mercredi 31 octobre 2018

Reportage de Fox News: Des autobus offrent du transport aux migrants sur la route du Mexique vers les États-Unis

* Qui financent ces transports par autobus? Le gouvernement mexicain qui veut voir partir ces "bouches à nourrir", des groupes d'intérêt voulant faire pression sur Donald Trump en créant un "coup d'éclat" humanitaire et ce, dans l'intention de semer un état de chaos pour "forcer" le président à prendre des décisions obligées qui seront dénoncées par les démocrates et même, par l'ONU?

L'arrivée de la première caravane à la frontière américaine pourrait arriver bien plus tôt que prévu si des transports par autobus sont assurés au cours des prochains jours. Il semble que 3 autres caravanes de migrants sont en route vers les États-Unis, dont une deuxième qui vient d'entrer aux Mexique, et cette migration de population risque de prendre de l'ampleur jusqu'au point de rupture... 


lundi 29 octobre 2018

L'armée américaine disposera d’une force réelle pouvant aller jusqu’à 14 000 hommes, prête à intervenir à la frontière méridionale avec le Mexique, y compris le déploiement prévu de 7 000 personnes supplémentaires dans des réserves en disponibilité 24 heures sur 24


https://www.newsweek.com/migrant-caravan-us-military-troops-mexico-border-armed-1192578?fbclid=IwAR2bIfIO2C5CegzgXxr4v31Ke9WXlIdaD6z1-EJMggGUF3VM20lsrfV2rNE

Trump envoie 5000 soldats à la frontière mexicaine pour stopper la caravane + 2100 membres de la Garde nationale qui y sont déjà mobilisés: rien de moins!

* Trump sait de ses services de renseignement que parmi ces groupes de migrants se dissimulent des membres de groupes criminalisés, des narcotrafiquants, des soldats djihadistes et des individus qui portent en eux une rage contre les États-Unis et l'Occident. Les démocrates et les médias accusent déjà Trump de se coller aux idées des "suprémacistes blancs" puisqu'il ose parler d'une "invasion", mot utilisé, disent-ils, par ces "terroristes domestiques". Les prochains jours et prochaines semaines pourraient être tristement historiques...

Mexique: la "caravane" de migrants fait une pause, des heurts à la frontière


Répondant aux demandes de Donald Trump, l'armée américaine a annoncé lundi l'envoi de plus de 5000 militaires à la frontière mexicaine pour bloquer l'entrée sur le territoire d'une caravane de migrants centraméricains fuyant la violence et la misère dans leurs pays.

«D'ici à la fin de la semaine, nous allons déployer plus de 5200 soldats à la frontière sud-ouest» qui s'ajouteront aux quelque 2.100 membres de la Garde nationale déjà mobilisés, a affirmé lors d'une conférence de presse le général Terrence O'Shaughnessy.

«C'est seulement le début de cette opération», a ajouté le commandant de la zone militaire nord-américaine, en confirmant un chiffre bien plus élevé que les 800 évoqués la semaine dernière.

Cette opération, baptisée «Patriote fidèle», doit permettre de renforcer les postes-frontières du Texas à la Californie et apporter un soutien logistique aux agents du service des douanes et de la protection des frontières (CBP) sur d'autres zones moins bien protégées.

«La sécurité aux frontières est une affaire de sécurité nationale et l'armée américaine va améliorer les capacités du CBP à renforcer la frontière», a assuré le général O'Shaughnessy.

«Nous ne permettrons pas à un large groupe d'entrer aux États-Unis d'une façon dangereuse et illégale», a pour sa part assuré Kevin McAleenan, le patron du CPB.

«En ce moment, des dizaines de milliers de migrants entre les frontières du Guatemala et des États-Unis font mouvement vers nous», a-t-il dit, estimant la taille des deux principaux groupes à 3500 et 3000 personnes.

Le président américain a répété ces dernières semaines que des troupes supplémentaires étaient nécessaires à la frontière américano-mexicaine, se servant de cette caravane pour défendre sa politique anti-immigration dans la perspective des élections législatives du 6 novembre, qui pourraient être favorables à ses opposants démocrates.

«De nombreux membres de gangs et de très mauvaises personnes se sont mélangés à la caravane qui se dirige vers notre frontière sud», a tweeté le président américain lundi matin, réitérant des affirmations non étayées déjà tenues la semaine dernière.

«S'il vous plaît, faites demi-tour, vous ne serez pas autorisés à entrer aux États-Unis, à moins de suivre la procédure légale», a-t-il ajouté.

«C'est une invasion de notre pays et notre armée vous attend», a prévenu le milliardaire républicain qui devrait tenir onze meetings de campagne d'ici le scrutin, selon une source ayant connaissance des projets du président.

En avril, face à la progression d'une autre caravane de migrants, il avait ordonné l'envoi d'un maximum de 4000 membres de la Garde nationale. Environ 2.100 ont été déployés.

L'ACLU, la puissante organisation de défense des libertés civiques, a dénoncé la volonté de M. Trump de «forcer l'armée à promouvoir son programme anti-immigration et de division».

«L'envoi de forces militaires à la frontière Sud-Sst un énorme gaspillage de l'argent des contribuables et une action qui va terroriser et militariser les communautés vivant à la frontière», a affirmé, Shaw Drake, conseiller de l'ACLU à El Paso (Texas).

