vendredi 30 juin 2017

Nouveau livre de Normand Lester: Les Orchidées de Staline

* Lester s'est inspiré des véritables recherches financées par Staline au début du siècle, lequel voulait créer une race hybride super-puissante (super-soldat). Le projet a [supposément] été avorté lorsque des membres d'une commission européenne ont dénoncé l'usage de femmes africaines non-consentantes pour "héberger" les fœtus primates. Si la fécondation in vitro et les manipulations génétiques existaient au début des années 1900, je n'ose même pas imaginer les créatures abominables qui se trouvent dans les laboratoires militaires!

Notez que Normand Lester a écrit un autre livre intitulé "Verglas", sous forme d'un polar (un écrit documentaire "romanisé"), qui prétend que la crise du verglas (janvier 1998), le déluge de Montréal (14 juillet 1987) et du Lac St-Jean (19 juillet 1996) auraient été causés par la technologie HAARP, mise au point par Nikolas Tesla. Tesla est d'ailleurs venu au Québec avant sa mort, entre autres à Beauport.

Faits réels du roman "Verglas", transmis par Normand Lester à un membre FB

• L'explosion de la navette spatiale Challenger a effectivement créé en 1985 un immense trou dans l’ionosphère au-dessus du Lac Saint-Jean.

• Une étude a démontré des centaines de cas de cancer du cerveau dans la région du Lac-Saint-Jean, après 1985.

• Il a existé une ferme à Sainte-Hedwidge-de-Roberval où étaient captées dans les années 80 des ondes ELF en provenance de Siple Station (la base a ensuite été transférée à Mistissini dans le Grand-Nord québécois, puis à Gakona, Alaska).

• Plusieurs études ont été publiées dans des revues scientifiques américaines sur les émissions ELF de Siple Station en Antarctique visant la région de Roberval.

• Il y a eu un tremblement de terre important dans la région de Chicoutimi le 25 novembre 1988

• Il y a eu une importante tempête de grêle le 29 juillet 1985 en Montérégie

• Le 19 juillet 1996, inondations catastrophiques du Saguenay

• Le 14 juillet 1987, inondation catastrophique de Montréal

• À quelques reprises durant l’été 1994 des avions-citernes CL-215 du Service aérien du gouvernement du Québec ont été affectées par des interruptions totales de communication radio.


* Expériences supposément commanditées par Staline pour créer des hybrides d'homme et de singe

Le généticien David Suzuki a récemment exprimé son inquiétude disant que les êtres humains font partie d'une "expérience génétique massive" depuis de nombreuses années et que les intentions de la biotechnologie vont au-delà de l'argent

Les génomes désormais modifiables à volonté

Des scientifiques sonnent l'alarme sur le danger des nouvelles souches virales créées par le mélange du virus de la grippe aviaire et de la grippe humaine: si la souche du virus devait s'échapper du laboratoire elle pourrait provoquer une pandémie mondiale et causer des millions de morts, avertissent les experts

Google veut stocker notre génome: le projet "Google Genomics"

Coup de tonnerre dans le monde de la génétique : des chercheurs chinois annoncent avoir modifié le génome d'embryons humains

Des scientifiques peu scrupuleux créent des hybrides humains-animaux

150 créatures hybrides homme-animal ont été produites dans des laboratoires au Royaume-Uni: Les embryons ont été cultivés secrètement dans les trois dernières années

Ressusciter une espèce éteinte deviendra possible dans l'avenir?

Animaux contenant du matériel humain"

The birth of half-human, half-animal chimeras

The Reality of Dr Moreau: Human-Animal Cross-Species

A neuroscientist discusses a new White House report on ethical questions for the future of human brain research

La planète des singes : de la fiction à la réalité (article en français)

L'épigénétique: le rôle de la génétique dans l'altération du comportement humain et animal 

Cloned-Human-Embryos-As-Well-As-Animal-Human-Hybrids

DARPA to Genetically Engineer Humans by Adding a 47th Chromosome

L'Iran a développé une nouvelle méthode augmentant de 100 fois la vitesse de clonage

Moscou frappé par le plus gros orage des 60 dernières années

* La formation de fortes tempêtes supercellulaires et de tornades, particulièrement au cours des derniers jours et particulièrement au Québec, me semble être de plus en plus fréquente. Une tornade s'est abattue dans la région du Lac St-Jean la semaine dernière, des alertes de tornades ont été lancées deux fois en une semaine et un "phénomène météo extrêmement rare", quatre nuages en forme d'entonnoir, ont été observés dans la région de Portneuf. La page FB de Xtrem Chase Québec rapporte ce type de phénomènes météorologiques.


Moscou s’apprête à devenir dans les heures à venir l’Arche de Noé. Selon les pronostics météorologiques, une tempête avec des rafales va s’abattre sur la capitale. Suivez avec Sputnik «l’orage du siècle».

Des pluies torrentielles et des orages violents sont en train de déferler sur la capitale russe. Selon des pronostics météorologiques, le vent pourra souffler jusqu'à 20 m/s en rafale.

