* Les hormones synthétiques qui sont contenues dans les traitements pour la ménopause sont aussi à proscrire: une amie a eu un cancer du sein et le médecin responsable de son dossier, un oncologue, lui a clairement dit que ce sont les traitements contre la ménopause qu'elle a utilisés dans la cinquantaine qui ont déclenché son cancer.
Lien suspecté entre les pilules contraceptives Yaz et Yasmin et 23 morts
La pilule modifierait la structure du cerveau: une étude sur les effets des hormones stéroïdes présentes dans la contraception orale indique que la pilule pourrait affecter la structure et fonction cérébrale
Une récente étude, menée par des chercheurs danois et publiée dans le «New England Journal of Medicine», le 7 décembre dernier, révèle que les femmes qui prennent une contraception hormonale, qu’il s’agisse de pilule, de patch ou d’un stérilet, ont 20 % plus de risque de développer un cancer du sein.
L’étude a été menée au Danemark sur 1,8 million de femmes âgées entre 15 et 49 ans et n’ayant encore jamais eu de cancer ni reçu de traitement contre l’infertilité.
Parmi ce panel de femmes, qui ont été suivies pendant environ dix ans, 11 517 cas de cancer du sein sont survenus.
Le risque s’accroît avec le temps
Selon l’étude, le nombre d’années de prise du contraceptif influence sur la probabilité de développer un cancer du sein. Ainsi, le risque atteindrait les 38 % pour les femmes qui renouvellent leur prescription depuis plus de 10 ans.
Les chercheurs soulignent également que l’impact de la contraception hormonale peut durer longtemps même après avoir arrêté. Chez les femmes ayant pris des hormones depuis plus de 5 ans, le risque de cancer du sein restait élevé, et ce même cinq ans après la dernière prise. Les utilisatrices de moins de 5 ans, elles semblaient épargnées.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire