jeudi 29 mars 2018

Deux F-35 israéliens auraient survolé l’espace aérien iranien

Selon les sources du quotidien, «les deux avions auraient traversé d'abord les espaces aériens, syrien et irakien, avant d'entrer dans celui de l'Iran», en précisant que les deux appareils «auraient exécuté des vols de reconnaissance et d'identification de cibles dans les régions de Bandar Abbas, Ispahan et Chiraz». Les deux F-35 israéliens, soulignent les sources citées par le quotidien, «auraient volé à très haute altitude au-dessus d'autres régions le long du littoral du Golfe persique dont on pense qu'ils abritent des installations liées au programme nucléaire iranien».

«Les deux avions auraient réussi à échapper à tous les radars des défenses antiaériennes des pays traversés», affirment les mêmes sources, citées par Al Djarida, sans toutefois préciser si cette opération a été coordonnée avec l'armée américaine, sachant qu'Israël et les États-Unis ont effectué des manœuvres militaires conjointes durant le mois de mars dont le nom de code était «Juniper Cobra 2018».

Pour rappel, dans la matinée du 10 février, Israël a attaqué une base aérienne située près de Palmyre, en Syrie, en représailles à l'incursion dans son espace aérien d'un drone appartenant prétendument à l'Iran. Après la perte d'un avion de combat F-16, Israël a également bombardé une dizaine de cibles près de Damas qualifiées par l'armée israélienne d'installations témoignant de la présence militaire iranienne en Syrie.

Source:

Les lobbyistes et les entreprises de biotechnologie tentent d'amener l'administration Trump à remettre la réglementation des animaux génétiquement modifiés à l'USDA, qui a des règles plus clémentes que la FDA, laquelle réglemente actuellement les animaux

* De l’ADN humain, et bien d'autres choses, trouvé dans des hot dogs


À ce jour [apparemment], il n'y a qu'un seul animal génétiquement modifié qui est arrivé dans nos assiettes, le saumon. Aux États-Unis, un processus de réglementation complexe de la Food and Drug Administration (FDA) a empêché ceux qui voulaient créer du bétail génétiquement modifié pour le mettre sur le marché.

Le MIT Technology Review rapporte que des sociétés d'édition de gènes et des lobbyistes en biotechnologie tentent de convaincre l'administration Trump de déplacer la réglementation des animaux transgéniques au Département américain de l'Agriculture (USDA). Si cela se produit, la viande génétiquement modifiée pourrait bientôt apparaître dans les épiceries près de chez vous.

(...)

Sur le plan fonctionnel, ces règlements signifient que les chercheurs qui développent du bétail génétiquement modifié doivent être rigoureusement testés pour démontrer que leurs animaux et les produits qui en proviennent (comme le lait ou les œufs) sont sans danger pour les humains. Parce que les animaux sont des organismes vivants, ils n'affectent pas le corps de façon aussi prévisible qu'une substance chimique, disent les généticiens. De plus, la plupart des installations de recherche n'ont pas les fonds nécessaires pour prouver que leurs produits génétiquement modifiés sont sans danger.

Le nouveau conseiller à la sécurité nationale, ancien ambassadeur des Nations Unies, qui a préconisé une action militaire contre l'Iran et la Corée du Nord, a déclaré à Sky News: "Si vous voulez la paix, préparez-vous à la guerre"

* John Bolton a déclaré le 12 mars dernier sur son compte Twitter: 

"Les liens entre les programmes de missiles balistiques de l'Iran et de la Corée du Nord sont indiscutables et il y a tout lieu de croire qu'ils travaillent aussi de près sur le nucléaire"
https://twitter.com/AmbJohnBolton/status/973267245907390464?s=17


"Comme les anciens Romains disaient: Si vis pacem, para bellum - "Si vous voulez la paix, préparez-vous à la guerre."

150 baleines s’échouent sur les côtes en Australie: seulement 5 d'entre elles ont survécu selon le plus récent rapport


Tout a commencé tôt vendredi matin, à l’ouest de l’île-continent. Un pêcheur a repéré les animaux et sonné l’alerte. Des sauveteurs ont alors tenté de ramener les baleines vers la mer. Plus tard dans la journée, seules 15 d’entre-elles étaient encore en vie. 
Les autorités locales ont également émis une alerte aux requins, les baleines pouvant attirer les squales. 
Les cétacés se sont échoués durant leur migration. Elles remontent de l’Antarctique pour s’occuper de leurs petits baleineaux dans les eaux plus douces du nord. 
Ce n’est pas la première fois que des baleines s’échouent sur les côtes d’Australie-Occidentale. Il y a neuf ans, une centaine de baleines étaient mortes au même endroit, dans la baie de Hamelin. Le plus important échouement de baleines s’est déroulé en 1996, déjà sur la côte ouest australienne. 360 baleines avaient été retrouvées.