21H37: Les pluies diluviennes du 30 juin ont établi deux records: celui des plus fortes précipitations pour un 30 juin de l'histoire des observations météorologiques à Moscou, et celui des plus fortes précipitations observées sur un mois de juin en général.

21H02: D’après les dernières données publiées sur le site du ministère russe de l’Énergie, plus de 43.000 personnes à Moscou, dans sa banlieue et dans les régions de Toula et de Kalouga, voisines de la capitale russe, ont été privées d'électricité.

18H50: Pendant les dernières six heures, l'équivalent des deux tiers des précipitations mensuelles sont tombées sur Moscou, a informé le Centre hydrométéorologique de Russie.

16H30: Environ 1.200 sauveteurs de Moscou ont été placés en disponibilité opérationnelle, selon le ministère russe des Situations d’urgence.
15H35: Trois personnes sont mortes et au moins cinq autres ont été blessées dans la région de Moscou, ont annoncé les médias russes se référant à des sources policières.

​15H14: Environ 4.400 personnes ont été privées d'électricité à Moscou et dans sa banlieue, lit-on sur le site du ministère russe de l’Énergie. Et dans la région de Toula, voisine de Moscou, ce sont près de 11.000 personnes qui ont été privées d'électricité.

Lire la suite:
https://fr.sputniknews.com/russie/201706301032046696-moscou-orage/

Un 6.0 en Équateur

* Le séisme ne fait pas partie de la liste Significant Earthquakes, Past 30 Days du USGS, mais il a tout de même été rapporté par ce même site il y a environ 4 heures.

https://earthquake.usgs.gov/earthquakes/eventpage/us100095nr#executive

Trump: l'ère de la patience face à la Corée du Nord est «terminée»

Le président américain Donald Trump a affirmé aujourd'hui avoir "de nombreuses options" sur la Corée du Nord, en accueillant son homologue sud-coréen Moon Jae-In à la Maison Blanche.

Donald Trump a affirmé que l'ère de la patience face à la Corée du Nord était "terminée", dénonçant un régime qui n'a "pas de respect pour la vie humaine".

"La patience stratégique avec le régime nord-coréen est terminée. Honnêtement, la patience est terminée", a déclaré M. Trump depuis les jardins de la Maison Blanche au côté du nouveau président sud-coréen Moon Jae-In.

Les deux dirigeants devaient évoquer les moyens d'arrêter les programmes balistique et nucléaire de la Corée du nord, et négocier par ailleurs un accord commercial entre les Etats-Unis et la Corée du Sud.

L'administration Trump a annoncé hier, pour la première fois, des sanctions contre une banque chinoise (Bank of Dandong), accusée d'avoir facilité des transactions au profit de compagnies impliquées dans le développement de missiles balistiques.

"Nous sommes en train de renégocier un accord commercial qui sera, je l'espère, équitable pour les deux parties", a-t-il souligné, soulignant que sa relation personnelle avec le président sud-coréen était "très très bonne". Ce dernier a souligné que le président américain avait été le premier à l'appeler pour le féliciter de sa victoire, et insisté sur la solidité des liens entre les deux pays.

Quelque 28.000 soldats américains sont déployés en Corée du Sud face à une Corée du Nord qui multiplie les essais de missiles - cinq depuis l'entrée en fonction de M. Moon - dans sa quête pour mettre au point un engin balistique intercontinental susceptible de porter le feu nucléaire sur le continent américain.

Le président sud-coréen est favorable à un dialogue avec la Corée du Nord si elle s'engage sur un gel de son programme nucléaire.

Source:

jeudi 29 juin 2017

CNN pourrait faire face à un procès en diffamation de 100 millions de dollars à propos d'une fausse histoire (fake news)

CNN faced $100M lawsuit over botched Russia story
http://www.foxnews.com/politics/2017/06/28/cnn-faced-100m-lawsuit-over-botched-russia-story.html/



Trois journalistes de CNN ont démissionné après le retrait d'un article affirmant que le Congrès américain enquêtait sur les liens de membres de l'équipe Trump avec un fonds d'investissement russe, une décision saluée par le président des États-Unis, pour qui la chaîne d'information est un «faux média».

Il s'agit de l'auteur de l'article, Thomas Frank, l'un des membres de l'équipe d'édition, Eric Lichtblau et du responsable de la cellule d'enquête dont faisaient partie les deux premiers, Lex Haris.

L'article avait été mis en ligne jeudi sur le site de CNN, avant d'en être retiré vendredi. Il n'a jamais été repris ou mentionné à l'antenne de la chaîne d'information américaine.

Déjà très critique vis-à-vis de CNN, l'une de ses cibles favorites, Donald Trump a rapidement réagi à l'annonce des départs au sein de la chaîne.

«Le faux média CNN envisage de grands changements de son encadrement, maintenant qu'ils ont été pris à publier leurs articles russes bidons», a tweeté le président des États-Unis mardi matin.