Les autorités mexicaines ont indiqué avoir reçu 1743 demandes d'asile depuis l'entrée de la caravane de 7000 personnes, pour la plupart honduriennes, sur le sol mexicain. Elle a pris le départ du Honduras le 13 octobre.

Ces milliers de personnes ont fait une pause dimanche à Tapanatepec, dans l'État d'Oaxaca, et sont repartis lundi matin en direction de Mexico pour ensuite rejoindre la frontière.

Selon l'ONG Pueblos Sin Fronteras, qui voyage avec les migrants, la caravane ne comptait plus dimanche que 4.000 personnes, certaines ayant décidé de s'arrêter en route ou ayant préféré retourner en Amérique centrale.

Plus au Sud, sur le pont frontalier, les autorités mexicaines ont bloqué l'entrée de milliers de Honduriens depuis le Guatemala.

Le Mexique a déployé des policiers antiémeutes et la Marine empêche les migrants de traverser le fleuve Suchiate comme l'avaient fait ceux de la caravane en route vers les États-Unis.

Dimanche, un Hondurien est décédé après avoir été touché par un projectile, alors que les migrants tentaient de forcer le passage.

Source:

Un 6.3 à Drake Passage (sous l'Amérique du Sud)

http://quakes.globalincidentmap.com/

dimanche 28 octobre 2018

Un 6.1 au El Salvador

http://quakes.globalincidentmap.com/

Qu'est-ce qu'un "false flag" (attaque sous faux pavillon)

Ce film d'Hollywood, un véritable chef d'oeuvre, présente ce qu'est un "false flag" et à quel point les "hommes d'influence" ont recours aux manigances les plus farfelues pour nous faire croire n'importe quoi!

Wikipedia définit "false flags" comme des opérations secrètes destinées à tromper le public de telle manière que les opérations apparaissent comme si elles sont menées par d'autres entités. Les "false flags" sont de gros mensonges, une déformation grossière et délibérée de la vérité utilisée comme tactique de propagande. Le 11 septembre 2001 est l'exemple parfait d'un "false flag": une attaque perpétrée par un ennemi à la liberté et à la sécurité de la population, ce qui justifie une guerre au terrorisme et qui permet la création de faux conflits géopolitiques.

Un "false flag" est une opération ou événement majeur, sous fausse bannière (souvent, une attaque terroriste). Tandis qu’en réalité, il s’agit d’un terrorisme d’état insidieux qui, par l’éventuel intermédiaire de groupuscules dit terroristes (mais en réalité totalement sous le contrôle des centres de renseignements), déclenche une opération d’envergure contre une population ciblée. Un ennemi (réel ou virtuel) est alors désigné pour en endosser la totale responsabilité.

Quasiment au même moment les médias, tout à coup devenus clairvoyants, diffusent tous les éléments qui permettent d’en rejeter la faute sur ce bouc émissaire et souvent, après une intense propagande préparatoire les semaines ou les mois qui précèdent. Tout ceci ayant pour but de faire accepter des décisions impopulaires majeures (restriction des libertés, dépenses de guerre, etc.) à une opinion publique sous le choc, maintenue sous la pression de la conformité par les médias de masse et qui, dans d’autres circonstances, ne les aurait évidemment pas acceptées, du moins avec autant de facilité. 

L’histoire nous rappelle que la pratique est fréquente et surtout décisive car elle permet de faire progresser d’un bond un agenda qui échappe à la conscience de la population maintenue sous hypnose médiatique. La population est dans un tel traumatisme qu’elle donne bien volontiers un chèque en blanc aux vrais responsables de l’opération qui peuvent ensuite réduire encore plus les libertés individuelles au nom de la sacro-sainte sécurité, sinon de prendre le contrôle d’un appareil d’état ou encore de déclencher une guerre (préventive, par exemple)…

Petits déjà, les enfants mangeaient leur soupe à coup de bouchées: une pour maman, une pour papa. Maintenant, ils sont devenus grands, mais ils continuent d’avaler des lois liberticides au nom de la sécurité intérieure, de recevoir des vaccins au nom de la sécurité sanitaire, de croire à des guerres préventives comme seul remède au mal qui ronge, le démantèlement des acquis sociaux au nom de la sécurité de l’emploi et bientôt pourquoi pas la restriction d’internet au nom du cyber-terrorisme? 


Extrait du livre 1984

- Comment un homme s'assure-t-il de son pouvoir sur un autre, Winston?

Winston réfléchit:

- En le faisant souffrir répondit-il.

- Exactement. En le faisant souffrir. L'obéissance ne suffit pas. Comment, s'il ne souffre pas, peut-on être certain qu'il, non à sa volonté, mais à la vôtre? Le pouvoir est d'infliger des souffrances et des humiliations. Le pouvoir est de déchirer l'esprit humain en morceaux que l'on rassemble ensuite sous de nouvelles formes que l'on a choisies. Commencez-vous à voir quelle sorte de monde nous créons? C'est exactement l'opposé des stupides utopies hédonistes qu'avaient imaginées les anciens réformateurs. Un monde de crainte, de trahison, de tourment. Un monde d'écraseurs et d'écrasés, un monde qui, au fur et à mesure qu'il s'affinera, deviendra plus impitoyable. Le progrès dans notre monde sera le progrès vers plus de souffrance. L'ancienne civilisation prétendait être fondée sur l'amour et la justice, la nôtre est fondée sur la haine.. Dans notre monde, il n'y aura pas d'autres émotions que la crainte, la rage, le triomphe et l'humiliation. Nous détruirons tout le reste, tout. 