Le président Trump a décidé de remplacer son conseiller à la sécurité nationale H.R. McMaster, reconnu pour son pragmatisme, sa prudence et sa modération, par John Bolton, un idéologue favorable à l'utilisation beaucoup plus fréquente de la force militaire par les États-Unis. Y a-t-il de quoi s'inquiéter?

Vous vous souvenez quand Donald Trump dénonçait les politiciens et leurs conseillers qui avaient précipité les États-Unis dans une guerre insensée en Irak? Quand Trump avertissait les Américains que la présence d’Hillary Clinton à la Maison-Blanche pourrait signifier des conflits sans fin? C’est bien loin tout ça. Hier le président a annoncé le remplacement de son principal conseiller à la sécurité nationale H.R. McMaster, un ex-général reconnu pour sa prudence dans l’engagement de la force, par John Bolton, un idéologue néoconservateur pour qui toutes les excuses semblent bonnes pour déballer l’artillerie lourde aux quatre coins du monde.

Alors que Trump a fondé tout son discours en campagne sur le fait que la guerre en Irak a été la pire erreur de l’histoire récente des États-Unis (ce qui n’est pas faux), il vient d’engager pour guider sa politique étrangère l’un des principaux architectes de cette guerre.

Que fait le conseiller à la sécurité nationale?

Le rôle qu’occupera John Bolton est stratégique dans le processus de prise de décision en politique étrangère à la Maison-Blanche. Le Conseil de sécurité nationale (National Security Council; à ne pas confondre avec le Conseil de sécurité de l’ONU) est une section de la branche exécutive qui fournit au président, sous son autorité directe, des avis et analyses pertinents aux nombreux enjeux de sécurité nationale qui nécessitent son intervention directe. C’est le poste qu’ont occupé, entre autres, Henry Kissinger avec Richard Nixon et Zbigniew  Brzezinski avec Jimmy Carter.

Qu’il s’agisse de gérer les crises ou de mener la politique étrangère au jour le jour, le conseiller à la sécurité nationale est toujours engagé aux côtés du président. Contrairement au secrétaire d’État ou au secrétaire à la Défense, qui ont leurs bureaux à l’extérieur et qui doivent gérer d’immenses bureaucraties,  le conseiller travaille à quelques portes du bureau ovale avec une petite équipe flexible. Il est toujours le premier arrivé et le dernier sorti quand le président se penche sur les dossiers de sécurité. Il dispose d’une équipe d’analystes et de spécialistes de haut vol, dont la plupart sont des permanents qui suivent les dossiers de politique étrangère pas à pas depuis des années.

Formellement, son rôle est de synthétiser ces analyses et de présenter au président une image objective de la situation afin de lui permettre de prendre une décision éclairée et informée. Dans la pratique, le conseiller à la sécurité nationale dispose d’une position unique pareille pour influencer le cours de la politique étrangère et de sécurité des États-Unis. C’est pourquoi la nomination de John Bolton a déclenché un mouvement de panique parmi les spécialistes de la politique étrangère. 

Qui est John Bolton?

Le choix de Donald Trump pour occuper ce poste stratégique est un juriste et ancien diplomate. Alors qu’il était sous-secrétaire d’État en 2002, John Bolton a été instrumental dans la décision américaine de refuser d’adhérer au traité de Rome créant la Cour pénale internationale. Choisi par Bush pour occuper le poste d’ambassadeur aux Nations unies, ses prises de positions controversées (entre autres, son souhait à peine voilé de voir disparaître l’ONU) ont amené le Sénat à lui refuser la confirmation. Il a quand même occupé le poste jusqu’en 2006 par un artifice législatif qui permettait son engagement sans confirmation. Heureusement pour lui, le poste de conseiller à la sécurité nationale n'est pas soumis à l'assentiment du Sénat, où plusieurs républicains se joindraient probablement aux démocrates pour lui barrer la route.

Plus récemment, Bolton est surtout connu pour ses apparitions régulières à Fox News, où il a été un critique inlassable de l’administration Obama et un fidèle disciple de Donald Trump dès son entrée en campagne. La rumeur persistante à Washington veut que Trump l’avait considéré dès le début pour le poste de conseiller à la sécurité nationale mais il croyait qu’il n’avait pas le physique de l’emploi à cause de sa moustache exubérante. Les innombrables prises de position publiques de Bolton le dépeignent comme un faucon, toujours prêt et prompt à envisager l’usage de la force militaire non pas comme un dernier recours mais le plus souvent comme une solution immédiate à la plupart des crises qui confrontent les États-Unis.