«Ils ont pris le faux média CNN la main dans le sac», a-t-il poursuivi, «mais qu'en est-il de NBC, CBS et ABC? Qu'en est-il des ratés du New York Times et du Washington Post? Ce sont tous de faux médias!»

L'article sur le site de CNN assurait que la Commission sur le renseignement du Sénat enquêtait sur les liens entre des membres de l'équipe Trump et ce fonds d'investissement, contrôlé par la banque russe VEB, sous le coup de sanctions des États-Unis et de l'Europe depuis 2014 et l'annexion de la Crimée par la Russie.

Selon l'auteur, qui citait une source anonyme, dans le cadre d'une autre enquête, le département américain du Trésor s'intéresserait à l'un des membres de l'équipe de transition de Donald Trump, l'homme d'affaires Anthony Scaramucci, qui aurait rencontré le directeur général du fonds le 16 janvier, quelques jours avant l'investiture du nouveau président.

Selon le journaliste de CNN spécialiste des médias Brian Stelter, des responsables ont expliqué, lors d'une réunion lundi, que le retrait ne signifiait pas nécessairement que les informations rapportées étaient fausses, mais «que l'article n'était pas assez étayé pour être publié en l'état».

Les trois journalistes démissionnaires sont des reporters chevronnés, à la réputation excellente. Alors au New York Times, Eric Lichtblau avait notamment reçu le prix Pulitzer en 2006.

C'est un coup dur pour CNN, qui avait annoncé en début d'année la création d'une équipe d'enquête, composée de ses meilleurs journalistes d'investigation et renforcée de plusieurs recrues.

Il s'agissait notamment de rivaliser avec le New York Times, le Washington Post et, dans une moindre mesure, Politico et le Wall Street Journal, qui ont tous renforcé leurs équipes d'investigation pour couvrir la nouvelle administration Trump.

Source:

Le 28 décembre 2016, Ben Swann, journaliste et présentateur de l’émission "Reality Check" diffusée sur la chaîne CBS 46, revient sur les propos qu'il a tenus au cours de son émission du 20 décembre et dans laquelle il évoque les trois mensonges principaux qui concernent la guerre en Syrie, et la bataille d'Alep

Ce journaliste de CBS a questionné le président Obama (en septembre 2012) sur le financement de l'opposition syrienne par les États-Unis et concernant le fait que cette organisation compterait des djihadistes d'Al-Qaïda: Obama dit partager cette inquiétude et précise qu'une aide non-létale qui respecte les droits de la personne est assurée par les États-Unis.

Et pourtant...

Les Etats-Unis ont commencé à fournir des armes et des équipements techniques aux rebelles syriens, affirme le Washington Post le 11 septembre 2013. Citant des sources américaines et syriennes, le quotidien américain a écrit que la CIA a commencé à livrer des cargaisons d'aide matérielle létale ces quinze derniers jours.

Le 12 octobre 2015, CNN annonce que les Etats-Unis fournissent 50 tonnes de munitions aux groupes rebelles de la Syrie.

Des officiers jordaniens auraient volé les armes de la CIA destinées aux rebelles syriens (ahahah!)
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2016/06/des-officiers-jordaniens-auraient-vole.html

Des rebelles syriens ont admis à un journaliste de l'Associated Press qu'ils étaient responsables de l'attaque chimique du 21 août
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2013/08/des-rebelles-syriens-ont-admis-un.html



Vidéo trouvée sur:
http://spread-the-truth777.blogspot.ca/2017/01/syrie-le-mythe-mediatique-des-rebelles.html

Moscou: CNN doit s’expliquer sur la «manipulation» des photos d’un garçon d’Alep, le petit Omran


Le père, le petit Omran et leur famille habitent toujours à Alep et soutiennent le gouvernement de Damas. Le père, lors d'une entrevue, a dénoncé le comportement des Casques blancs le jour de l'incident. Selon l'homme, le personnel de l'organisation était plus occupé à prendre en photo le garçon et à le filmer qu'à lui porter secours.


CNN figure parmi les médias qui ont contribué à la campagne de dénigrement du gouvernement syrien en publiant la photo d’un petit Syrien, Omran, qu’on a présenté comme un martyr ayant survécu aux «violences des troupes fidèles à Bachar el-Assad». Il s’est ensuite avéré qu’il s’agissait d’une intox. Moscou exhorte CNN à s’expliquer.

Le ministère russe des Affaires étrangères appelle la chaîne de télévision américaine CNN à expliquer «la manipulation de l'opinion publique» autour d'une photo d'un petit garçon syrien en état de choc du nom d'Omran Daqneesh, a annoncé jeudi la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.

«Nous avons envoyé mercredi une lettre officielle au bureau de la chaîne de télévision CNN rappelant les manipulations de l'opinion publique utilisées par l'analyste de la chaîne, Mme Amanpour, à la veille de la présidentielle américaine, lors d'une interview du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Nous considérons que la chaîne et l'analyste doivent réagir […]. Ils doivent s'expliquer», a indiqué Maria Zakharova.

