* Ils sont pris au piège, contraints par les autorités dans une prison sanitaire où ils sont sans ressources: c'est ça du bétail mis en quarantaine! Ce que les médias ne disent pas très fort c'est que les populations du Libera et du Sierra Leone croient que l'épidémie d'Ebola a été intentionnellement relâchée par des centres de recherches qui ont été établis dans leurs villages, dans leurs hôpitaux... (Je vais publier un article qui confirme sur ce fait dans quelques minutes)
La police libérienne a utilisé des gaz lacrymogènes mercredi pour disperser des habitants de Monrovia qui voulaient quitter le quartier de West Point, mis en quarantaine la veille en raison de l'épidémie de fièvre d'Ebola.
Des résidents de cet important bidonville de la capitale du Liberia, qui compte entre 60 000 et 100 000 habitants, ont affirmé ne pas avoir été informés de la mise en quarantaine. Ils ont donc été surpris de ne pas pouvoir se déplacer pour aller travailler ou acheter de la nourriture.
Au cours du week-end, des résidents de West Point avaient pris d'assaut un centre de quarantaine où logent des malades potentiels. Ils s'étaient notamment emparés de matelas et de couvertures tachés de sang. La police libérienne était parvenue à rétablir l'ordre, mais les autorités de la santé du pays craignaient que ce pillage ne favorise la propagation de la maladie à Monrovia.
Outre la mise en quarantaine du quartier, un couvre-feu a été instauré de 21 h à 6 h à l'échelle nationale pour contrôler les mouvements de population.
L'épidémie qui touche quatre pays d'Afrique de l'Ouest a fait 1229 morts, selon les derniers chiffres communiqués mardi par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Au Liberia, 53 décès supplémentaires ont été enregistrés du 14 au 16 août.
Source:
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/International/2014/08/20/002-ebola-liberia-west-point-quarantaine.shtml
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