Faut-il s’inquiéter?

En un mot, oui. La plupart des conseillers à la sécurité nationale dans le passé ont été des individus relativement effacés qui étaient beaucoup plus susceptibles de donner au président un avis équilibré et fondé sur les faits qu’une opinion lourdement influencée par l’idéologie et une vision préconçue du monde. L’opinion largement répandue au sujet de John Bolton est que l’ex-diplomate de 70 ans est avant tout un idéologue qui, malgré ses affirmations à l’effet contraire, se servira de sa position pour mettre de l’avant ses propres préférences et saura exploiter le faible de Donald Trump pour la flatterie pour le seconder dans ses décisions les plus impulsives. La prudence du conseiller sortant H.R. McMaster, qui s’est sans doute plus d’une fois efforcé de calmer les impulsions militaristes de Trump, est probablement une des principales raison pour son renvoi. Trump a peu de patience pour la critique et les appels à la prudence et ce n’est pas ce qu’on attend de John Bolton.

Par exemple, au sommet des inquiétudes des spécialistes quant aux politiques de sécurité de Trump, il y a l’option d’une utilisation dite «préemptive» de la force dans le contentieux nucléaire avec la Corée du Sud de Kim Jong-un et, une option moins immédiate mais tout aussi préoccupante, une résiliation de l’entente nucléaire avec l’Iran qui pourrait être suivie d’une escalade rapide vers l’emploi de la force armée. En fait, quel que soit l’enjeu international, l’utilisation hâtive de la force militaire n’est jamais bien loin dans l’ordre de priorité de l’idéologue que Trump vient de mettre en charge de sa politique de sécurité.

John Bolton sera le troisième conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump. Le premier, Michael Flynn, était aussi un fidèle disciple de Trump. Flynn a toutefois dû démissionner dans la tourmente du scandale de l’affaire russe et a depuis plaidé coupable à des accusations criminelles d’avoir menti dans ses déclarations au FBI, en plus d’avoir entretenu de multiples conflits d’intérêts dans ses relations avec des gouvernements étrangers. Cette nomination s’inscrit dans la nouvelle phase de la présidence Trump dont je parlais dans ma chronique d’hier. Elle fait également suite au renvoi du secrétaire d'État Rex Tillerson, partisan d'une politique étrangère plutôt classique qui ne s'était pas gêné pour critiquer les orientations de son patron (même s'il avait ses propres problèmes au plan de la gestion interne) et à son remplacement par Mike Pompeo, un loyaliste de Trump qui sera plus enclin à appuyer le président en toutes circonstances.

Le président, qui manifeste de plus en plus de confiance en ses capacités et d’assurance dans son rôle malgré la tourmente, semble en voie de refaire la Maison-Blanche à son image en privilégiant l’embauche de loyalistes. Loin de chercher à tempérer ses instincts impulsifs, le président serait plutôt d’avis qu’il gagnerait à leur donner libre cours. Une rumeur veut que Trump songerait même à se débarrasser de son chef de cabinet (qui, malgré la controverse sur plusieurs de ses déclarations, demeure un des derniers remparts de son administration contre le chaos total à la Maison-Blanche) et s’occuper lui-même de l’organisation du travail de la présidence.

Y a-t-il de quoi s’inquiéter en présence d’un président impulsif traqué sur plusieurs fronts (y compris l’affaire russe et des poursuites civiles par une actrice porno, une ex-playmate et une ancienne participante à son émission de télé), d’une Maison-Blanche chaotique, d’un conseiller prompt à tirer sur tout ce qui bouge et de conflits qui s’enveniment contre des régimes imprévisibles? Poser la question, c’est y répondre.

Source:

jeudi 22 mars 2018

Épisode de Black Mirror concernant le système de "notation sociale"

* En Chine, les personnes avec une faible «note sociale» ne pourront plus prendre l'avion ou le train: le pays va encore plus loin que la dystopie imaginée dans la série «Black Mirror»
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/03/en-chine-les-personnes-avec-une-faible.html


La série "Black Mirror", saison 3, épisode 1, nous montre à quel point nous sommes manipulés par l'image et la désirabilité sociale et ce, en vue de nous faire accepter, dans l'allégresse, la conformité et la docilité. Que nous sommes stupides!
http://www.hds.to/series/black-mirror-saison-3-streaming.php

mercredi 21 mars 2018

La dissidence...

