"Le dépistage néonatal en Amérique", un rapport du Council for Responsible Genetics déclare: "Avant qu'ils n'aient une semaine, 98% des 4,3 millions de bébés nés chaque année aux États-Unis ont un petit échantillon de sang prélevé sur leurs talons" [dans les hôpitaux du Québec, les médecins disent aux parents que les bébés reçoivent, sur le talon, de la "vitamine K". Est-ce des injections pour prélever de l'ADN?]
Le rapport poursuit: "Ces taches de sang-nés sont ensuite ciblées pour une variété de maladies héréditaires et peut être ensuite stockées dans des bases de données de l'État... les parents ne sont souvent pas au courant de ces programmes de dépistage et de leurs options au consentement."
Ce programme national dit vouloir faire du dépistage de maladies [évidemment!], mais rien ne justifie le prélèvement d'ADN de bébés sans le consentement des parents.
Le rapport poursuit en faisant état qu'il y a peu de transparence dans les procédures de stockage et de l'utilisation ultérieure de ces échantillons. De nombreux États ne disposent pas de politiques claires au sujet du consentement.
Il y a ensuite la question de savoir qui a accès et qui aura accès à ces millions d'échantillons de sang et aux résultats du dépistage génétique.
Une base de données de l'ADN de tous les nouveau-nés semble déjà effective, mais dans quel but? Avec la bio-ingénierie, tous les scénarios sont permis!
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