dimanche 30 décembre 2018

Bienvenue dans la dystopie orwellienne de Xi Jinping!

L'étendue de la domination géostratégique de la Chine sur l'échiquier mondial ainsi que l'idéologie totalitariste de son dirigeant nous font réaliser à quel point nos débats locaux et nationaux sont insignifiants! Un documentaire à voir avant de faire vos souhaits du nouvel an... ;0)



Bienvenue dans la dystopie orwellienne de Xi Jinping
La suite logique à ce système orwellien sera d'empêcher les "gens malhonnêtes" d'accéder à une abondance de nourriture, à un libre accès à l'éducation, au système de santé, de leur imposer des camps de travail forcé pour "rétablir leur cote". La dénonciation des "ennemis de l'État" sera récompensée, les insoumis seront emprisonnés, réformés ou mis à mort. Des classes sociales seront créées, chaque individu sera évalué et réparti selon les critères admis par l'État, et sera envoyé dans des zones d'habitation restreintes, séparées les unes des autres pour éviter la "contamination sociale". C'est dément, mais nous y sommes! 


Cliquez sur ces liens:
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/04/bienvenue-dans-la-dystopie-orwellienne.html

https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/06/le-systeme-de-credit-social-de-la-chine.html

https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/09/surveillance-le-reseau-francais.html

samedi 29 décembre 2018

Vaccingate: les Italiens découvrent une fraude liée aux vaccins


L'association pour la liberté de vaccination, Corvelva, fondée en 1993 et composée de scientifiques et de juristes, a annoncé avoir reçu un don de 10 000 euros de l'Ordre national des biologistes italiens le 26 octobre afin de tester la sécurité et l'efficacité des vaccins couramment utilisés pour la vaccination des enfants.

Le premier vaccin qu'ils ont testé de manière approfondie avec ce don est Infanrix Hexa, un vaccin six en un fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) qui est supposé contenir les antigènes suivants: toxoïdes du tétanos, de la diphtérie et de la coqueluche; souches virales 1-2-3 inactivées de la poliomyélite et antigène de surface de l'hépatite B

Corvelva n'a trouvé AUCUN de ces antigènes dans le vaccin, ce qui signifie qu'aucun anticorps ne serait créé contre les antigènes prévus.

Non seulement aucun antigènes vaccinaux n'ont été détectés, mais ils ont trouvé ce qui suit:

- des traces de 65 contaminants chimiques dont 35% seulement sont connus, issus du processus de fabrication ou de contamination croisée avec d'autres chaînes de fabrication;

- toxines chimiques;

- toxines peptidiques bactériennes, des allergènes potentiels capables d'induire des réactions auto-immunes;

- macromolécule insoluble et non digestible qui réagit au dosage des protéines, mais qui ne peut être reconnue par aucune base de données de protéines.

Vous pouvez trouver le résumé des premières analyses du vaccin
 Infanrix Hexa du groupe Corvelva sur leur site:

Ici le rapport des premiers résultats détaillés:

Le 24 décembre, sur leur site, Corvelva a publié une mise à jour concernant les résultats d'analyses, débutées il y a quelques mois, du vaccin Priorix Tetra (rougeole-rubéole-oreillons-varicelle) fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK). Les analyses précédentes montraient des problèmes au niveau des mutations dans le génome des virus et au niveau des quantités absurdes d’ADN.

L'extension des analyses chimiques/protéines révèlent la présence de traces de composés de contaminants résiduels, dont des traces du médicament Vigabatrin et Gabapentine (antiépileptiques), d'un médicament expérimental anti-VIH, d'antibiotiques, d'herbicides, d'acaricides (insecticides), de métabolites de la morphine, de Viagra, à vos souhaits!

Mais ce n'est pas tout...

La présence d'ADN fœtal en grande quantité a été confirmée (1,7 µg dans le premier lot et 3,7 µg dans le deuxième lot), soit environ 325 fois la limite maximale fixée à 10 nanogrammes et 325 000 fois supérieur à la limite minimale de 10 picogrammes. Les cellules issues de bébés avortés font partie de la composition des vaccins, c'est connu et utilisé depuis les années 60!

https://www.corvelva.it/speciali-corvelva/analisi/vaccinegate-priorix-tetra-analysis-2nd-step-update.html

Liens complémentaires

Une nouvelle étude scientifique publiée dans les archives de l'Académie nationale des sciences (PNAS) révèle que les personnes vaccinées contre la grippe émettent 630% plus de particules virales dans l'air que les individus non vaccinés
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/02/une-nouvelle-etude-scientifique-publiee.html

CNBC: "Des preuves scientifiques démontrent que les individus vaccinés avec des vaccins contenant des virus vivants comme le RRO (rougeole, rubéole et oreillons), rotavirus, varicelle, zona et grippe, peuvent excréter le virus pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois et donc, infecter les vaccinés ainsi que les non vaccinés
http://www.cnbc.com/id/102473744#

Le site de la bibliothèque nationale de médecine des États-Unis a publié un article en mars 1991 à propos d'une flambée de cas de rougeole dans un collège du Colorado qui a fait 84 malades chez les étudiants qui étaient à 98% vaccinés contre la maladie (en 1988)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1405017/

La moitié des élèves qui ont contracté le virus avaient pourtant reçu les deux doses du vaccin contre la rougeole
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2011/12/la-moitie-des-eleves-qui-ont-contracte.html

Des étudiants vaccinés contre la coqueluche ont contracté la maladie dans une école de Californie, à l'intérieur de laquelle 99,5% de la population étudiante était adéquatement vaccinée
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2015/04/des-etudiants-vaccines-contre-la.html

Une autre caravane de migrants - estimée à 15 000 personnes - se prépare à quitter le Honduras le 15 janvier selon des défenseurs des droits des migrants et des médias espagnols

* Investir des milliards de dollars pour créer des emplois et ainsi garder les migrants au sud du Mexique est une idée tout de même créative, mais les Mexicains et les Américains qui financent ces projets d'investissement en diront quoi? Surtout les Mexicains qui pour la plupart crèvent de faim et voient leur gouvernement donner leur argent pour "sauver la peau" de purs étrangers...

"Ils disent qu'ils sont encore plus gros et plus forts que la dernière caravan", a déclaré Irma Garrido, membre du groupe de défense des migrants, Reactiva Tijuana Foundation.

Pendant ce temps, des milliers de migrants d'Amérique centrale qui ont  quitté le Honduras en octobre restent bloqués à la frontière américano-mexicaine et croupissent dans des abris surpeuplés de Tijuana dans l'attente d'un long processus de demande d'asile auprès des États-Unis.

Les coordinateurs qui ont aidé à diriger les migrants sur les 2 000 km parcourus avec des porte-voix, à organiser des bus et à donner des conseils en cours de route, ont pour la plupart disparus. Beaucoup de migrants disent qu'ils se sentent abandonnés et ne savent pas vers qui se tourner. Certains sont prêts à rentrer chez eux.

Garrido a déclaré que cette nouvelle caravane plus grande serait probablement rejointe par davantage de personnes au El Salvador et au Guatemala, mais elle n'a pas l'intention de se rendre directement à la frontière entre Tijuana et San Diego, où les ressources sont déjà presque épuisées.

"Ils resteront dans le sud du Mexique, au Chiapas et à Oaxaca. Leur objectif est de demander du travail là-bas", a-t-elle déclaré.

Le président mexicain Andrés Manuel López Obrador a promis des visas et travaillera au Mexique pour les migrants d'Amérique centrale. Dans son discours d'inauguration, il a promis des travaux publics tels que la plantation de 2 millions d'arbres et la construction de son train Maya, qui reliera les villes des trois États de la péninsule du Yucatan, ainsi que celles de Tabasco et du Chiapas.

Ce projet de 8 milliards de dollars devrait créer des centaines de milliers d'emplois dans les États du sud du Mexique.

La semaine dernière, le Mexique et les États-Unis ont convenu d'élaborer un plan visant à limiter la migration en Amérique centrale. Le plan prévoit un investissement de 25 milliards de dollars du Mexique dans les États du Sud au cours des cinq prochaines années. Les États-Unis contribueront 4,8 milliards de dollars au Mexique et 5,8 milliards de dollars dans le Triangle du Nord de l'Amérique centrale, qui comprend le Guatemala, le Honduras et le Salvador. La majeure partie des fonds américains sera allouée par les programmes d’aide existants.

El Diario de Chiapas, un journal de l'État du sud du Mexique, a rapporté que, à l'instar de la dernière caravane, les groupes envisagent de quitter le Honduras, leur nombre et les itinéraires qu'ils empruntent se répandent principalement par les médias sociaux.

Sur Facebook, la réaction au Chiapas à l'annonce d'une deuxième caravane n'a pas été favorable.

«Eh bien, maintenant le gouvernement fait quelque chose. Ce travail est destiné aux Mexicains qui en ont besoin », a déclaré Anna Pérez de Palenque, au Mexique, sur Facebook. "Des gens opportunistes qui veulent juste profiter des Mexicains."

La caravane qui a quitté le Honduras en octobre, suscitant la colère du président Trump et attirant l'attention des médias internationaux, n'était pas la première. Des foules de migrants voyagent souvent ensemble pour se protéger des criminels qui empruntent les routes.

Pueblo Sin Fronteras dirige des caravanes de migrants d'Amérique centrale depuis plus de 15 ans, amenant généralement les foules les plus nombreuses juste avant Pâques.

L'organisation et son travail étaient relativement inconnus de la plupart des Américains jusqu'à ce que Trump commence à tweeter sur la caravane avant les élections de mi-mandat.

Le journal El Diario de Chiapas a rapporté que, même si Tijuana ne serait pas la première destination de la caravane, certains des participants envisagent de se rendre ensuite au nord de la ville pour tenter d'entrer aux États-Unis.

