samedi 30 octobre 2021

Des experts nous avertissent que les données sur la sécurité des vaccins pour les 5-11 ans sont manquantes

Lorsque j'ai pris connaissance du document de Pfizer qui a été présenté le 26 octobre dernier au comité aviseur de la FDA en vue de l'autorisation d'urgence du vaccin COVID-19 pour les 5-11 ans, j'ai été estomaquée de lire que:

👉"Le nombre de participants au programme de développement clinique actuel est trop petit pour détecter tout risque potentiel de myocardite associé à la vaccination.

👉La sécurité à long terme du vaccin9 COVID-19 chez les participants âgés de 5 à <12 ans sera étudiée en 5 études de sécurité post-autorisation, dont une étude de suivi de 5 ans pour évaluer à long terme les séquelles de myocardite/péricardite post-vaccinale".

page 11:

https://t.co/saBL31N91Q

Comment les comités d'immunisation (Québec et Canada) chargés d'évaluer les risques VS bénéfices pourront justifier leur autorisation à vacciner une génération d'enfants alors que des données aussi importantes sont manquantes?

Jean-François Clique, journaliste scientifique, ainsi que  des experts responsables de l'autorisation des vaccins pour les petits, soulèvent cette absence dramatique de données concernant les risques de myocardite/péricardite et de toutes autres séquelles potentielles.

Voici des extraits de l'article de M. Cliche qui m'apparaissent TRÈS INQUIÉTANTS:

👉"Ni l’un ni l’autre [Pfizer et Moderna] n’a observé le moindre cas d’inflammation au cœur, mais il faut dire que leurs essais cliniques n’étaient pas assez grands pour en détecter. Chez les adolescents et les jeunes hommes de 16 à 25 ans, soit le groupe où les myo/péricardites sont les plus fréquentes après le vaccin, on compte un cas à toutes les 7 à 8000 deuxièmes doses environ. Comme les essais cliniques sur les 5-11 ans ne comptaient que 4 à 5000 participants chacun, ils ne permettent pas de savoir à quelle fréquence cet effet indésirable se produit (voir autre texte)."

👉"Ce manque de données est évidemment déplorable, mais comme il est impossible de faire des essais cliniques sur des centaines de milliers de personnes, «c’est toujours comme ça quand on lance une nouvelle campagne de vaccination», ajoute-t-elle". [Dr. Quach]

👉"De son côté, Dr Carignan admet sans ambages que ces «trous» dans les données ne rendront pas sa tâche facile quand lui et le reste du Comité sur l’immunisation du Québec devront trancher. «Avec 4000 ou 5000 patients dans un essai clinique, on n’a clairement pas les effectifs qu’il faut pour détecter les effets secondaires rares, dit-il. Donc on aura probablement besoin de plus de données avant de se lancer tête baissée dans une campagne de vaccination des enfants.»

COMMENT LES EXPERTS POURRONT JUSTIFIER QUE DES ENFANTS SOIENT VACCINÉS À TITRE DE COBAYES PUISQU'ILS RECONNAISSENT EUX-MÊMES QUE LE MANQUE DE RECUL ET DE DONNÉES EST TRÈS PROBLÉMATIQUE?

https://www.lesoleil.com/actualite/science/covid-faire-vacciner-son-enfant-ou-non-8ab8312b105c86c449f68e21e0a13c55

1 commentaire:

  1. À la base même de l'enfant, il y la mère. Ce matin, je me suis demandé comment on peut savoir si un vaccin est sans danger lorsqu'on réussi à le créer en moins de 9 mois, soit le temps pour concevoir et mettre au monde un poupon? Oui, si on agit comme un vétérinaire qui fertilise du bétail, dans une société ou un pourcentage de notre élite joue à ce jeu (in-vitro) avec le soutien financier d'un État qui traite le citoyens comme des animaux d'élevage: marquage et division de l'enclos selon les trous des nos bras.

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