(1984, George Orwell, p 376)

Le récit des attentats aux colis piégés, dont Cesar Sayoc est le présumé terroriste, est parsemé d'un nombre incalculable d'incohérences qui ne laisse aucun doute que c'est une opération "false flag"


Plus je lis les informations publiées sur des blogs américains au cours des dernières heures par des personnes qui ont sauvegardé le contenu des comptes des réseaux sociaux appartenant à Cesar Sayoc avant qu'ils ne soient supprimés par les autorités, et plus j'ai la certitude que non seulement tout ce récit est un évident "false flag", mais que le scénariste est vraiment mauvais! Mauvais parce que des erreurs stupides ont été commises dans le scénario, mais je dois dire que je n'arrive absolument pas à saisir qui est vraiment derrière le personnage de Cesar Sayoc, alias Cesar Altieri Randazzo et Cesar Anthony Altieri:  il est présenté le plus souvent (par les médias et selon ses multiples traces sur les réseaux sociaux) comme un homme immature, ayant un faible QI, vivant dans sa camionnette depuis quelques mois, s'adonnant au culturisme, abusant des stéroïdes, ayant une passion pour les sports de combat, travaillant dans un bar de danseurs érotiques comme "portier". 

Son ancien avocat a déclaré, en direct sur CNN, propos qui n'ont jamais été rediffusés, qu'il ne croyait pas que son ancien client avait la capacité intellectuelle de monter un tel complot, qu'il avait été aidé et encouragé à monter cette affaire. On sait qu'il a eu des démêlés avec la justice dans le passé, qu'il a été directeur de compagnies légalement enregistrées, que sa camionnette était placardée d'autocollants de Trump, de démocrates avec des cibles sur le visage et d'au moins un portrait de lui présentant fièrement ses gros bras. Il participait à des rassemblements pro-Trump et il faisait l'éloge du président américain sur les réseaux sociaux. Ses publications renforcent l'idée qu'il avait un faible QI et qu'il avait des troubles émotifs, voulant constamment impressionner les autres.

Voici, en vrac, quelques nouveaux détails trouvés un peu partout sur le web que j'estime particulièrement intéressants et qui forment, bout à bout, ce qui semble être un vaste complot dans lequel trop d'erreurs ont été commises pour que le "crime soit parfait". 

- Le New York Times a déclaré que le colis piégé envoyé à Mme Clinton a été retrouvé mardi soir par un employé des services secrets qui a examiné le courrier pour elle et qui l'a intercepté, mais aucun envoi n'est acheminé directement aux domiciles de personnes protégées par les services secrets. Le courrier est envoyé dans un centre où tout est filtré et inspecté minutieusement par les services secrets:
https://www.bna.com/expresidents-mail-secret-n57982093229/

- Les timbres n'ont pas été oblitérés et en plus, le nombre de timbres ne couvrait pas les frais de livraison du colis avec à l'intérieur l'engin explosif. Ces détails font qu'il est impossible que les enquêteurs puissent avoir relié les colis à l'expéditeur et que l'expéditeur puisse avoir expédié ses colis! Ces incohérences sont d'ailleurs soulevées par CNN:

- Autre information pour le moins bizarroïde et qui soulève bien des questions. Voici une capture d'écran qui a été faite avant que le profil Facebook de Cesar Sayoc ne soit supprimé. Notez qu'il porte ces 3 noms sur les différentes plate-formes qu'il utilisait sur le web:
Cesar Sayoc 
Cesar Altieri Randazzo
Cesar Anthony Altieri (Altieri est le nom de jeune fille de sa mère)

La traduction n'est pas claire pour moi, n'étant pas parfaitement bilingue, mais ça pourrait ressembler à ceci:

"J'aimerais souhaiter à mon bon ami de l'école de l'Académie militaire, [il a fréquenté cette école avec lui pendant 9 ans], un bon anniversaire et une bonne carrière à la CIA. Félicitations pour ton invention et beaucoup de succès à toi mon frère".

On reconnaît Cesar Sayoc sur la photo du centre avec la chemine violet. Cette publication sur un de ses comptes Facebook semble être une photo prise d'un collage de photos.
Difficile de tirer des conclusions définitives parce que le scénariste, malgré plusieurs erreurs commises, a le mérite d'avoir semé des informations tellement contradictoires qu'il est impossible de coller les morceaux dans un ensemble cohérent. Quoiqu'il en soit, c'est forcément une opération sous fausse bannière qui a pour objectif de diaboliser Donald Trump et les électeurs républicains. 