* Cette liste d'articles ou de documents est très loin d'être "à jour". 


Le "projet de loi pour le délit", le HR 347, interdit à tous les citoyens américains de critiquer ou de résister à tout fonctionnaire qui a été désigné sous la protection des services secrets.

La "National Defense Authorization Act" permet que les Américains qui s'opposeront au gouvernement ou aux autorités pourront être détenus, torturés et même tués sans procès.

Un document publié par le Département de l'Armée américaine, intitulé "Internment and resettlement operations", élabore sur les procédures entourant la détention de terroristes domestiques ou de citoyens réfugiés.

Stratégie antiterroriste canadienne: nous sommes tous de potentiels terroristes!

Le Combatting Terrorism Center (branche de l'Armée américaine) déclare dans un rapport que toute "opposition au nouvel ordre mondial" est considérée comme du terrorisme potentiel!

Le FBI instruit les corps de police et les communautés à propos du danger que représentent les multiples catégories de personnes considérées comme étant de potentiels terroristes

Détenir plus de 7 jours de réserves alimentaires peut faire de vous un potentiel terroriste

Une nouvelle loi du Congrès donne le droit au gouvernement américain de détenir tout citoyen, sans accusation préalable, sans limite de détention, au nom de la sécurité nationale

Liste officielle du gouvernement américain contenant les 72 types d'Américains considérés comme étant des "extrémistes" et des "terroristes potentiels":

1. Those that talk about “individual liberties”
2. Those that advocate for states’ rights
3. Those that want “to make the world a better place”
4. “The colonists who sought to free themselves from British rule”
5. Those that are interested in “defeating the Communists”
6. Those that believe “that the interests of one’s own nation are separate from the interests of other nations or the common interest of all nations”
7. Anyone that holds a “political ideology that considers the state to be unnecessary, harmful, or undesirable”
8. Anyone that possesses an “intolerance toward other religions”
9. Those that “take action to fight against the exploitation of the environment and/or animals”
10. “Anti-Gay”
11. “Anti-Immigrant”
12. “Anti-Muslim”
13. “The Patriot Movement”
14. “Opposition to equal rights for gays and lesbians”
15. Members of the Family Research Council
16. Members of the American Family Association
17. Those that believe that Mexico, Canada and the United States “are secretly planning to merge into a European Union-like entity that will be known as the ‘North American Union’”
18. Members of the American Border Patrol/American Patrol
19. Members of the Federation for American Immigration Reform
20. Members of the Tennessee Freedom Coalition
21. Members of the Christian Action Network
22. Anyone that is “opposed to the New World Order”
23. Anyone that is engaged in “conspiracy theorizing”
24. Anyone that is opposed to Agenda 21
25. Anyone that is concerned about FEMA camps
26. Anyone that “fears impending gun control or weapons confiscations”
27. The militia movement
28. The sovereign citizen movement
29. Those that “don’t think they should have to pay taxes”
30. Anyone that “complains about bias”
31. Anyone that “believes in government conspiracies to the point of paranoia”
32. Anyone that “is frustrated with mainstream ideologies”
33. Anyone that “visits extremist websites/blogs”
34. Anyone that “establishes website/blog to display extremist views”
35. Anyone that “attends rallies for extremist causes”
36. Anyone that “exhibits extreme religious intolerance”
37. Anyone that “is personally connected with a grievance”
38. Anyone that “suddenly acquires weapons”
39. Anyone that “organizes protests inspired by extremist ideology”
40. “Militia or unorganized militia”
41. “General right-wing extremist”
42. Citizens that have “bumper stickers” that are patriotic or anti-U.N.
43. Those that refer to an “Army of God”
44. Those that are “fiercely nationalistic (as opposed to universal and international in orientation)”
45. Those that are “anti-global”
46. Those that are “suspicious of centralized federal authority”
47. Those that are “reverent of individual liberty”
48. Those that “believe in conspiracy theories”
49. Those that have “a belief that one’s personal and/or national ‘way of life’ is under attack”
50. Those that possess “a belief in the need to be prepared for an attack either by participating in paramilitary preparations and training or survivalism”
51. Those that would “impose strict religious tenets or laws on society (fundamentalists)”
52. Those that would “insert religion into the political sphere”
53. Anyone that would “seek to politicize religion”
54. Those that have “supported political movements for autonomy”
55. Anyone that is “anti-abortion”
56. Anyone that is “anti-Catholic”
57. Anyone that is “anti-nuclear”
58. “Rightwing extremists”
59. “Returning veterans”
60. Those concerned about “illegal immigration”
61. Those that “believe in the right to bear arms”
62. Anyone that is engaged in “ammunition stockpiling”
63. Anyone that exhibits “fear of Communist regimes”
64. “Anti-abortion activists”
65. Those that are against illegal immigration
66. Those that talk about “the New World Order” in a “derogatory” manner
67. Those that have a negative view of the United Nations
68. Those that are opposed “to the collection of federal income taxes”
69. Those that supported former presidential candidates Ron Paul, Chuck Baldwin and Bob Barr
70. Those that display the Gadsden Flag (“Don’t Tread On Me”)
71. Those that believe in “end times” prophecies
72. Evangelical Christians

