Je constate que le sujet de la vaccination, tout comme la perception de la crise sanitaire, est intensément polarisé et que la division entre les gens devient de plus en plus visible et les échanges de plus en plus corrosifs. Que ce soit sur le web, dans les familles ou parmi les amis, on se tire des roches alors qu'il n'y pas de guerre! Pas encore du moins.
Je le vois moi-même avec une de mes proches avec qui je livre un combat incessant depuis des semaines: je lui envoie une étude scientifique, elle me renvoie une autre étude scientifique qui dit le contraire, elle me dit que mes études sont bidons et je lui retourne que les siennes le sont aussi! Elle me reproche de ne pas avoir la capacité d'interpréter de telles études et je lui reproche d'être une formatée du système médical!
Quelles disputes insipides et infertiles les championnes!
Je lui ai d'ailleurs dit aujourd'hui qu'on devait arrêter de parler de la vaccination puisqu'on arrivera jamais à être d'accord: nous avons chacune notre cadre de référence, nos propres croyances et nos propres motivations. Qui a raison et qui a tort?
Soyons simplement les cousines que nous avons toujours été...
Au final, ces débats stériles ne changent absolument pas l'état des faits et les enjeux auxquels nous devons faire face. Les gens souffrent d'insécurité, d'angoisse, d'épuisement, de solitude, et devant cette misère humaine on trouve le moyen et le temps de s'affaiblir entre nous.
Je crois que les effets collatéraux de la crise actuelle vont se multiplier au cours des prochaines semaines et prochains mois et que tout ce temps passé à se tirer des roches ne sert pas notre cause ni celle de personne.
On a besoin de se solidariser entre nous puisque qu'il n'existe pas de vaccin contre la détresse humaine.
Isabelle
Perso, ni provax ni antivax, mais seulement pour la liberté de choix, la transparence et un climat de recherche de la vérité dans les médias, sans stigmatiser les uns et les autres. Aussi, pour une considération de la personne humaine dans son ensemble : même si on ne meurt pas de covid, on meurt quand même, alors il faut peser les mesures sanitaires pour les conséquences qu'elles peuvent avoir... il ne faut pas faire la guerre, mais être vrais... mais la vérité divise, parfois, non pas au niveau relationnel, sauf si une partie le veut. Courage !
RépondreSupprimerTellement vrai et bien dit... et surtout... ne nous laisse pas tomber... On a besoin de toi plus que jamais... Merci d'être là...
RépondreSupprimerIl n'y a pas '50' vérités, il n'y en a qu'une.
RépondreSupprimerIl y a beaucoup plus de virus en mers que sur terre
A savoir que quelles que soient les nano-poussières irradiantes expulsées du magma et remontées par les gaz qu'il fabrique, elles ne sont chargées que pour 3 semaines environ. Mais, bizarrement, le nombre de morts constaté en mer (sauf individu confiné en bateau) ou personnes vivant au bord de, n'est pas forcément supérieur à l'ensemble de la population loin des côtes ! Cà alors ! D'où cela vient-il ?
Intéressons nous maintenant aux premiers qui trinquent ! Les poissons ! Sans les gaz (oxygène) dans les eaux il n'y aurait pas de vie, oui mais, ces gaz remontent des milliards de milliards de virus vers la surface et sont donc happés par toutes les espèces y compris coquillages et crustacès.
C'est vrai que dans le cas de poissons morts, les corps ne flotteraient pas longtemps ! Oui mais alors, comme un chat qui mange une souris qui a mangé de la mort-aux-rats meurt, le thon meurt-il d'avoir gobé une sardine ou maquereau ? Le requin meurt-il d'avoir avalé du thon ? Les humains meurent-ils d'avoir mangé du poisson ? ou... ou les poissons auraient-ils cette défense immunitaire que les autres n'ont pas ?!