Ce "faux attentat", ajouté à l'attaque meurtrière de la synagogue faisant 11 morts en moins d'une semaine, et il reste 9 jours avant les élections de mi-mandat. Quelle sera la suite? Ça devient épeurant tout ça et ce, peu importe qui agite le "faux drapeau"...


samedi 27 octobre 2018

Au moins huit personnes ont été tuées dans une fusillade dans une synagogue de Pittsburgh, en Pennsylvanie, par un tireur antisémite qui se disait convaincu que Donald Trump est contrôlé par les Juifs

L'horreur en plein chabbat. Au moins huit personnes ont été tuées ce samedi 27 octobre dans la plus vieille synagogue de Pittsburgh, en Pennsylvanie, ont rapporté plusieurs médias américains. L'attaque a eu lieu dans le quartier de Squirrel Hill, centre historique de la communauté juive de cette ville du nord-est des Etats-Unis.

Quand le tireur est entré dans le bâtîment, une cérémonie de circoncision d'un bébé était en cours, selon NBC. Après avoir ouvert le feu, le tireur a lui-même été blessé lors d'une fusillade avec les policiers et a fini par se rendre, a indiqué le porte-parole de la police locale à plusieurs médias américains. 

"Le suspect de la fusillade est en garde à vue. Nous avons de nombreuses victimes à l'intérieur de la synagogue, il y a trois officiers qui ont été touchés", a-t-il déclaré.

Le tireur a pu être identifié. Il s'agit de Robert Bower, un suprémaciste blanc de 46 ans, se revendiquant ouvertement antisémite sur les réseaux sociaux.

En entrant dans la synagogue, il aurait crié "tous les juifs doivent mourir", selon plusieurs témoignages. Pour son massacre, il a utilisé un fusil d'assaut AR-15, l'un des plus vendus aux Etats-Unis, qu'on retrouve dans la plupart des tueries américaines. Selon des journalistes locaux, il était également équipé de plusieurs armes de poing. 

Trump souhaite la peine de mort

Dans des messages postés sur #GAB, réseau social prisé des militants l'extrême droite, Robert Bower disait détester le président américain. Il se disait aussi convaincu que "Donald Trump est contrôlé par les juifs". 

"Mon cœur se brise devant les nouvelles de Pittsburgh. La violence doit cesser. Que Dieu bénisse, guide et unifie les États-Unis d'Amérique", a posté sur Twitter la première dame Melania Trump.

"C'est franchement une chose terrible, terrible ce qu'il se passe avec la haine dans notre pays et partout dans le monde", a déclaré de son côté Donald Trump, annonçant que le bilan sera "plus dévastateur" que prévu.

Le président américain a également souhaité renforcer la législation sur la peine de mort. "Quand des gens font ce genre de chose, ils devraient se voir infliger la peine capitale", a-t-il dit. Interrogé sur la violence par armes à feu dans un pays régulièrement endeuillé par les fusillades, il a une nouvelle fois estimé qu'un garde armé aurait pu stopper le tireur :

"C'est un exemple où s'il y avait eu un garde armé à l'intérieur, ils auraient peut-être pu être en mesure de l'arrêter immédiatement."

Source:

vendredi 26 octobre 2018

Vidéo de Cesar Sayoc qui était publiée sur son profil Facebook, désormais supprimé


Voici un aperçu de son compte Twitter avant qu'il ne soit supprimé: on peut saisir, par la description sur son profil, ce que son ancien avocat voulait dire en affirmant qu'il avait le raisonnement d'un ado de 14 ans, qu'il avait des troubles mentaux et ce, parce qu'il voulait constamment prouver aux autres, et aux filles, qu'il était bon et merveilleux.
https://pbs.twimg.com/media/Dqc7mHeWoAEjyKW.jpg

L'avocat déclare ici dans les médias à quel point Sayoc vivait dans une bulle, dans un monde de fantaisie:
https://www.youtube.com/watch?v=GM5-5tomujU

Trouvez l'erreur...







Selon l'ancien avocat du présumé poseur de bombes Cesar Sayoc, son ancien client n'a pas la capacité intellectuelle de fabriquer de tels engins explosifs, affirmant qu'il a un faible QI

Il a déclaré sur CNN il y a quelques minutes:

https://www.youtube.com/watch?time_continue=1320&v=BKtq4kxELnM

Ron Lowy, qui a déjà défendu Cesar Sayoc dans le passé et qui est aujourd'hui l'avocat de sa mère et de sa soeur, déclare que Cesar n'a jamais eu d'intérêt pour la politique et que sa mère lui a confirmé ce fait cet après-midi en ajoutant qu'il n'a même jamais été voter! La mère de Sayoc, affirme l'avocat, est une démocrate. (à partir de 16:30)

Il dit que Sayoc est un ado de 14 ans immature dans le corps d'un homme qui tapissait son camion d'affiches d'Amérindiens et qu'il lui avait même montré des collages d'images de lutteurs et de culturistes lorsqu'il a eu à le défendre dans le passé. Il ajoute qu'il a reconnu rapidement en cet homme un faible QI et des troubles de santé mentale évidents.

Et l'avocat déclare ceci à Anderson Cooper:

"Il n'a jamais semblé assez intelligent pour faire la chose dont il est accusée. Je ne serais pas surpris de découvrir que d'autres personnes l'ont aidé, l'ont poussé et encouragé à le faire, ou que les bombes ont été si grossièrement fabriquées qu'elles n'auraient jamais pu fonctionner. Parce que, à mon avis, il ne semble pas avoir la capacité intellectuelle de planifier un complot comme celui-ci." (à partir de 21:40)

Première semaine de légalisation du cannabis au Canada: les commerces de vente sont en rupture de stock les obligeant à fermer les lundi, mardi et mercredi!!!