De plus en plus de parents équipent de GPS leur enfant

* Ces montres "Big Brother" ont été interdites en Allemagne au nom de la protection de la vie privée

La disparition d’un garçon de 10 ans au cours de la dernière semaine a créé un intérêt auprès des parents qui souhaitent acheter un système GPS à leur enfant au cas où ces derniers disparaissent.

FamiliSécur est la première compagnie canadienne à offrir des montres de géolocalisation GPS depuis 2015. Outil déjà populaire en France, ce nouveau gadget commence à se tailler une place sur le marché québécois.

«C’est comme un cellulaire dans une montre, a expliqué Mélodie Maurice, propriétaire de la compagnie située à Drummondville. On peut envoyer un texto à notre enfant ou un message vocal de quelques secondes, suivre ces déplacements avec le GPS et recevoir un signal d’alerte SOS.»

Le chiffre d’affaires de la compagnie aurait augmenté de 34 % au cours de la dernière année. Depuis la disparition du petit Ariel Jeffrey Kouakou, elle aurait vendu quatre fois plus de montres durant la dernière semaine comparativement aux autres semaines de 2018.

«En janvier, février et mars, c’est généralement une à deux montres par semaine. Cependant, depuis la disparition [d’Ariel], j’ai vendu 5 montres en une semaine», a affirmé Mme Maurice qui dit aussi avoir été contactée par un plus grand nombre de parents qu’à l’habitude durant les derniers jours.

Une option à considérer

Selon Pina Arcamone, directrice générale du Réseau Enfants-Retour, la montre connectée est une option à considérer. «C’est certain que ça peut aider à trouver un enfant disparu plus rapidement quand il a un système GPS sur lui», a-t-elle confié.

Mme Arcamone a mentionné que plusieurs compagnies spécialisées dans les systèmes de GPS pour enfants sont venues cogner à la porte de son organisme récemment. «Et avec des cas de disparitions comme celui d’Ariel, oui, ça peut inciter encore plus les parents à en acheter».

Parents mitigés

Les parents de jeunes enfants semblent toutefois mitigés face à cette technologie.

«Ok, je comprends l’idée, mais je pense que les parents devraient surtout se concentrer sur la prévention et l’éducation de leur enfant», a souligné Tim Rivard, père d’un jeune garçon âgé de huit années.

Son de cloche différent pour Chantal St-Arnaud qui a équipé son jeune garçon de 11 ans avec une montre munie d’un système GPS. «J’habite à Longueuil et mon garçon est hyperactif, a-t-elle dit. Une fois, des gens ont voulu voler son vélo au parc, il a fait la touche SOS sur sa montre et sa grande sœur est venue le protéger. Ça me permet aussi d’éviter de me demander tout le temps où il est.»

En Chine, les personnes avec une faible «note sociale» ne pourront plus prendre l'avion ou le train: le pays va encore plus loin que la dystopie imaginée dans la série «Black Mirror»

* L'utilité des médias sociaux, outre de vendre nos informations à des compagnies de marketing, est, ultimement, de classifier chacun des utilisateurs dans une catégorie de "dangerosité sociale". Les hommes politiques, hauts gestionnaires et journalistes sont les plus redoutables à cause de leur position sociale et de leur pouvoir de dénonciation, mais encore, ils sont maintenus par des clauses de non-divulgation, des interdits de publication ou par des techniques de chantage parmi les plus obscènes (scandales sexuels par exemple). Le "petit peuple" représente une menace dans la mesure, je présume, où les dissidents dépasse un nombre critique. Mais les médias de masse, les médias sociaux, les campagnes de propagande des lobby et la pharmacopée se chargent de garder le troupeau bien docile!



Mal garer un vélo, fumer dans un espace public, être grossier... Ces incivilités font baisser la "note sociale" attribuée à chaque citoyen chinois, et pourront bientôt en empêcher certains de prendre le train ou l'avion. La Chine a annoncé qu'elle allait commencer à appliquer, à partir du mois de mai, de (nouvelles) restrictions pour les personnes avec une "note sociale" basse, annonce Reuters le 16 mars.

