lundi 13 août 2018

Relativiser la courbe de la température globale en prenant en compte qu'elle indique des fractions d'un degré Celsius!

Voici un graphique de la température globale entre 1850 et 2017, dont les sources sont clairement affichées. On voit que la courbe des températures commence à s'élever au-dessus de 0.1 degrés Celsius vers 1998. 

0.0 représente un "état climatique moyen", donc toute mesure qui se situe au-dessus et en-dessous de 0.0 est considérée comme une "anomalie" comparativement à la moyenne. Sur ce même graphique, on voit qu'entre 1998 et plus ou moins 2012, il y a une variabilité à la hausse de 0.1 et 0.3 degrés Celsius. 

La courbe ascendante, à première vue, est spectaculaire et alarmante n'est-ce pas? Mais en réalité, on parle ici d'une anomalie, en moyenne, de 0.2 degrés Celsius. Pas de quoi en faire tout un plat!


Maintenant, regardons le graphique de la température globale, données provenant de la NOAA, entre 1881 et 2017. 


Pas mal moins spectaculaire n'est-ce pas! C'est à cela que ressemble le prétendu réchauffement climatique.

Étonnamment, malgré les canicules incessantes sur l'hémisphère Nord, juillet 2018 ne montre qu'une anomalie de 0.32 C. et se trouve en dessous des anomalies de 1998 et 2016. Le réchauffement climatique serait-il une science à ce point illogique?

3 commentaires:

  1. Bonjour,
    On ne peut pas réaliser une telle étude sans considérer au minimum les points suivants:
    1- Il faut encadrer les valeurs et les résultats de comparaisons par un calcul d'incertitudes des mesures de temperatures. il faut en effet prendre en compte l'exactitude des thermomètres pour chaque époque: Par exemple un thermomètre à alcool ou au mercure du passé était étalonné en deux points (0 degré- glace fondante et 100 degrés ébullition de l'eau.Quelle était son exactitude au point de mesure, par exemple, certainement +/- 0.5°C compte tenu de l'irrégularité du tube)
    2- Il faut tenir compte des zones mesurées selon l'époque: On ne peut pas comparer le maillage effectué actuellement avec le nombre restreint de mesures dans le passé; les mesures en mer par exemple n'ayant rien à voir avec les mesures terrestres.
    3- Il faut tenir compte des méthodes qui ont évolué.

    C'EST pourquoi parler de réchauffement climatique sur quelques dixièmes, même sur un calcul de moyenne, sans préciser les incertitudes liées aux différences de méthodes et les zones considérées n'a aucune valeur scientifique.
    Gilles / metrologue.

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    1. Je ne connaissais pas l'existence d'un "métrologue". Intéressant. Votre expertise rend encore plus nuancée les données sur le prétendu réchauffement climatique.

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  2. merci pour cette article

    un article à voir ?

    http://www.legorafi.fr/2018/08/16/sponsorise-toujours-aucune-preuve-du-rechauffement-climatique/

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