* Bravo monsieur le premier ministre, nous sommes aux premiers jours de légalisation du pot et déjà, il n'y a plus de cannabis à fumer dans vos commerces légaux! Et vous assurez la gestion du portefeuille du pays? Les consommateurs vont s'approvisionner où vous pensez au cours des prochains jours et prochaines semaines? Bien sûr, ils vont retourner voir leur "pusher du coin", généreusement approvisionné par le crime organisé dont les membres doivent être en train de se bidonner dans la boucane de leur propre stock illégal, mais abondant! 

Pensez-vous que les consommateurs vont s'emmerder à encore risquer de ne pas trouver les produits qu'ils recherchent au cours des prochaines semaines? Ils vont retourner au plus simple, au plus rapide et à l'équivalent: le marché noir! C'est un flop total et je me bidonne, mais sans la boucane!


La Société québécoise du cannabis (SQDC) annonce qu’elle révise les heures d’ouverture de ses 12 magasins au Québec, en raison d’importantes ruptures de stock.

À compter de lundi, les succursales de la SQDC ne seront ouvertes que du jeudi au dimanche: de 10 h à 21 h jeudi et vendredi, et 10 h à 17 h samedi et dimanche.

Les succursales seront donc fermées le lundi, le mardi et le mercredi, et ce, jusqu’à ce que les produits puissent être offerts de nouveau.

Malgré la révision des heures d’ouverture du réseau de succursales, le site transactionnel de la SQDC demeurera opérationnel en tout temps.

En moyenne, une trentaine de produits sont offerts sur le web. On estime que les délais de livraison sont de deux à cinq jours.

Éviter les déplacements inutiles

Selon la direction de la SQDC, cette décision permettra de mieux répondre aux clients et de leur éviter des déplacements inutiles.

«Il est toutefois important de mentionner que cette décision n’élimine pas la possibilité de ruptures de stock en magasin, puisque les défis de production rencontrés par les producteurs demeurent», précise la société d’État.

La SQDC juge que cette décision permettra de regrouper les livraisons et d’atteindre une plus grande efficacité opérationnelle, en plus «d’améliorer l’expérience client».

La SQDC rappelle que ses fournisseurs ont «un travail colossal à faire pour respecter leurs engagements».

Encore des mois de pénurie

Selon les fournisseurs de la SQDC, la pénurie de stock, dans les succursales du monopole d'État, pourrait s'étirer sur plusieurs mois.

«On fait de notre mieux pour répondre à la demande, mais on anticipe des pénuries pour encore quelques mois», a indiqué jeudi le porte-parole au Québec du producteur Canopy Growth, Adam Greenblatt.

Ce dernier explique que les plus gros producteurs de cannabis au pays avaient prévenu la direction de la SQDC qu’ils seraient incapables de répondre à la forte demande.

«Tout le monde le savait, qu’il allait y avoir une pénurie de cannabis. On avait informé les gens de la SQDC. Notre PDG l’a dit également», a précisé le porte-parole de Canopy Growth.

Plusieurs analystes avaient également prédit des ruptures de stock de cannabis partout au pays dès les premiers jours de la légalisation.

Selon l’Institut C.D. Howe, la production de cannabis au pays ne pourra répondre qu’à 38 % de la demande au cours des 12 prochains mois.

Source;

Les autorités américaines ont confirmé vendredi avoir arrêté un suspect en Floride dans l'enquête sur les colis suspects visant des personnalités démocrates et hostiles au président, un sympathisant pro-Trump aux nombreux antécédents judiciaires


Le ministre de la Justice, Jeff Sessions, a confirmé que l'homme arrêté quelques heures plus tôt dans la région de Fort Lauderdale, en Floride, se nommait Cesar Sayoc, et qu'il avait été inculpé de cinq chefs d'accusations fédéraux, y compris l'envoi illégal d'explosifs, qui lui font risquer jusqu'à 48 ans de prison.

Il a été identifié grâce à ses empreintes digitales, retrouvées sur au moins un des paquets, a précisé le directeur du FBI Christopher Wray.  

Treize engins explosifs - composés de bouts de tuyaux en PVC, de fils électriques, de piles et d'un réveil - ont été au total envoyés à travers les États-Unis.  

« Il se pourrait qu'il y ait d'autres paquets », a ajouté M. Wray.

Les autorités n'ont cependant confirmé aucune des informations qui ont émergé ces dernières heures, à savoir que Cesar Sayoc, 56 ans, avait de nombreux antécédents judiciaires, et qu'il avait notamment proféré des menaces d'explosions à la bombe en 2002, qui lui auraient valu un an de liberté surveillée.

Autocollants pro-Trump

Alors que cette affaire a tendu le climat en pleine campagne pour les législatives américaines du 6 novembre, le directeur du FBI a également refusé d'évoquer les possibles motivations du suspect.

Les autorités ont saisi sa camionnette et les médias américains ont montré des images du véhicule recouvert d'autocollants pro-Trump.

« Il est trop tôt à ce stade pour discuter des motivations dans cette affaire », a déclaré M. Wray. « Nous nous préoccupons de tous les gens qui commettent des actes de violence, quelles que soient leurs motivations ».