Les photos d'Omran Daqneesh, dont le visage est couvert de poussière et de sang, ont été utilisées dans une campagne visant à ternir l'image des soldats des troupes gouvernementales syriennes. Des médias ont affirmé que le garçon avait été blessé lors d'un bombardement de la partie est d'Alep par l'aviation russe. L'analyste de CNN Christiane Amanpour a montré la photo lors de l'interview de Sergueï Lavrov en déclarant que les souffrances de l'enfant étaient «un crime contre l'humanité».

Lire la suite:

mercredi 28 juin 2017

Assad préparerait une attaque chimique, Washington menace de riposter (c'est exactement ça les "fake news"!)

* Article du très populaire média britannique Daily Mail, daté du 29 janvier 2013
qui a été supprimé dans les jours qui ont suivis.

"Plan soutenu par les États-Unis afin de lancer une attaque chimique 
en Syrie pour ensuite accuser Assad"




Le régime syrien de Bachar al-Assad préparerait une nouvelle attaque chimique, ont annoncé lundi soir les États-Unis, qui se sont dits prêts à riposter comme ils l'avaient fait après une attaque similaire début avril, dans un contexte de tensions grandissantes entre les deux pays.

«Les États-Unis ont identifié de potentiels préparatifs d'une autre attaque chimique par le régime syrien d'Assad qui pourrait provoquer le massacre de civils, y compris des enfants innocents», a écrit le porte-parole de la Maison Blanche Sean Spicer dans un communiqué.

Ces activités «sont similaires aux préparatifs du régime avant son attaque à l'arme chimique du 4 avril», a noté le représentant de l'exécutif américain.

Cette attaque avait provoqué une riposte militaire des États-Unis, qui avaient tiré 59 missiles contre une base aérienne en Syrie, marquant la première intervention armée de Washington contre le régime de Damas.

Si le président syrien lançait une autre attaque à l'arme chimique «lui et son armée paieraient le prix fort», a prévenu Sean Spicer.

L'attaque chimique présumée du 4 avril à Khan Cheikhoun, dans la province rebelle d'Idleb (nord-ouest) avait fait 88 morts, dont 31 enfants, provoquant l'indignation de nombreuses capitales qui mettent en cause le régime de Bachar al-Assad.

Ce raid était, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), la deuxième «attaque chimique» la plus meurtrière depuis le début du conflit en 2011 après celle au gaz sarin qui avait fait plus de 1400 morts dans la banlieue de Damas en 2013.

Damas et Moscou réfutent les accusations occidentales.

Le président américain Donald Trump avait fait part de son émotion après l'attaque du 4 avril notamment en raison du nombre élevé d'enfants tués.

Les États-Unis avaient riposté dans la nuit du 6 au 7 avril, en tirant 59 missiles de croisière Tomahawk depuis deux navires américains en Méditerranée vers la base aérienne d'Al-Chaayrate, près de Homs (centre).

Sean Spicer a tenu a rappeler dans son communiqué lundi que l'objectif des États-Unis en Syrie est uniquement de lutter contre le groupe État islamique et pas de lancer une guerre contre le régime d'Assad.

Les États-Unis sont officiellement présents en Syrie pour conseiller et pour armer les Forces démocratiques syriennes (FDS) qui luttent contre le groupe EI.

Mais cette mise en garde a lieu dans un contexte de poussée de fièvre entre le régime syrien et les forces soutenues par les États-Unis dans le pays, qui fait planer le spectre d'une confrontation militaire avec le régime de Damas.

Les États-Unis ont ainsi abattu le 18 juin un avion syrien dans l'est de la Syrie, expliquant que l'appareil menaçait des FDS alliées de la coalition.

Et à trois reprises au moins depuis le début mai dans la région d'Al-Tanaf, près de la frontière avec l'Irak et la Jordanie, les forces américaines ont bombardé des forces pro-régime qui menaçaient des soldats de la coalition.

Ces tensions ont par ricochet détérioré les relations avec la Russie, alliée du régime syrien, qui avait dénoncé comme un «acte d'agression» la destruction de l'avion syrien, reprochant à Washington de ne pas l'avoir prévenue.

Source:

mardi 27 juin 2017

Canada: Une sixième baleine mystérieusement morte dans le golfe du Saint-Laurent


Six carcasses de baleines noires de l'Atlantique Nord ont été trouvées jusqu'à présent en juin dans le golfe du Saint-Laurent, ce qui équivaut à plus de 1 % de la population de cette espèce menacée.

Les carcasses ont toutes été trouvées dans une zone entre l’île Miscou du Nouveau-Brunswick, les Île-de-la-Madeleine et la pointe nord de l’Île-du-Prince-Édouard.

Selon Tonya Wimmer, biologiste marine de l’organisme Marine Animal Response Society, c’est un événement presque sans précédent. Il n’y a pas eu d’incident auparavant impliquant un si grand nombre de baleines mortes en seulement quelques semaines, dit-elle.

L’espèce est aussi connue sous le nom de baleine franche de l’Atlantique Nord. Le ministère des Pêches et des Océans estime qu’il ne reste qu’environ 500 individus dans le monde.

