaires, ce qui conduit à un isolement de sa page.
Le 6 août 2018, Facebook, YouTube et Apple ont bloqué le conspirationniste ultra-conservateur Alex Jones et son site InfoWars. Brad Parscale, chef du siège de campagne de Donald Trump et conseiller du Président dans le domaine digital, remarque que «la focalisation des grandes compagnies technologiques s'est nettement déplacée du côté des forces politiques de gauche».
Il s'avère que le «shadow banning» sur les réseaux sociaux correspond étrangement aux plans de la coalition financée par le milliardaire George Soros.
Cette dernière regroupe les groupes politiques qui ont l'intention de priver Donald Trump du pouvoir à Washington. Le premier à en parler a été le site The Gateway Pundit.
Un document confidentiel de 49 pages sur la stratégie de «victoire contre Trump» a vu officiellement le jour en janvier 2017. Une copie de ce plan intitulé «Democracy Matters» (La démocratie compte) a été obtenue par un journaliste de Washington Free Beacon, qui l'a postée en ligne.
Le document parle d'une coopération étroite avec les grandes plateformes médiatiques afin d'éliminer la propagande de droite et les fake news sur internet.
L'un des participants au complot contre Donald Trump est l'ONG Media Matters for America (MMfA), qui surveille, analyse et corrige la désinformation conservatrice dans les médias américains. La MMfA est notamment sponsorisée par le milliardaire George Soros, ainsi que les fondations qui lui appartiennent. Ce dernier est considéré comme l'un des plus fervents critiques de Donald Trump: il a investi près de 20 millions de dollars dans la campagne électorale d'Hillary Clinton, et a également subi de grandes pertes financières après la victoire de Trump à l'élection.
Le document rendu public souligne que MMfA et d'autres organisations de gauche ont accès aux données-source de Facebook, de Twitter et d'autres réseaux sociaux, ce qui leur permet de surveiller et d'analyser le contenu sur d'autres plateformes.
«Avec la nouvelle technologie dont nous disposons, nous pourrons suivre l'actualité en temps réel et identifier les publications mensongères avec une précision mathématique en créant un système de notification anticipée de fakes et de désinformation», indique la stratégie.
De plus, Media Matters aurait déjà rencontré la direction de Facebook pour présenter la nouvelle technologie et évoquer la lutte contre les fake news.
Si ladite technologie existait réellement, elle devrait attirer l'attention de Facebook et d'autres réseaux sociaux qui n'arrivent pas à gérer le flux de désinformation qui s'abat quotidiennement sur les plateformes. Les autorités américaines ont critiqué plusieurs fois le site de Mark Zuckerberg pour son incapacité à stopper les fake news et la propagande politique.
Après l'élection de Donald Trump, George Soros a perdu près d'un milliard de dollars à cause d'un mauvais placement dans les titres de valeur. Cette perte conséquente et ses liens étroits avec Clinton ont conduit à une déclaration de guerre ouverte au président américain.
En janvier 2017, Soros a qualifié Trump de «menteur, malfaiteur et dictateur potentiel».
Selon lui, la politique du chef de l'État américain est vouée à l'échec à cause des divergences parmi ses conseillers. Néanmoins, Soros s'efforce d'accélérer le départ de Trump par tous les moyens, y compris les fondations financières prônant la destitution du dirigeant américain.
En début d'année, George Soros avait particulièrement critiqué Facebook et Google, compagnies avec lesquelles il cherche à présent à établir un dialogue. Le milliardaire accusait alors ces dernières de manipuler l'attention pour en tirer un profit financier. De plus, il a qualifié les compagnies technologiques de «menace à la démocratie moderne si elles décidaient de s'unir avec les gouvernements de certains pays».
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La SEULE réponse que peut faire le président Trump est la Déclaration de la Démocratie aux États-Unis !
RépondreSupprimerDe cette façon, les 320 millions d'Américains pourront enfin s'exprimer librement comme en Suisse !