Le président Donald Trump avait lui aussi refusé d'évoquer toute motivation politique, annonçant cette arrestation un peu plus tôt en ouverture d'une réception à la Maison-Blanche retransmise à la télévision.

Il avait simplement salué « le travail incroyable » de la police fédérale (FBI) et dénoncé des « actes de terreur ignobles ».

« Nous ne pouvons laisser la violence politique prendre racine en Amérique », avait-il ajouté. « Les Américains doivent s'unir et montrer au monde que nous sommes unis, dans la paix, l'amour et l'harmonie ».

S'il se confirme que le suspect était un partisan de Donald Trump, cela risquerait d'attiser encore davantage des tensions déjà très vives à l'approche des élection de mi-mandat, déterminantes pour la suite de la présidence du milliardaire. 

Deux nouveaux paquets vendredi

L'arrestation est survenue vendredi juste après la confirmation par la police de l'interception de deux colis suspects supplémentaires en tous points similaires aux dix déjà retrouvés entre lundi et jeudi, contenant des engins qualifiés de potentiellement explosifs.

Les paquets portaient notamment tous la même adresse d'expédition : celle d'une élue démocrate de Floride, Debbie Wasserman Schultz, dont la circonscription inclut le lieu de résidence du suspect.

L'un a été retrouvé en Floride, destiné au sénateur démocrate Cory Booker, l'autre a été intercepté dans un bureau de poste de Manhattan, adressé à CNN à l'attention de l'ex-directeur des renseignements James Clapper.

MM. Clapper et Booker, cité comme un candidat possible à la présidentielle américaine de 2020, sont tous deux très critiques du président américain.

Ils s'ajoutaient à une liste de personnalités sur laquelle figuraient déjà le financier George Soros, l'ex-président Barack Obama, son ex-vice-président Joe Biden, l'ex-secrétaire d'État et rivale malheureuse de Donald Trump à la présidentielle de 2016 Hillary Clinton, l'acteur Robert De Niro, l'ex-ministre de la Justice de Barack Obama Eric Holder et les élues démocrates californiennes Maxine Waters et Kamala Harris.

« Mauvais pour la dynamique »

Si lors de son allocution vendredi M. Trump a appelé à l'unité, il n'a cessé depuis mercredi de souffler le chaud et le froid sur cette histoire.

Après l'annonce des deux nouveaux paquets du jour, il a d'abord déploré que toute cette histoire puisse nuire à ses candidats à 11 jours des législatives.  

« Les républicains ont de bons chiffres dans les votes par anticipation et dans les sondages, et maintenant cette histoire de "Bombe" surgit et la dynamique ralentit », a-t-il tweeté. « Ce qui se passe est vraiment regrettable. Républicains, allez voter ! », a-t-il ajouté.

Après un premier appel au rassemblement mercredi, il avait repris ses attaques jeudi contre les médias, qu'il accuse régulièrement de vouloir saper sa présidence.

« Une grande partie de la colère que nous voyons aujourd'hui dans notre société est causée par le traitement intentionnellement inexact et imprécis des médias traditionnels, que j'appelle les "Fake News" », avait-il tweeté jeudi.

De nombreux responsables démocrates l'ont accusé au contraire de « cautionner la violence » et d'attiser les divisions.

« Je pense que le président n'a toujours pas mesuré l'importance de la présidence et l'importance de son poste », a affirmé vendredi sur CNN le gouverneur de New York Andrew Cuomo.  

L'acteur Robert De Niro, qui avait insulté Donald Trump lors de la cérémonie des récompenses de Broadway en juin, a appelé les citoyens opposés à Trump à se mobiliser pour les législatives. « Il y a quelque chose de plus puissant que les bombes, c'est votre bulletin de vote. Les gens DOIVENT voter », a-t-il indiqué vendredi dans un communiqué.

De Niro n'a aucune leçon ni aucune recommandation à donner au peuple américain avec un discours aussi intimidateur et violent. Ce message haineux est passé dans les médias en faisant rire et sourire les journalistes et ces mêmes journalistes se scandalisent à chaque tweet politiquement incorrect de Donald Trump.


Ce qu'on sait sur le suspect

Se faisant également appeler Cesar Altieri, le suspect est né le 17 mars 1962 et avait un casier judiciaire en Floride, où il habitait dans la ville d'Aventura, au nord de Miami.

En 2002, il avait été inculpé pour une menace à la bombe, selon les archives judiciaires du comté de Miami-Dade consultées par l'AFP. Il avait écopé d'une peine d'un an avec sursis.

Cesar Sayoc portait une casquette rouge marquée du slogan de Donald Trump « Rendre à l'Amérique sa grandeur » (« Make America Great Again ») sur une photo qu'il avait publiée sur son compte Facebook.  

Dans des tweets souvent décousus et mal orthographiés, accompagnés de nombreux retweets de photomontages rudimentaires, Cesar Sayoc appelait ces derniers jours à voter républicain le 6 novembre, lors des élections parlementaires qui seront déterminantes pour la suite du mandat de Donald Trump.   Et voilà, le lien avec Trump et le parti républicain est fait! 

Dans ses derniers messages, il éreintait le candidat noir au poste de gouverneur en Floride, Andrew Gillum, dénonçant son incompétence supposée au poste actuel de maire de Tallahassee et l'accusant sans aucune preuve d'être à la solde du financier et donateur démocrate George Soros.