À Tijuana, la présence de migrants d'Amérique centrale a suscité des protestations et même des violences.

La semaine dernière, deux personnes ont jeté une cartouche de gaz lacrymogène dans le refuge de El Barretal à Tijuana, a annoncé la police fédérale mexicaine.

Le 15 décembre, deux adolescents honduriens ont été violemment battus, torturés et tués par des membres de rang inférieur du cartel Jalisco New Generation, soulignant les dangers pour les mineurs non accompagnés dans la caravane.

Après le décès des adolescents, le consulat du Honduras a lancé un avertissement: «Nous réitérons l'appel aux ressortissants honduriens pour qu'ils ne mettent pas leur vie en danger, ni celle de leurs familles, sur les dangers que représente la route migratoire, où les migrants sont exposés à être victimes des trafiquants. "

Des milliers de personnes restent bloquées à Tijuana, une ville comptant plus de 2 000 homicides cette année, laissant les migrants d'Amérique centrale presque aussi vulnérables qu'ils étaient aux prises avec la violence des gangs qui les a poussés à fuir leur pays d'origine.

Source:

Financement du mur: Trump menace de fermer la frontière avec le Mexique

Le président Donald Trump a menacé vendredi de fermer la frontière entre les États-Unis et le Mexique si les démocrates du Congrès n'acceptaient pas de financer la construction d'un mur, un différend qui provoque la paralysie partielle de l'administration fédérale depuis le 22 décembre.

« Nous allons être contraints de fermer la Frontière Sud complètement si les démocrates obstructionnistes ne nous donnent pas l'argent pour terminer le mur », a tweeté M. Trump, en leur demandant également de « changer les lois ridicules sur l'immigration dont notre pays est affublé ».

Le milliardaire a ensuite dit qu'il considérerait une telle fermeture comme une « opération rentable », arguant du fait que « les États-Unis perdent tellement d'argent en faisant du commerce avec le Mexique avec l'ALENA, plus de 75 milliards par an (sans inclure l'Argent de la Drogue qui serait plusieurs fois ce montant) ».

L'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) qui lie le Canada, le Mexique et les États-Unis a été régulièrement dénoncé par Donald Trump qui a exigé de ses voisins qu'il soit renégocié. Un nouvel accord visant à le remplacer a été signé fin novembre, mais doit encore être ratifié.

Poursuivant une série de tweets, il a réitéré sa menace plusieurs fois : « Nous construisons un mur ou fermons la Frontière Sud ».

En novembre, le président américain avait déjà menacé de fermer la frontière avec le Mexique pour lutter contre l'immigration clandestine.

Aides supprimées

« Si on arrive à un stade où on perd le contrôle ou s'il y a des violences, nous fermerons temporairement l'entrée dans le pays jusqu'à ce que la situation soit sous contrôle à nouveau », avait dit le président devant des journalistes.  

Une menace qu'il avait déjà proférée en octobre, dans la dernière ligne droite avant les élections législatives de mi-mandat tandis que des milliers de migrants venus d'Amérique centrale avaient formé une « caravane » se dirigeant vers la frontière mexicano-américaine pour entrer aux États-Unis.

« Il paraît qu'une nouvelle Caravane est en train de se former au Honduras et ils ne font rien à ce sujet », a affirmé le milliardaire vendredi sur Twitter.

« Le Honduras, le Guatemala et le Salvador ne font rien pour les États-Unis, mais ils prennent notre argent », a-t-il relevé, menaçant « de supprimer toutes les aides pour ces trois pays - qui tirent avantage des É.-U. depuis des années ».

En octobre, Donald Trump a annoncé une réduction immédiate des aides à ces trois pays.

Le président républicain a fait de la lutte contre l'immigration l'une de ses priorités, avec la construction d'un mur sur toute la longueur de la frontière sud des États-Unis pour endiguer l'immigration clandestine et les trafics.

Mais il est engagé dans un bras de fer avec les parlementaires démocrates qui refusent de voter les 5 milliards de dollars qu'il exige pour accepter d'apposer sa signature sur la loi du budget fédéral.

Les républicains n'ont que 51 sièges au Sénat quand il en faut 60 pour l'adoption de ce texte. Et à partir de début janvier, ils seront minoritaires à la Chambre des représentants.

Les négociations entre démocrates et républicains ont échoué jeudi à mettre fin au « shutdown ». Cette paralysie partielle des administrations fédérales, qui a mis des centaines de milliers de fonctionnaires au chômage forcé, va donc se prolonger au moins jusqu'à la semaine prochaine.

Faute d'accord de compromis et dans un hémicycle quasi désert, le Sénat a décidé jeudi à l'unanimité d'ajourner la séance jusqu'à lundi 10 h et de ne reprendre l'examen d'une loi budgétaire que mercredi 2 janvier, à partir de 16 h.

