Un directeur de santé publique qui dévoile publiquement sa quasi certitude à l'effet qu'il va se produire une recrudescence des cas dans les prochaines semaines, c'est qu'il a reçu cette information de paliers au-dessus de lui. Il ne pourrait pas se permettre d'affirmer une telle chose si ce fait n'était pas corroboré par les hautes instances de santé, dont par l'OMS.
Il est donc inutile de le rendre coupable de catastrophisme puisque tous les responsables de santé publique au service des gouvernements vont tous affirmer la même chose: une deuxième vague arrive.
Que l'on soit choqué par sa gestion douteuse, enfantine et plutôt délirante de la crise ne change rien au fait que c'est lui qui "call the shots" au Québec et qu'il est un exécutant des sbires qui commandent dans les hauts lieux.
Nous assistons la bouche ouverte de stupéfaction a une dictature du n importe quoi. Nous voyons et entendont avec désolation la foule de gens majoritaire être crédule et niais a un niveau jamais égaler dans l histoire. Quelle triste je suis sans mots...
RépondreSupprimerEffectivement, ça va à une vitesse incroyable. Déjà, on voit une division nette et très émotive entre ceux qui ne croient pas à cette crise et qui refusent d'observer les règles de santé publique avec ceux qui sont inséucures et prudents face au virus.
SupprimerEt ce clivage va forcément s'accentuer.