La mort d’un seul de ces mammifères marins est une grande perte étant donné leur faible nombre, souligne Mme Wimmer.

Au moins deux baleines noires trouvées mortes récemment sont des femelles, ce qui est encore plus dévastateur pour l’espèce, car les femelles peuvent donner naissance de 5 à 10 fois durant leur vie, précise Tonya Wimmer.

Des morts mystérieuses

Il n’y a aucun signe visible sur les baleines en question qui permet d’expliquer de quoi elles sont mortes, ajoute Tonya Wimmer.

Le ministère essaie d’éclaircir les causes de la mort des baleines. Cathy Merriman, biologiste au ministère spécialiste des espèces menacées, affirme qu’on ne peut tirer aucune conclusion avant de faire une nécropsie.

Il faudrait donc remorquer l’une des carcasses jusqu’à la côte pour la dépecer. Les conditions ne se prêtaient pas à une telle opération jusqu’à présent.

En remorquant une carcasse, ajoute Marc LeCouffe, directeur des ressources au MPO, on court le risque qu’elle se désintègre et coule en cours de route.

Le ministère demande à toute personne qui apercevrait une baleine morte, blessée ou empêtrée dans de l’équipement de pêche de communiquer avec la Marine Animal Response Society au 1-866-567-6277.

Source:

lundi 26 juin 2017

ARGUS-IS : Une caméra qui peut filmer en détail jusqu'à 6 kilomètres de hauteur

* Cet article date de 2013... 

La DARPA, l'agence de recherche de la Défense américaine, a présenté l'ARGUS-IS, une caméra de 1,8 gigapixels pour drone qui permet de filmer avec précision jusqu'à 6.000 mètres de distance. Big Brother vous regarde… du ciel. 

Après les caméras de surveillance et les satellites, voici l'ARGUS-IS : un appareil qui dispose de l'une des résolutions les plus hautes du monde, mis au point par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) pour l'armée américaine. C'est la DARPA elle-même, qui a dévoilé les détails de son projet, lancé en 2007, dans une vidéo diffusée sur la chaîne TV PBS. L'ARGUS-IS (pour Autonomous Real-Time Ground Ubiquitous Surveillance Imaging System) est un module d'observation, qui, grâce à sa caméra de 1,8 gigapixels, permet de filmer avec précision le déplacement d'objets de plus de 15 centimètres depuis une distance de 6 kilomètres d'altitude. Monté sur un drone, piloté à distance ou automatique, l'ARGUS-IS peut couvrir une zone de 25 kilomètres carrés.

Pour mieux visualiser, le site américain ExtremeTech donne en exemple la ville de Manhattan, dont la surface entière pourrait être surveillée par deux drones dotés de la caméra ARGUS-IS. Celle-ci composée de 368 capteurs de 5 mégapixels, visant à travers un réseau de télescopes. Ces capteurs sont en réalité semblables à ceux utilisés dans les smartphones. Grâce à ce système, l'ARGUS-IS peut relever 600 Go de données par seconde, soit jusqu'à 5.000 heures de vidéos par jour (1 million de To). Persistics, un logiciel d'analyse pour traiter les données Le réel défi du projet est le stockage de ses données. Bien qu'une partie soit directement gérée à bord du drone, l'intégralité des informations ne peut techniquement pas transiter vers un poste terrestre. Ainsi, la DARPA a fait appel au Lawrence Livermore National Laboratory pour développer Persistics, un logiciel d'analyse permettant de cibler des éléments et d'en suivre la trace. Dans cette vidéo diffusée par la DARPA, un ingénieur effectue une démonstration du logiciel Persistics sur un ordinateur à écran tactile. Comme on peut le voir, il est possible de suivre avec précision 65 cibles dans 65 fenêtres différentes. 

Selon le site ExtremeTech, le but initial du projet ARGUS était de le déployer en Afghanistan, mais avec la fin de la guerre qui se dessine, son futur est incertain. La caméra 1,8 gigapixels devait être installée sur l'hélicoptère A160 Hummingbird de Boeing, mais l'armée a finalement annulé ce projet. Il est donc plus probable  de voir l'ARGUS-IS attaché à un drone Predator. Dans la mythologie grecque, Argos fait référence au gardien d'Io, un géant doté de mille yeux.

Source:
http://www.maxisciences.com/cam%E9ra/argus-is-une-camera-qui-peut-filmer-en-detail-jusqu-039-a-6-kilometres-de-hauteur_art28477.html

120 degrés Fahrenheit (50 Celsius) en Arizona: ça fond!






http://strangesounds.org/2017/06/arizona-heat-wave-everything-is-melting-down-pictures.html

Opération Popeye: une opération militaire menée par l'armée américaine au moyen d'arme climatologique durant la guerre du Viêt Nam

* C'est la première fois que je vois cette appellation pour les manipulations du climat lors de la guerre du Viêt Nam.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Popeye


La ville de San Jose (côte ouest américaine) commencera des pourparlers avec une société de technologie pour installer des appareils qui pourraient inclure des caméras de surveillance sur certains lampadaires de la ville et ce, malgré les préoccupations de certains fonctionnaires et groupes de protection de la vie privée

* Des lumières de rue utilisées pour faire de la surveillance civile: George Orwell n'y avait même pas pensé!