Source:

mercredi 26 décembre 2018

L'année 2018 se classe au sixième rang des années les plus chaudes au cours des derniers 40 ans

Si on suit les prédictions du GIEC à l'effet qu'un réchauffement climatique certain se produit à cause des gaz à effet de serre et que la température globale risque d'atteindre +3 °C. d'ici 2030 si des mesures mondiales concertées et drastiques ne sont pas prises, comment expliquer que l'année 2018 se retrouve au sixième rang depuis les 40 dernières années alors que le mercure de la température devrait LOGIQUEMENT augmenter d'année en année considérant que la pollution augmente sans cesse? 


Ce graphique est composé de données satellitaires de la température mondiale recueillies par l'équipe de Roy Spencer de l’Université de l'Alabama à Huntsville (UAH). 

Source:
http://www.drroyspencer.com/

Joyeux temps des Fêtes

Je vous souhaite, pour la 19 ième année, un joyeux Noël et un temps de Fêtes où la réflexion et l'introspection nous font réaliser à quel point nous sommes choyés d'être toujours là et surtout, à quel point nous vivons sur des fondations fragiles. 

Que Dieu vous garde vous et votre famille.

Isabelle

Un peu d'humour en cette veille de Noël ;0)

Donald Trump aurait discuté en privé de la possibilité de congédier le président de la Banque centrale, agacé par la décision mercredi de l'institution d'augmenter les taux d'intérêt, rapportent samedi des médias américains, citant des sources proches du président.

* Information à confirmer bien évidemment, mais si c'est la cas, Trump déclare la guerre à de puissants oligarques!

Sollicitée par l'AFP, la Réserve Fédérale (Fed) n'a pas souhaité commenter ces informations ou préciser si une telle démarche avait un fondement juridique.

La chaîne d'informations CNN, citant deux personnes informées de ces discussions, indique que Donald Trump aurait commencé à sonder ses conseillers sur la légalité d'une telle démarche qui provoquerait sans aucun doute des remous sur les marchés du monde entier.

« Je n'ai jamais suggéré de congédier le président Jay Powell et je ne crois pas avoir le droit de le faire », a déclaré le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin dans un tweet.

Wall Street a enregistré cette semaine son pire plongeon hebdomadaire depuis 2008, remuée notamment par la hausse des taux d'intérêt, la menace de blocage partiel des administrations à Washington - qui s'est concrétisée samedi et va se prolonger au-delà de Noël - ainsi que par la guerre commerciale et la perspective d'un ralentissement économique aux États-Unis.

L'hôte de la Maison-Blanche ne cesse de critiquer la Fed, sortant de la réserve habituelle des présidents de ne pas commenter les décisions de l'institution afin de respecter son indépendance.  

Cette semaine, il avait estimé que si la Banque centrale venait à augmenter ses taux, ce serait une « erreur ». Mais le comité monétaire de la Fed a fait fi des pressions et des mises en garde du président, en relevant ses taux.

Une tentative de mettre fin au mandat de Jerome Powell serait inédite et serait une attaque directe contre l'indépendance de la puissante Banque centrale qui joue un rôle majeur pour la première économie de la planète.

Plus que centenaire, la Fed est la Banque centrale la plus puissante au monde et a pour double mission de maîtriser l'inflation et le plein emploi.

En octobre, Donald Trump avait assuré qu'il ne comptait pas limoger Jerome Powell mais en novembre, ses critiques étaient reparties de plus belle. Il avait alors déclaré qu'il était « plus que mécontent » de son choix de l'avoir nommé pour remplacer Janet Yellen.

Jerome Powell, ancien avocat et banquier d'affaires, a pris ses fonctions de 16e président de l'institution au début du mois de février. Son mandat est pour une durée de quatre ans renouvelable.

Avant cela, M. Powell a aussi été un haut responsable du Trésor sous la présidence de George H. W. Bush (1989-1993) et a été nommé en 2012 gouverneur de la Banque centrale par le président démocrate Barack Obama.

Source:

vendredi 21 décembre 2018

La paralysie budgétaire du gouvernement américain se confirme

* 13 489 532 $ sur un objectif de 1 000 000 000 $ ont été amassés par le peuple américain en 4 jours pour la construction du mur:

La paralysie des administrations fédérales est assurée d’intervenir à partir de vendredi minuit aux États-Unis, après la suspension de séance à la Chambre des représentants sans avoir abouti à un compromis budgétaire.

Par conséquent, dès samedi, des administrations devraient rester fermées et des centaines de milliers de fonctionnaires être placés en congé sans solde.

Pour éviter ce « shutdown » à l’échéance de vendredi soir, il fallait que les deux chambres du Congrès et la Maison-Blanche trouvent un accord sur le budget fédéral.

Malgré d’ultimes tractations, ils ne sont pas parvenus à sortir de l’impasse autour du financement de la construction d’un mur à la frontière avec le Mexique, l’une des principales promesses de campagne du président Donald Trump.

Il exige, pour apposer sa signature, l’inclusion dans le budget d’une enveloppe de 5 milliards de dollars pour payer ce mur. Ou, à défaut, qu’un montant substantiel soit consacré à la sécurité aux frontières.

Il avait prévenu jeudi qu’il ne promulguerait pas un compromis de court terme du Sénat permettant de financer le gouvernement jusqu’au 8 février car il ne comprenait pas suffisamment de moyens pour le contrôle des frontières.

Le milliardaire a reporté son départ prévu vendredi après-midi pour ses vacances de fin d’année à Mar-a-Lago, en Floride.

« J’ai annulé mon voyage à bord d’Air Force One en Floride pendant que nous attendons de voir si les démocrates nous aideront à protéger la Frontière Sud de l’Amérique », a-t-il gazouillé environ une heure avant l’annonce de la suspension de séance de la chambre basse du Congrès américain.

D’autres détails suivront.

Source:
https://www.ledevoir.com/monde/etats-unis/544196/la-paralysie-du-gouvernement-americain-se-confirme#

jeudi 20 décembre 2018

En 3 jours, les Américains ont amassé plus de 9 millions de dollars pour financer le "mur de Trump" à la frontière Sud




Une campagne de GoFundMe attribuée à un ancien combattant de Floride cherche des dons pour aider à la construction d’un mur entre les États-Unis et le Mexique. 

https://www.gofundme.com/TheTrumpWall

dimanche 16 décembre 2018

Un scientifique de l'Institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact du climat prônant la thèse du "réchauffement climatique d'origine anthropique" confirme, devant une audition parlementaire allemande sur le changement climatique, que la température mondiale a baissé de 0,2° C depuis 1850!


L'Institut européen pour le climat et l'énergie (EIKE) a posté une vidéo d'extraits d'une audition parlementaire allemande sur le changement climatique devant le Parlement fédéral allemand, mettant en vedette le scientifique de l'Institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact du climat (PIK), Anders Levermann, et le physicien atmosphérique Nir Shaviv de Université hébraïque de Jérusalem.

L'audience visait à examiner la controverse sur le changement climatique, le parti d'opposition AfD mettant en doute la position alarmiste de longue date du gouvernement allemand.

Au total, l'audience a duré environ deux heures, mais EIKE a heureusement fourni une version condensée de 16 minutes présentant les points principaux.

Comme prévu, le militant alarmiste et activiste du PIK, Anders Levermann, a affirmé que la physique du réchauffement climatique était "solide comme du roc" et qu’un doublement du CO2 entraînerait sans aucun doute un réchauffement de 3 ° C. Il a essayé de prétendre que la science était réglée.

Nir Shaviv, physicien atmosphérique de l'Université hébraïque de Jérusalem, a répondu à 1:40 qu’il n’existait "aucune preuve scientifique montrant que le CO2 a un impact important sur le climat" et que les arguments invoqués par le GIEC pour prétendre le contraire "sont erronés".

Il dit que nous savons aujourd'hui que le graphique montrant la courbe en forme de "crosse de hockey" [graphique de Micheal Mann] était une "science douteuse".

Le GIEC ignore le soleil

Shaviv a également déclaré aux membres du Parlement allemand que le GIEC refusait de reconnaître le rôle puissant joué par le soleil dans la conduite du climat et le taux d'élévation du niveau de la mer. 

"Le soleil a contribué à plus de la moitié du réchauffement."

Selon Shaviv, à 3:40, la sensibilité du climat au CO2 n’est en réalité que de 1 à 1,5 ° C pour un doublement du CO2, bien moins que le chiffre suggéré par Levermann du PIK.

Les modèles sont défectueux

Levermann a alors carrément répondu (5:05) par une insulte, appelant les affirmations non alarmistes de Shaviv de "sottises".

Mais Shaviv a riposté (6:10), rappelant que de nombreuses publications scientifiques soutenant le rôle du Soleil étaient un facteur déterminant et que les modèles climatiques du GIEC étaient erronés et déséquilibrés.

Au bout de 7 minutes, Levermann affirme que la température mondiale a augmenté "en peu de temps" de 0,2 ° C au cours des deux dernières décennies, mais ne mentionne pas l'événement naturel océanique El Nino. Il a ensuite affirmé qu'ils avaient déjà réfuté tous les arguments des sceptiques.

De 15.0 ° C en 1850 à 14.8 ° C aujourd'hui?

Un moment intéressant est arrivé à la fin des 8 minutes lorsqu'un parlementaire a demandé à Levermann à quelle température de référence préindustrielle le GIEC travaillait. M. Kraft, parlementaire, a demandé à Levermann quelle était exactement la température mondiale avant l’industrialisation il y a 150 ans. Selon Levermann, elle se situait "dans la zone des 15 ° C", ce qui implique que la température mondiale actuelle est supérieure à 16 ° C. À ce stade, la parlementaire Hilse (8:40) a noté que "la température moyenne mondiale pour la WMO, la NASA et la NOAA était de 14,8 ° C en 2016". Selon la parlementaire Hilse:

"Alors, monsieur Levermann, si vous dites la vérité, cela signifie que la température a baissé de 0,2 ° C."

