* À en juger par la vidéo, ça donne envie de leur foutre un bon coup de pied au derrière, ne serait-ce que pour le seul fait de jeter de la nourriture préparée pour eux. Sans compter que la communauté locale, selon plusieurs médias, est terrorisée par leur présence puisqu'ils ne sont pas à leur première démonstration de rage.
Au Québec, actuellement, des centaines de sinistrés de la tornade du 21 septembre, n'ont plus rien, plus de demeure, plus de vêtements, plus rien. Ils sont entassés dans de vastes salles, dorment sur des lits de camp, attendent en ligne pour recevoir leur nourriture préparée par des bénévoles. Pour plusieurs, ils doivent continuer d'aller travailler pour s'accrocher à l'espoir de se rebâtir une vie en se couchant à tous les soirs en écoutant le son des pleurs et le vacarme de leurs propres angoisses. Même situation pour les milliers de sinistrés des inondations. Que l'on vienne d'un pays dévasté par la pauvreté et par la guerre, ou d'un pays en apparence favorisé, quand le malheur frappe, la gravité des souffrances qu'il inflige est la même. La colère, l'indignation et la rage sont des émotions légitimes face à de tels drames, mais de répondre en action par la violence et la destruction c'est de la pure sauvagerie.
En juillet 2017, des réfugiés provenant du Pakistan et du Bangladesh ont mis le feu à leur propre campement de migrants sur l'île de Lesbos parce qu'ils étaient en colère de voir leurs demandes d'asile rejetées
En octobre 2016, ils ont fait la même chose en mettant le feu à des installations utilisées par le Bureau européen d'appui en matière d'asile
Selon le portail d'informations grecque News One, le fait de jeter de la nourriture était un moyen pour les habitants du camp de protester contre leurs conditions de vie.
Pour les Grecs, c'est très frustrant, car actuellement, beaucoup de Grecs ne peuvent pas se permettre de satisfaire leurs besoins de base.
Plus tôt aujourd'hui, nous avons interviewé le maire de l'île et il a déclaré que les habitants avaient perdu confiance dans les autorités:
"La communauté locale est fatiguée de ce problème non résolu et a également perdu confiance dans ce que l'administration centrale et l'Union européenne ont promis mais non livré", a déclaré le maire de Lesbos, Spyros Galinos.
En mai, il a déclaré que sur l'île, "les femmes ont peur de sortir de chez elles, nous gardons nos enfants dans nos maisons", l'île étant épuisée par la situation dangereuse des migrants.
Sources:
Bientôt,au Québec!!!
RépondreSupprimerJe conseil un jeune de deux jrs car ils semblent trop energique.ils doivent etre trop bien nourrie .loll...Les invasions barbares arrivent
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