L'American Civil Liberties du Michigan expose l'utilisation de caméras de surveillance de la police dans les quartiers résidentiels

Le Département de Police de New York (NYPD) annonce son système "qui voit tout"

Le conseil de la ville a voté 7 contre 4 pour permettre à une ou des sociétés de technologie d'installer des dispositifs, sur 300 à 1000 lampadaires, qui permettront de faire de l'enregistrement audio et vidéo. Les dispositifs WiFi, des contrôleurs intelligents, pourront réduire les lumières, activer ou désactiver les caméras et les capteurs audio.

Traduction partielle de l'article trouvé sur:

Le gouvernement japonais a créé une publicité sur la télévision nationale qui conseille les civils sur la façon de se protéger en cas d'attaque de missiles nord-coréen

La nouvelle annonce du gouvernement de 30 secondes offre des conseils pratiques sur les moyens les plus efficaces de chercher une protection si un missile est tiré en direction du Japon en provenance de la Corée du Nord.

Il recommande que les résidents cherchent un abri dans des bâtiments solides ou souterrains, qu'ils se cachent derrière des objets et restent loin des fenêtres tout en protégeant leurs têtes.

Il confirme également qu'en cas d'attaque antimissile, le système d'alerte public J-Alert du gouvernement informera les membres du public par des locuteurs à travers le pays.

L'annonce est diffusée par 43 stations de télévision à travers le pays entre maintenant et début juillet, alors que des instructions écrites sont également publiées dans 70 journaux japonais, selon Kyodo News.

La décision du gouvernement de publier l'annonce de sécurité via les médias arrive au moment où les tensions augmentent constamment dans la région alors que la Corée du Nord à violé à plusieurs reprises les sanctions internationales avec des tests de missiles de plus en plus fréquents.

On pense que les tests font partie du programme du régime visant à développer un missile balistique intercontinental, sa technologie étant déjà suffisamment avancée pour atteindre la Corée du Sud et le Japon, tous deux à la base des bases militaires américaines.

Source:

jeudi 22 juin 2017

La Terre bientôt frôlée par un astéroïde de 300 mètres?

*ASTÉROÏDES : UN ASTROPHYSICIEN TIRE LA SONNETTE D’ALARME

Obama a signé un décret présidentiel (ordre exécutif) en date du 13 octobre 2016 concernant la "préparation de la nation" face à des phénomènes météorologiques extrêmes provenant de l'espace

Ce décret décrit les conséquences catastrophiques potentielles de la météo spatiale, comme les éruptions solaires et les tempêtes électromagnétiques qui peuvent avoir des effets désastreux sur les infrastructures essentielles. Il énumère une série de mesures qui doivent être prises par différentes agences pour observer ces menaces, pour les prévenir et pour intervenir en cas de défaillance du réseau électrique, des communications et de tous les systèmes qui, en cascade, pourraient être endommagés.

Un astéroïde de 300 mètres devrait bientôt passer près de notre planète, selon des chercheurs russes de l'Oural.

Le 24 juin, un astéroïde de la catégorie des potentiellement dangereux passera près de notre planète, ont annoncé des astrophysiciens de l'Oural.

«L'astéroïde se rapprochera dangereusement de la Terre, à 7h38 heure de Moscou (5h38 UTC)», ont déclaré les chercheurs de l'université de l'Oural.

Les experts ont établi que l'astéroïde de 300 mètres de diamètre passera à une distance de 3,036 millions de kilomètres à une vitesse de 45.648 km/h.

Le corps céleste a été découvert le 10 juillet 2010 grâce au télescope spatial infrarouge WISE mis en orbite par la NASA le 14 décembre 2009.

Les dimensions de l'astéroïde sont considérablement supérieures à celles de la météorite de Tcheliabinsk.

La météorite de Tcheliabinsk s'est désintégrée le 15 février 2013 au-dessus de l'Oural méridional et du nord du Kazakhstan. La masse initiale de la météorite était de 10.000 tonnes pour une taille de 17 mètres. Son explosion, qui s'est produite entre 30 et 50 km d'altitude, a fait plus de 1.500 blessés et a produit des dégâts dans les régions russes de Tioumen, de Kourgan, d'Ekaterinbourg et de Tcheliabinsk. Les ondes de choc dégagées par la chute de la météorite ont fait deux fois le tour de la Terre. Selon certaines sources, la puissance de l'explosion a atteint 460 kilotonnes d'équivalent TNT.

Source:

Un 6.8 au Guatemala

https://earthquake.usgs.gov/earthquakes/

dimanche 18 juin 2017

La coalition anti-Daech ferait usage de bombes au phosphore blanc à Raqqa et à Mossoul pour reconquérir ces deux villes aux mains de l'EI. De quoi s'agit-il?