Levermann a ensuite dit aux parlementaires que le réchauffement provoqué par le CO2 était aussi certain que la gravité provoquait la chute d'objets, et a qualifié de "merde" tout ce que dit Shaviv.

La sensibilité au CO2 diminue rapidement

À 9:50, Levermann précise qu'un doublement du CO2 ne produit en soi qu'un réchauffement de 1,1 ° C, mais que le réchauffement supplémentaire résulte du retour de la vapeur d'eau. Il insiste sur le fait qu'il y a peu d'incertitude ici. Pourtant, l'Institut européen pour le climat et l'énergie (EIKE) a souligné à 10:35 que l'intervalle du GIEC contient en fait un degré d'incertitude élevé: de 1,5 ° C à 4,5 ° C et qu'il n'y a rien de certain au niveau de la science.

À défaut de pouvoir taxer la vapeur d'eau, ils nous font croire que nos émissions de CO2 sont responsables du réchauffement climatique alors qu'il est une infime composition de l'atmosphère terrestre!

Lire la suite (anglais):

samedi 15 décembre 2018

L'étendue de la calotte glaciaire: fonte des glaces???

8.6 million de kilomètres carré    -    9.5 million de kilomètres carré    -    9.8 million de kilomètres carré



9.4 million de kilomètres carré                 9.8 million de kilomètres carré         

 
https://nsidc.org/data/seaice_index/bist

vendredi 14 décembre 2018

"La "géo-ingénierie" a-t-elle la capacité de modifier le climat planétaire pour lutter contre le prétendu réchauffement climatique?

*Voici la question que j'ai posée à Carlos Ramirez, dont voici sa réponse "courte"!

Il est impossible à l’heure actuelle d’ajuster le climat terrestre de façon globale pour plusieurs raisons. Les océans participent grandement au climat avec, par exemples, l’oscillation nord-atlantique (ONA), l’oscillation décanale du Pacifique (ODP) et les cycles ENSO, entre autres. La meilleure façon d’influencer le climat serait de réduire l’irradiance solaire de surface des océans qui ont une grande capacité calorifique, comme par exemple à l’Ouest des côtes de l’Amérique du sud pour ENSO. Mais cela n’affectera que l’irradiance solaire alors que la température des océans est aussi influencée par l’activité volcanique sous-marine. La terre émet sa propre chaleur, c’est ce qu’on appelle le flux géothermique. Une partie de celui-ci dépend de l’activité sismique et volcanique (environ la moitié) et l’autre est le résultat de désintégrations d'atomes radioactifs à très longue durée de vie présents dans les roches et plus profondément dans son noyau (effets minimes de moins d’un W/m2). La Terre étant en processus très lent de refroidissement séculaire depuis sa formation, elle n’est pas près de diminuer significativement son flux géothermique. 

L’être humain n’a pas la technologie pour contrôler la température des océans. Il est par ailleurs impossible que l'activité humaine ait causé un quelconque réchauffement des océans par ses émissions de CO2. La raison est simple, les infrarouges lointains (émis par la Terre qui est chauffée par le soleil) qui sont réémis par les gaz à effet de serre (principalement par le H2O et une infime partie par le CO2) n’ont pas l’énergie nécessaire (la bonne longueur d’onde) pour pénétrer et réchauffer les océans. 

Bloquer l’irradiance solaire totale (IST) au-dessus des terres aurait un effet très localisé et inefficace sur le long terme car il faudrait épandre sans arrêt (l’atmosphère n’est pas immobile). Le coût d’un tel projet au niveau mondial serait astronomique. Et quelles conséquences tout ceci aurait sur la biodiversité, la chimie atmosphérique (certaines longueurs d’ondes sont nécessaires à la production d’ozone entre autres), et la dynamique atmosphérique (cellules de Hadley, flux méridional/zonal, sinuosité des courants-jets etc).  Tout ceci dépend notamment de l’altitude de l’épandage et des éléments chimiques utilisés (plus élevée pour les ballons stratosphériques). 

Je persiste à dire qu'un changement du climat global est impossible via les technologies de "géo-ingénierie". Mais s'ils décident de procéder en se basant sur la fausse science et les fausses données du GIEC, ils ne feront que suivre le mauvais chemin. Les véritables variables climatiques nous dirigent vers une période de refroidissement et elle est déjà bien entamée.


Carlos Ramirez

mercredi 12 décembre 2018

Épaisseur de la glace de mer Arctique: comparatif entre le 11 décembre 2007 et le 11 décembre 2018 (tout va très bien!)