Depuis 2014, le pays travaille sur un système de notation des citoyens qui sera complètement opérationnel et obligatoire en 2020. La note sera attribuée en fonction du comportement, du casier judiciaire, mais aussi de la situation financière, de la civilité - des opinions politiques - et globalement de tous les faits et gestes. Dans moins de deux mois, les personnes qui auront une note trop basse seront ainsi interdites d'avion ou de train.

Depuis plusieurs années déjà, le gouvernement du désormais indéboulonnable Xi Jinping, limitait les déplacements des citoyens trop endettés. Le choix des restrictions se base sur une liste noire des "débiteurs" établie par la Cour populaire suprême en 2013. Selon Reuters, les personnes figurant dans la liste peuvent voir leur accès restreint dans les hôtels de luxe ou la fréquentation de clubs de golf. Ou encore rencontrer des difficultés pour inscrire leurs enfants dans des écoles cotées, faire des achats en ligne ou faire une demande carte de crédit.

Désormais, les petites incivilités pourront aussi faire descendre la note des personnes concernées. L'accès limité aux transports n'est que la dernière sanction en date, indique The Verge, parmi d'autres déjà imposées à plus de sept millions de Chinois.

Sanctionnés pour des excuses "pas sincères"

Il est très simple de voir sa note descendre en flèche. Peuvent perdre des points les citoyens qui ont donné de "fausses alertes sur le terrorisme", causé des "problèmes" sur des vols, utilisé des billets de trains expirés, fumé dans un espace public, mal garé leurs vélos ou qui ont présenté des excuses qui ne sont pas jugées "sincères".

"Les autorités gouvernementales chinoises espèrent clairement créer une réalité dans laquelle les mesquineries bureaucratiques pourraient considérablement limiter les droits des personnes. À mesure que le pouvoir du président Xi Jinping prendra de l'ampleur et que le système approche de sa pleine mise en œuvre, d'autres abus viendront", assénait Maya Wang de l'ONG Human Rights Watch.

Ce système de notation est au cœur de l'intrigue d'un épisode de la série "Black Mirror", "Chute libre", dans lequel les citoyens se notent entre eux. Ceux qui ont de mauvaises notes finissent en marge de la sociétés, parias.

Source:

lundi 19 mars 2018

Les "bien-nantis" et des responsables de la Sécurité nationale se préparent à l'apocalypse

“L’assurance Apocalypse” : La moitié des milliardaires de la Silicon Valley ont un abri

CNN: "Bunkers pour milliardaires: comment les 1% se préparent à l'apocalypse" (anglais)

Panique et anxiété suscitent la construction de bunkers de luxe pour les super-riches de Los Angeles (et d'ailleurs)

La société Vivos vient de racheter un ancien abri anti-atomique à Rotehnstein, en Allemagne. Baptisée «Vivos Europa One», cette forteresse souterraine de 25 000 mètres carrés a coûté 200 millions d'euros, soit 292 milllions de dollars canadiens

Visite guidée de bunkers souterrains 

Les Walmart [et Home Depot] font partie d'un programme de gestion globale des urgences depuis le 11 septembre 2001: un partenariat public-privé avec la FEMA (Federal Emergency Management Agency) et autres agences gouvernementales

Le "Plan de continuité du gouvernement": liste d'abris souterrains destinés à l'élite (avec des photos de certaines de ces gigantesques installations)


"Nous avons des membres de toutes les agences à trois lettres", a déclaré le créateur de Fortitude Ranch, Drew Miller, un colonel de l'armée de l'air à la retraite, faisant référence à la CIA, à la Defense Intelligence Agency et au Federal Bureau of Investigation (FBI).

Il croit qu'une attaque ou une impulsion électromagnétique mettant le réseau électrique hors fonction est "inévitable", une force motrice pour son projet.

Un de ses membres de la région de Baltimore, s'exprimant en toile de fond, a déclaré que lui et d'autres se sont joints après s'être réveillés face au potentiel d'une crise nationale, soit une attaque, une crise financière ou de la violence politique. "Pour la plupart d'entre nous, quelque chose a ébranlé nos certitudes et nous a réveillés", a-t-il dit.

Grâce à des adhésions et à sa propre crypto-monnaie appelée "Fortitudes", Miller a recueilli environ 400 000 $ et a établi un ranch en Virginie-Occidentale et au Colorado avec 10 autres prévus. Une journée portes ouvertes au ranch West Virginia est prévue du 21 au 23 avril.