* Je m'abstiens de publier des photos, elles sont horribles à regarder. Tapez "attaque phosphore blanc" et vous constaterez qu'il s'agit de brûlures plus que majeures!

Des vidéos montrant de tirs de munition au phosphore blanc ont été mises en ligne par les activistes de "Raqqa Is Being Slaughtered Silently (RBSS) " (Raqqa se fait massacrer en silence"), mais également par l'Aamaq, l'agence de presse de l'organisation Etat islamique (EI). Elles feraient partie de la panoplie d'armes employées pour déloger l'EI de Raqqa, son fief du nord-est de la Syrie. 

Qu'est le phosphore blanc, que la coalition anti-Daech est accusée d'utiliser? (,,,)

Le phosphore blanc est employé par les militaires à trois fins: les tirs d'altitude pour illuminer un champ de bataille nocturne grâce aux flammes éclairantes produites au contact de l'air. À plus basse altitude, il s'agit d'une arme incendiaire. Elle peut aussi être utilisée pour masquer les opérations de l'attaquant en raison de l'épaisse fumée qu'elle dégage.  

Mais son usage est très controversé car le produit "s'enflamme au contact de l'oxygène, et continue de brûler à une température pouvant atteindre 816 degrés", explique un rapport de Human Rights Watch (HRW). "Cette substance brûle jusqu'à ce qu'elle disparaisse en provoquant des brûlures du second ou du troisième degré (qui peuvent atteindre les os) sur toutes les parties exposées des personnes touchées par les particules", complète une synthèse du Groupe de recherche et d'information sur la paix et la sécurité (GRIP) en 2009.  

Le danger est par ailleurs persistant, les munitions laissant des résidus peuvent s'éteindre provisoirement puis se rallumer spontanément s'ils sont remis en contact avec l'air. "À Gaza, précise HRW, nous avons vu des gens mourir de façon tragique, car les médecins ne savaient pas que leurs brûlures avaient été causées par du phosphore blanc et n'ont donc pas pu leur apporter des soins adaptés."  

Les bombes au phosphore blanc ne sont pas considérées comme des armes chimiques, mais comme des armes incendiaires, à l'instar des bombes au napalm. Elles ne relèvent donc pas de la Convention sur les armes chimiques (CWC) mais en théorie du Protocole III de la Convention sur les armes classiques (CCWC), qui réglemente les armes incendiaires, signé par 114 pays dont les Etats européens, les Etats-Unis et la Russie. Il interdit l'utilisation d'armes incendiaires contre la population civile ainsi que le largage d'armes incendiaires contre des objectifs militaires situés à l'intérieur d'une concentration de civils. "La France et la Belgique, par exemple, n'utilisent plus de phosphore blanc", souligne Joseph Henrotin. 

Il existe toutefois une ambiguïté quant à l'usage du phosphore blanc: le protocole III ne considère pas comme incendiaires les armes ayant "des effets incendiaires fortuits", telles les munitions éclairantes et les fumigènes. Pour certains pays, cela serait le cas du phosphore blanc, ce que conteste le GRIP: "bien que les armes au phosphore blanc soient souvent utilisées pour l'illumination et l'écran de fumée qu'elles provoquent, insiste-t-il, on ne peut "prétendre dans leur cas que l'effet incendiaire est fortuit". 

Traduction partielle de l'article trouvé sur:
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/qu-est-le-phosphore-blanc-que-la-coalition-anti-daech-est-accusee-d-utiliser_1917060.html

Les attaques à la scopolamine, drogue qui "zombifie" la personne intoxiquée, sont en hausse à Bogotá en Colombie

* Emilio, connais-tu cette plante et est-elle répandue en Colombie?

La scopolamine, drogue qui prive le sujet intoxiqué de son libre-arbitre et de sa capacité à discerner le bien du mal, a été approuvée par la FDA pour le développement d'injection et de timbre dermique
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2015/07/la-scopolamine-drogue-qui-prive-le.html

La Scopolamine: une drogue appelée "Le souffle du diable" qui est reconnue comme étant la plus inquiétante de toutes puisqu'elle brise complètement la volonté de la personne droguée

La police nationale de la Colombie a révélé que les attaques à la  scopolamine à Bogotá ont augmentées tant localement que sur les touristes. Cette dangereuse drogue agit en quelques secondes, elle prive la personne de son libre-arbitre, permettant à un abuseur ou à un criminel de prendre le contrôle de ses actions, de ses avoirs, et ne lui laisse aucun souvenir de ce qui s'est passé.

Connue en Colombie comme «burundanga», la scopolamine est extraite de l'arbuste de Brugmansia, répandue dans les hauts plateaux andins et reconnaissable pour ses fleurs en forme de cloche jaune ou de blanche. Dans les mains des criminels, cette poudre fine inodore peut être  mélangée à une boisson ou tout simplement soufflée sur votre visage. Si vous avez été ciblé, vous devenez étourdi et confus, au point où vous obéissez aux instructions de votre assaillant sans aucune résistance.

Selon la police, 961 cas de burundanga ont été déclarés à Bogotá jusqu'à présent cette année, soit une augmentation de 20% par rapport à la même période l'an dernier.