* Et les médias nous martèlent à chaque bulletin de nouvelles que la glace ne cesse de fondre dans l'Arctique! C'est comme l'histoire des ours polaires en train de mourir à cause de la fonte des glaces: les Inuits ont démenti ce fait en attestant que la population d'ours polaires est tellement grandissante qu'elle menace la sécurité publique!


https://climatechangedispatch.com/wp-content/uploads/2018/12/ArcticSeaIceVolumeDecember11-2007-2018.gif?fbclid=IwAR1Cz1-0XFI-w-zHImc0FkwS1XK45BvY7mZAOYnQHCp28khaGvmoARJjHrk

mardi 11 décembre 2018

Des scientifiques veulent vaporiser des produits chimiques dans l’atmosphère pour lutter contre le réchauffement climatique

Outre les centaines de millions, voire les milliards de dollars, qui sont et qui seront donnés par les gouvernements aux instituts universitaires et centres de recherches militaires et privés pour l'utilisation des technologies de géo-ingénierie pour "sauver la planète d'une mort certaine", je me questionne sur la véritable visée de ces technologies puisque je ne crois pas une seule seconde à la théorie du réchauffement climatique. 

Contrer la menace d'un danger non divulgué ("secret défense") et qui menace le "monde du vivant", comme par exemple l'entrée de rayons cosmiques hautement cancérigènes dans notre atmosphère capables de modifier ou de briser les molécules d'ADN

Les rayons cosmiques qui frappent la Terre "sont nocifs et s'intensifient" dit la NASA: le "minimum solaire" à venir pourrait avoir des conséquences désastreuses sur la climatologie, sur les infrastructures et la santé humaine


Refroidir l’atmosphère pour lutter contre le réchauffement de la planète, vraiment ?

C’était il y a tout juste un mois : le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) prévenait qu’à +1,5°C ou à +2°C, le monde ne sera pas le même, décrivant des risques accrus pour les espèces comme pour les économies. Preuves s’il en faut que le dérèglement climatique s’abat de plein fouet sur notre planète, les plus hauts sommets fondent comme neige au soleil et l’ours polaire ne trouve plus assez de phoques pour se rassasier. Pour faire face à ces changements alarmants, des chercheurs de Harvard mettent actuellement au point une expérience visant à tester les effets de la géo-ingénierie solaire sur la surface terrestre, nous apprend MACH. En pratique, il s’agirait d’injecter artificiellement des aérosols chimiques dans l’atmosphère afin de faire réfléchir la lumière du soleil, et ainsi refroidir notre planète. Leur idée, qu’ils espèrent concrétiser déjà courant 2019, n’est pas bien vue par tous. 

Le projet – baptisé SCoPEx (Expérience de perturbation stratosphérique contrôlée) – s’inscrit dans un programme sur la géo-ingénierie solaire de l’Université de Harvard. L’idée consiste à envoyer un ballon dans la stratosphère, à une vingtaine de kilomètres d’altitude, pour ensuite libérer un petit panache de carbonate de calcium en aérosol. Une fois libérés, les produits chimiques se disperseront pour former une masse d’environ 1 km de long pour 100 mètres de large. Muni d’instruments de mesure, le ballon traversera alors ce nuage dans le but d’évaluer si oui ou non les particules réfléchissent la lumière du soleil, et si elles ont la capacité de refroidir la surface de la planète ou non.

Des questions restent néanmoins sans réponses. Certaines études suggèrent qu’un programme de géo-ingénierie pourrait avoir de graves conséquences. On pense notamment à celles sur les cultures, sur le comportement de la couche d’ozone, ou encore sur le climat en lui-même. À ce propos, une étude a été publiée il y a quelques mois dans la revue Nature. Selon cette dernière, le fait d’injecter de manière artificielle des aérosols dans l’atmosphère de l’hémisphère nord réduirait l’activité des cyclones tropicaux, et entraînerait en même temps une augmentation des risques de sécheresse en Afrique subsaharienne.

Régler un problème d’un côté pourrait ainsi en créer davantage en parallèle. Science Post rappelle par ailleurs que le fait de refroidir artificiellement la planète n’est pas la solution miracle. C’est plus une réponse de dernier recours, tel un pansement qui finira par se décoller, et de plus potentiellement dangereuse. Le véritable problème devra être réglé en amont : s’attaquer aux véritables sources de réchauffement climatique. On pense notamment aux problèmes de l’élevage intensif, ou encore de l’utilisation de carburants fossiles.

Source:

Cousins français...


Je vous souhaite que cette journée, qui risque d'être historique, devienne le symbole de l'unité et de la solidarité et que ces fortifications soient votre force et votre courage quoiqu'il arrive.  Soyez sages et agissez prudemment. Que Dieu vous garde.

Isabelle

jeudi 6 décembre 2018

Gilets jaunes. Plus de 89 000 forces de l’ordre mobilisées samedi en France


Le gouvernement va déployer 89 000 policiers et membres des forces de l’ordre en France samedi, dont 8 000 à Paris, pour la quatrième grande journée de manifestations des Gilets jaunes, a annoncé le Premier ministre Édouard Philippe au 20 h de TF1.

Une « douzaine de véhicules blindés » à roues de la gendarmerie (VBRG) sera par ailleurs utilisée à Paris, a ajouté le chef du gouvernement, évoquant un dispositif « exceptionnel ». Environ 65 000 membres des forces de l’ordre, dont 5 000 à Paris, avaient été déployés samedi dernier lors d’une journée marquée par des scènes d’émeute, notamment dans la capitale.

Le chef du gouvernement a renouvelé ce jeudi après-midi, au Sénat, l’appel aux Gilets jaunes à ne pas se rendre à Paris pour manifester, non pas pour « leur interdire de s’exprimer », mais pour « éviter qu’ils soient pris au piège que leur tendent les casseurs », alors que l’exécutif affiche ses inquiétudes sur le risque de très grandes violences pour cet « acte IV ».

« Faire preuve de la plus grande fermeté »

« Pour y faire face, le gouvernement va mobiliser des moyens exceptionnels qui s’ajouteront aux 65 000 forces de sécurité qui seront déployées dans toute la France », a déclaré le Premier ministre devant les sénateurs, sans détailler ces moyens. « Nous continuerons à faire preuve de la plus grande fermeté. Nous nous battrons contre la haine et contre la violence », a-t-il affirmé.

Le Premier ministre a également « salué tous ceux qui ont lancé ou relayé » des appels au calme, appelant à ce que « la République ait le dernier mot ».

Une « très grande violence » redoutée par l’Élysée

À l’avant-veille de « l’acte IV » de la mobilisation des Gilets jaunes, le ministère de l’Intérieur met la dernière main à la stratégie du maintien de l’ordre qui sera mis en place pour ce samedi sous très haute tension.

La violence qui est montée crescendo chaque week-end depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes, à Paris mais aussi ailleurs en France, comme l’illustre l’incendie de la préfecture du Puy-en-Velay, n’invite guère à l’optimisme. L’Élysée a dit redouter une « très grande violence ».

Selon plusieurs sources sécuritaires, la quasi-totalité des unités de CRS et d’escadrons de gendarmerie devrait être mobilisée pour assurer le maintien de l’ordre dans le pays, samedi.

Réclamées par les syndicats policiers, d’autres solutions sont sur la table comme le recours à des véhicules blindés de la gendarmerie ou la présence de militaires pour renforcer la garde statique des institutions.

Source:

Yvelines : des dizaines de lycéens agenouillés, mains sur la tête, lors de leur interpellation à Mantes-la-Jolie

* Je remarque que la nouvelle sort dans les médias de façon à mettre en évidence les vidéos et photos de ces jeunes accroupis tels des prisonniers de guerre. Je crains que ces images vont, au final, servir à attiser la colère et le sentiment de persécution des Français...


Au total, 151 personnes ont été interpellées devant le lycée Saint-Exupéry de Mantes-la-Jolie. 

Dans les Yvelines, 151 personnes ont été interpellées, jeudi 6 décembre, devant un lycée de Mantes-la-Jolie pour "participation à un attroupement armé" dans le cadre de la mobilisation des lycéens qui protestent contre la réforme du baccalauréat et de Parcoursup mais aussi, pour certains, en soutien aux "gilets jaunes".  Trente-sept personnes, la plupart encagoulées, portaient des bâtons, battes de base-ball et conteneurs de gaz lacrymogène, selon une source proche du dossier.

Le commissaire assure avoir voulu, par ces arrestations, "interrompre un processus incontrôlé" après des heurts et l'incendie de deux voitures. La plus jeune des personnes interpellées est née en 2006, la plus âgée en 1998, selon la préfecture. Toutes sont entendues au commissariat de la ville. 

Pas assez de menottes 

Des images de ces interpellations ont choqué de nombreux internautes, notamment une vidéo filmée de près où l'on voit des dizaines de jeunes agenouillés, les mains dans le dos ou sur la tête, encadrés par de nombreux policiers. Les forces de l'ordre, selon une source policière, n'avaient pas assez de menottes. Les policiers auraient placé les lycéens dans cette position, qu'ils estiment réglementaire, avant l'arrivée de renforts.

Lire la suite:

GILETS JAUNES - LA GRANDE MANIPULATION (à écouter absolument)


Je viens de recevoir cette vidéo sur le compte FB de ce blog, en réponse à l'article "Gilets jaunes": selon l'Élysée, des manifestants chercheraient à s'armer pour venir à Paris

L'auteur y tient un propos d'une intelligence que j'estime rare et livre un discours qui mérite d'être entendu à la veille de potentiels bouleversements irréversibles en France. Je suis entièrement et totalement d'accord avec son point de vue, non pas parce qu'il a raison et que les autres ont tort, mais parce que ce qu'il propose est la voix de la raison et de la sagesse.

Je suis consciente que des citoyens français qui se préparent à aller manifester ce samedi pourraient être choqués d'entendre ce message, mais ils le seront encore plus lorsqu'ils constateront que toute cette grogne populaire a été suscitée dans un objectif bien précis et surtout, qu'ils auront été des "pions utiles" à la gouvernance mondiale...

Ne soyez pas dupes cousins Français, ne vous laissez pas berner et ligoter par ceux que vous dénoncez.