Il a dit que pour le ranch de Virginie-Occidentale, «la plupart des membres sont des professionnels de la région de Washington. Ils n'ont pas le temps de le faire eux-mêmes. [bunker]» Le coût de l'adhésion est d'environ 1 000 $ par personne par année.

Chaque camp devrait accueillir entre 50 et 500 personnes en cas de crise et Miller a déclaré qu'ils allaient avoir des loges, des bunkers souterrains et des tours de garde. En cas de crise sociale, les membres seront responsables de la gestion de ces tours. Chaque camp a un champ de tir.

Il a dit que les camps sont presque aussi "survivables" à une attaque que le Mount Weather Emergency Operations Center, un centre militaire utilisé par la Federal Emergency Management Agency (FEMA), situé près de la rivière Shenandoah en Virginie, où plusieurs dirigeants de Washington ont été logés après les attentats du 11 septembre.

De nombreux rapports ont récemment mis en garde contre les dangers d'une impulsion électromagnétique, d'une attaque nucléaire et bactériologique de la Russie, de l'Iran et de la Corée du Nord.

"Vous devez être un idiot pour ne pas penser que cela va arriver", a déclaré Miller, auteur de "Nation Rohan: Réinventer l'Amérique après l'effondrement de 2020".

"Nous sommes une grande communauté de survie qui peut maintenir les membres dispersés (la protection contre les virus) avec une superficie suffisante pour décourager et vaincre les attaques des maraudeurs en plus de faire des cultures et d'élever du bétail", dit-il.

«La meilleure approche pour une survie fiable, efficace et abordable est de rejoindre une communauté de survie qui soit grande et bien préparée pour faire face aux pandémies virales, aux menaces des maraudeurs et aux conditions d'effondrement à long terme. Nous sommes également un excellent site de vacances et de loisirs pour nos membres, car nous nous trouvons dans de belles forêts, dans des régions montagneuses éloignées », ajoute-t-il.

Source:

Un haut fonctionnaire, qui a occupé des postes importants au sein de l'administration américaine, a publié le 17 mars dernier que le temps du règne de bachar el-assad est terminé

* Andy Blumenthal est chef adjoint de l'exploitation au Département de la Santé et des Services à la personne des États-Unis, il est sous-secrétaire du Bureau à la préparation et à l'intervention. Auparavant, il a occupé des postes au sein du Département d'État des États-Unis, du Global Information Services, du ministère de la Justice, il a travaillé au Département de la sécurité intérieure, dans la Garde côtière et dans les Services Secrets

Le "poisson d'avril" qui vient pourrait être une date qui marque des événements qui n'ont absolument rien de rigolos...


Il y a un an, en avril, les États-Unis ont lâché 59 missiles de croisière sur une base aérienne en Syrie qui était impliquée dans des attaques chimiques contre des civils. 

C'était un message d'avertissement. Aujourd'hui, les attaques contre les civils, y compris l'utilisation d'armes chimiques, se poursuivent en Syrie sans relâche. Il y a maintenant  plus de 500 000 morts en Syrie. Cela inclut  plus de 14 000 enfants tués par des tireurs d'élite, des mitrailleuses, des grenades, des engins piégés, des bombes dans des barils, des attaques au gaz, et même la torture et l'exécution. En 2016,  près de 1 500 personnes ont été tuées dans une seule attaque chimique par le régime d'Assad. Il y a deux semaines, le sponsor de la Syrie, la Russie, a été accusée d'utiliser le plus dangereux des agents neurotoxiques pour empoisonner un ancien espion et sa fille au Royaume-Uni. 

Il est grand temps que les États-Unis interviennent et envoient un message très clair contre l'utilisation d'armes chimiques, les meurtres sordides et pour faire disparaître Assad. 

Assad est un dictateur impitoyable avec le sang d'innocents sur ses mains et son utilisation continue d'armes de destruction massive face à la société civilisée donne le ton de ce qui pourrait être pire dans l'avenir. Les États-Unis doivent mettre un "reset" sur l'utilisation de ces armes dangereuses en envoyant un message clair indiquant que ceux qui les utilisent sans discernement paieront le prix ultime. Nous avons déjà envoyé un message d'avertissement en avril dernier.

Le régime d'Assad, la Russie, l'Iran et les terroristes du Hezbollah ont tous besoin de nous pour leur faire comprendre que les lignes rouges ne seront pas franchies sans payer un très sérieux prix - et que tous leurs efforts pour étendre leur portée malveillante à travers cette région ont été vains. 