Source:

Les États-Unis abattent un premier avion syrien

* Disons que ce dimanche pourrait être un jour marquant et tournant...

Un avion de l'armée syrienne a été abattu dimanche par la coalition internationale dirigée par Washington dans la province de Raqa (nord), où des affrontements inédits ont opposé les troupes gouvernementales aux Forces démocratiques syriennes (FDS, antijihadistes), soutenues par les Etats-Unis.

L'incident, rapporté par l'armée syrienne et confirmé par Washington, constitue une escalade alors que les troupes syriennes se trouvent à la lisière de zones de contrôle de forces soutenues par les Américains dans le nord et le sud de la Syrie.

Après avoir largement avancé dans le nord, notamment avec la conquête d'Alep, le régime syrien progresse depuis mai dans le centre et le sud du pays, et se dirige dorénavant vers l'est.

Il a chassé le groupe Etat islamique (EI) de plusieurs zones dans la Badiya (désert) et atteint le 9 juin la frontière irakienne, encerclant quasiment des rebelles soutenus par Washington et basés au poste-frontière d'Al-Tanaf.

Inquiets, les Etats-Unis ont déployé dans la foulée des batteries de lance-roquettes multiples.

La tension est encore montée d'un cran avec l'annonce dimanche par l'Iran de tirs de missiles de moyenne portée contre "des bases terroristes" dans la région de Deir Ezzor, essentiellement contrôlée par l'EI dans l'est de la Syrie. Il s'agit selon les médias iraniens des premiers tirs en 30 ans --depuis la guerre Iran-Irak (1980-88)-- de missiles de l'Iran hors de son territoire.

'Légitime défense'

"L'aviation de la coalition internationale a visé cet après-midi un de nos avions de combat dans la région de Resafa, dans le sud de la province de Raqa, alors qu'il menait une mission contre le groupe terroriste Etat islamique", a indiqué l'armée syrienne, précisant que "l'avion a été abattu et le pilote porté disparu".

"Le commandement général de l'armée met en garde contre les graves conséquences de cette agression flagrante sur les efforts visant à lutter contre le terrorisme", a-t-elle ajouté.

Washington a confirmé avoir abattu un avion syrien, affirmant que ce dernier avait tiré sur des combattants soutenus par les Etats-Unis, au sud-ouest de Raqa.

"A 18H43, un avion syrien de type SU-22 a largué des bombes près de combattants soutenus par la coalition au sud de Tabqa, et en vertu de nos règles d'engagement et de la légitime défense qui prévaut au sein de la coalition (anti-EI), il a été immédiatement abattu par un avion américain F/A-18E Super Hornet", a affirmé le commandement de la coalition dans un communiqué.

L'armée syrienne avait progressé ces dernières heures dans cette région et était arrivée aux portes de Resafa, à une quarantaine de km au sud-ouest de la ville de Raqa, principal fief de l'EI en Syrie.

Mais l'objectif du régime n'est pas Raqa, que tentent de capturer les FDS, alliance de combattants kurdes et arabes anti-EI.

"Le régime veut à travers la province de Raqa parvenir à la province pétrolière de Deir Ezzor", plus à l'est, a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.

"Le régime (...) ne veut pas que les forces soutenues par les Américains avancent plus au sud de Raqa", a-t-il ajouté, faisant état d'affrontements tard en soirée entre l'armée et les FDS dans deux villages, à une quarantaine de km au sud de la ville de Raqa. C'est la première fois que les deux forces rivales s'affrontent.

Tirs de missiles iraniens

Les FDS sont entrées le 6 juin à Raqa, se sont depuis emparées d'une poignée de quartiers et s'apprêtent à y lancer la bataille cruciale du centre-ville.

La guerre en Syrie, qui a fait 320 000 morts en six ans, s'est transformée en un conflit très complexe avec la montée des jihadistes et l'implication de puissances régionales et internationales.

Engagé aux côtés du régime, l'Iran a pour sa part annoncé des tirs de missiles de moyenne portée contre des cibles "terroristes" en Syrie.

L'annonce a été faite par les Gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, selon qui les tirs ont été effectués dimanche depuis l'ouest de l'Iran contre "des bases de terroristes" dans la région de Deir Ezzor, en représailles au double attentat du 7 juin qui a fait 17 morts à Téhéran et a été revendiqué par l'EI.

Les médias iraniens ont fait état de six missiles.

Après le double attentat, les Gardiens avaient affirmé qu'ils "vengeraient le sang versé des innocents".

Dans leur communiqué, les Gardiens de la révolution ont lancé dimanche une mise en garde aux "terroristes et leurs protecteurs dans la région et hors de la région".

"En cas de répétition de ces attaques sataniques contre le peuple iranien, ils devront s'attendre à la colère révolutionnaire et les flammes de la vengeance", préviennent-ils.

Les autorités iraniennes ont accusé l'Arabie saoudite mais aussi les Etats-Unis de soutenir les groupes jihadistes qui agissent contre l'Iran.

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