Originaire de Hongrie, le milliardaire juif est la cible régulière des adeptes de théories du complot et des nationalistes, en Europe et aux États-Unis. Cesar Sayoc lui avait dédié de nombreux tweets.  

Le « meilleur » président

« Joyeux anniversaire meilleur commandant en chef perturbateur qui secoue Washington dans tous les sens », avait-il écrit pour l'anniversaire en juin de Donald Trump, qui est commandant en chef de l'armée américaine. « Merci pour tout ce que vous faites et contre tout le monde et pas être arrêté jamais. Tout droit et construisez le Mur génial ».

D'autres messages font référence à Debbie Wasserman Schultz, une élue démocrate dont l'adresse avait été notée sur les colis comme en étant l'expéditeur. Dans ses tweets, Cesar Sayoc avait d'ailleurs mal épelé son nom de famille en employant le même orthographe, « Shultz », que sur les colis piégés.

Des tweets ciblaient également le sénateur Cory Booker et l'élue de la Chambre des représentants, Maxine Waters, tous deux également visés par des paquets.  

Cesar Sayoc semble avoir utilisé au moins deux comptes Twitter : @hardrock2016 et @hardrockintlent, où il écrivait respectivement sous les noms « Cesar Altieri » et « Julus Cesar Milan ».

Son dernier tweet, sur @hardrock2016, date de mercredi, le jour où la plupart des colis ont été découverts.  

Sur l'un de ses comptes Twitter, il se décrit comme un ancien joueur professionnel de football, lutteur et pratiquant un sport de combat en cage.

Il dit avoir fait des études vétérinaires à l'université en Caroline du Nord, sur son profil LinkedIn. Il aurait voulu être « un docteur pour les chevaux » car il a « toujours aimé les animaux qui étaient là en premier et ne font jamais rien à personne », écrit-il.

Cesar Sayoc fait également référence à de nombreuses reprises à la tribu amérindienne Seminole sur Twitter, tandis que sur LinkedIn il mentionne des origines philippines, en affirmant notamment que son grand-père était un chirurgien de renom originaire de l'archipel.  

Il y affirme également avoir travaillé pour l'hôtel et casino Hard Rock tenus par la tribu Seminole à Hollywood en Floride, mais ces derniers ont affirmé dans un communiqué n'avoir « aucune preuve » qu'il y ait vraiment travaillé ni qu'il appartienne à la tribu.

Source:

Un séisme de 6.2 dans les Îles Mariannes

http://quakes.globalincidentmap.com/

mercredi 24 octobre 2018

Cinq bombes artisanales ont été envoyées à plusieurs figures démocrates, dont Hillary Clinton, Barack Obama, George Soros, l'ancien directeur de la CIA John Brennan via les bureaux de CNN, et le gouverneur démocrate de l'État de New York Andrew Cuomo: ça sent le faux drapeau!

* Des colis qui ont tous été interceptés, contenant des bombes artisanales dont aucune n'a explosées, tellement artisanales qu'un ancien démineur pour la Marine américaine a déclaré diverses affirmations sur son compte Twitter à l'effet que les photos publiées d'un de ses engins explosifs montrent qu'il est probablement non-fonctionnel puisque stupidement conçu:
https://twitter.com/thomasbsauer/status/1055145782200987648
Photo de l'engin explosif publié par NBC News. Comment se fait-il qu'une bombe artisanale est photographiée et publiée dans un média? Quel est le but et qui a osé prendre une photo d'une engin explosif?
Tout ce scénario pourrait être un "faux drapeau" pour accuser Trump et ses partisans de vouloir acquérir le pouvoir par la violence et pour faire paraître les démocrates comme des "victimes" de cet attentat. Ça ressemble drôlement, ou dramatiquement, à une tactique de guerre politique à la veille des élections de mi-mandat. 

Ingérence russe présumée dans les élections américaines, scandale sexuel impliquant Trump et l'actrice porno Strormy Daniels, scandale sexuel impliquant le juge Kavanaugh et Christine Blasey Ford, caravanes de migrants qui avancent vers la frontière américaine, attaques terroristes présumées sur des démocrates, il reste encore quelques jours pour d'autres scandales et "coups de cochon"!

La première bombe artisanale a été déposée lundi dans la boîte aux lettres du milliardaire progressiste George Soros, qui n'était pas chez lui. Des colis contenant «des engins explosifs potentiels» ont aussi été adressés à l'ancienne secrétaire d'État, Hillary Clinton, et à l'ex-président démocrate Barack Obama. Ils ont été interceptés mardi et mercredi avant d'atteindre leurs domiciles. Un autre paquet a été adressé mercredi à l'ancien directeur de la CIA John Brennan, via la chaîne d'information CNN sur laquelle il intervient régulièrement.

Le gouverneur démocrate de l'Etat de New York Andrew Cuomo a indiqué mercredi qu'un engin suspect avait aussi été envoyé à son bureau new-yorkais. La police de Floride a découvert un colis suspect près du bureau de l'élue démocrate au Congrès Debbie Wasserman Schultz. D'après les médias américains, d'autres colis ont été adressés à l'ancien ministre de la Justice d'Obama, Eric Holder, et à la parlementaire démocrate Maxine Waters.