Assad est l'imbécile d'avril s'il pense qu'un missile de croisière ne va pas tomber sur sa tête cette fois-ci et il sera vraiment bien mérité. Pour tous les civils et les enfants, et pour toutes les générations futures, le temps est écoulé.

Sources:

RT News: Syrie : des rebelles formés par des instructeurs américains pour commettre des attaques chimiques ?

* La Russie affirme que les Etats-Unis projettent de frapper Damas et promet une réponse militaire
https://infos-israel.news/declaration-de-guerre-de-la-russie-si-les-etats-unis-attaquent-a-nouveau-la-syrie-nous-repondrons/

Le ministère russe de la Défense accuse les Etats-Unis de former des rebelles syriens afin de mener des attaques chimiques, avec pour objectif de justifier des frappes américaines contre des sites gouvernementaux syriens.

«Nous disposons d'informations fiables selon lesquelles des instructeurs américains ont formé plusieurs groupes de combattants dans les environs de la ville d'Al-Tanf pour lancer des provocations impliquant des armes chimiques dans le sud de la Syrie», a déclaré le 17 mars lors d’un point presse, le général et porte-parole de l'état-major russe, Sergueï Roudsksoï.

Pour appuyer ses accusations, il a souligné : «Début mars, des groupes de saboteurs ont été déployés [...] dans la ville de Deraa [dans le sud du pays], où des unités de ladite Armée syrienne libre [un conglomérat de groupes rebelles, pour certains islamistes] sont stationnées.»

Selon lui, celles-ci préparaient ainsi «une série d'explosions de munitions chimiques», déjà livrées par un convoi se présentant comme humanitaire.

En outre, il a ajouté qu’une autre attaque chimique était en préparation dans la province d’Idleb par les combattants du groupe djihadiste Fatah al-Cham (anciennement Front al-Nosra, lié à al-Qaïda) avec l’aide des controversés Casques blancs. «Les combattants ont déjà reçu 20 conteneurs de chlore pour mettre en scène l'incident», a-t-il précisé.

Sergueï Roudsksoï a encore accusé la coalition menée par les Etats-Unis de vouloir utiliser ces attaques chimiques, pour lesquelles la majorité des médias occidentaux accuseraient selon lui Damas, comme prétexte à des frappes contre l'armée syrienne.

Plus tôt dans la semaine, les forces gouvernementales syriennes avaient annoncé avoir découvert un atelier clandestin destiné à produire des munitions chimiques en patrouillant dans le village d'Aftris, dans la Ghouta, d'où des groupes rebelles djihadistes avaient été peu auparavant chassés. Des images publiées par l’agence de presse syrienne SANA avaient montré de grandes quantités de substances chimiques ainsi que des munitions artisanales.

Assad se prépare à une attaque militaire majeure des Etats-Unis

* Un exercice militaire israélien simule une guerre multi-frontale avec l'intervention de la Russie en Syrie (anglais):


Damas a pris une série de mesures pour se préparer à une frappe militaire américaine anticipée, ont déclaré des diplomates occidentaux au journal saoudien Asharq Al-Awsat .

Les mesures ont été décidées samedi lors d'une réunion du Conseil de sécurité nationale, présidée par le président Bachar al-Assad, qui comprenait des responsables militaires et de sécurité. 

Dans le cadre des préparatifs du gouvernement, des lettres ont été envoyées à la Russie et à l'Iran pour demander une protection supplémentaire et des troupes de l'armée russe auraient déjà été déployées dans des "lieux critiques" afin de dissuader Washington, a déclaré un diplomate.

Des troupes russes peuvent également être envoyées pour protéger les institutions gouvernementales civiles et militaires. Il a également été signalé que l'ONU avait déplacé du personnel, y compris des diplomates, dans des domaines de préoccupation particuliers.

Un pays arabe mystère aide les Juifs à émigrer en Israël

Quatre cents Juifs yéménites ont été transportés à Tel Aviv le mois dernier dans le cadre d'une opération militaire spéciale impliquant des commandos israéliens, a  rapporté le journal londonien Al-Quds Al-Arabi.

L'opération a nécessité l'assistance d'un pays arabe voisin non identifié qui a permis à des hélicoptères israéliens d'atterrir sur son territoire afin que les Yéménites puissent être transportés, a indiqué une source au journal.

Une porte-parole du ministère de l'Immigration et de l'Intégration a indiqué qu'en plus des Yéménites, des Juifs syriens et irakiens ont également été amenés en Israël lors des soulèvements arabes, mais elle n'a pas voulu donner plus de détails.

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