Que contenaient les colis?

Selon la police, le colis retrouvé dans les locaux de CNN contenait un «engin explosif fonctionnel» et de la poudre blanche. La bombe artisanale, relativement petite, était constituée d'un tuyau d'une dizaine de centimètres de long, enveloppé dans du scotch noir, relié à des fils électriques et à un détonateur, ont rapporté les médias. La poudre se trouvait dans une enveloppe sur laquelle figurait une adresse retour --celle de Debbie Wasserman Schultz-- et de nombreux timbres. Le FBI a confirmé que les cinq petits paquets jaunes destinés à Soros, Clinton, Obama, Holder et Brennan étaient «d'apparence similaire» et portaient plusieurs timbres avec une même adresse d'expéditeur: celle de Wasserman Schultz, ex-présidente du Comité national démocrate.

Qui peut les avoir envoyés?

Il n'y a pour l'instant aucune revendication. Mais le responsable du bureau antiterroriste du FBI à New York, Bryan Paarmann, a laissé entendre qu'il s'agissait d'envois coordonnés par «un ou plusieurs individus». Plusieurs responsables ont évoqué le spectre d'un terrorisme politique intra-américain.

Quel est le point commun entre les cibles?

Il s'agit d'adversaires du président Donald Trump qui, en retour, ne ménage pas ses critiques à leur encontre. La plupart sont démocrates. Barack Obama, son prédécesseur, est, selon l'actuel locataire de la Maison-Blanche, responsable des maux du pays. En meeting, le milliardaire républicain adore faire huer Hillary Clinton, sa rivale lors de la présidentielle de 2016. Et en août, le président a, de manière inédite, retiré l'habilitation de sécurité de John Brennan, pour le punir de ses commentaires critiques sur CNN. Mme Waters a quant à elle un «petit QI», et M. Cuomo est «le gouverneur de l'Etat le plus imposé du pays», selon Trump. Quant à George Soros, déjà cible de l'extrême droite européenne, le président l'a accusé dernièrement d'avoir financé les manifestations d'opposants à la nomination du juge conservateur Brett Kavanaugh à la Cour suprême.

Quoi qu'il en soit, Donald Trump a lancé mercredi soir un appel à l'unité, jugeant que la «violence politique» n'était pas tolérable aux États-Unis. «Dans des moments comme celui-ci, nous devons nous rassembler», a-t-il déclaré depuis la Maison-Blanche, dénonçant également une «volonté de terroriser». La première dame, Melania Trump, a pour sa part dénoncé des attaques «lâches». Une déclaration immédiatement reprise de volée par ses adversaires démocrates. Dans un communiqué commun, Chuck Schumer, chef de file du groupe démocrate au Sénat, et Nancy Pelosi, son homologue à la Chambre des représentants, ont estimé que «les paroles du président Trump sonnent creux en attendant qu'il annule ses (autres) déclarations qui cautionnent des actes de violence». «Maintes et maintes fois, le président a cautionné la violence physique et divisé les Américains par ses mots et par ses actes», ont-ils ajouté évoquant son soutien à un élu ayant frappé un journaliste, aux militants de l'extrême droite de Charlottesville - où une contre-manifestante a été tuée l'an dernier - ou bien encore, «aux dictateurs du monde entier qui assassinent leurs propres concitoyens».

lundi 22 octobre 2018

Des dizaines de Salvadoriens s'organisent au sein d'un groupe WhatsApp pour former une caravane de migrants qui, apparemment, partiront pour les États-Unis le 31 octobre, selon le portail d'actualités La Opinión

Le groupe s'appelle "Caravana Santa Ana" et a été créé dans le but d'ajouter des Salvadoriens qui souhaitent entreprendre leur voyage en Amérique du Nord à la recherche de meilleures conditions de vie, selon le journal en ligne. 

La principale condition requise pour rejoindre cette caravane, comme c'est noté dans les réseaux sociaux, est de transporter une valise légère comprenant deux pantalons, trois chemises, un pull, de l'eau et des médicaments. 

Selon La Opinion, la caravane prévoit de quitter la place Salvador del Mundo, à San Salvador, à 6 heures du matin, en direction de la frontière de San Cristóbal, à Santa Ana. 

"L'objectif est de rejoindre les migrants honduriens déjà présents sur le territoire guatémaltèque et mexicain, puis de franchir la frontière américaine, quelles que soient les menaces du président américain Donad Trump", a déclaré La Opinion dans un article publié aujourd'hui.

Jusqu'à présent, il n'a pas été prouvé qui sont les administrateurs de groupe. Cependant, La Opinion indique que des centaines de Salvadoriens attendent déjà de recevoir des informations pour rejoindre la caravane. 

Source:

Selon un journal mexicain, ce sont 14 000 migrants qui sont actuellement en route vers les États-Unis et le décompte n'est certainement pas terminé!

https://www.eluniversal.com.mx/english/14000-hondurans-caravan

"Ils se sont infiltrés dans cette caravane", déclare un journaliste du réseau Univision qui a rencontré des habitants du El Salvador et même, du Bangladesh, dans la caravane qui tentait de traverser au Mexique au cours des derniers jours

* Selon les plus récentes informations provenant de journalistes sur le terrain, la caravane progresse à travers le Mexique, elle n'est ni stationnaire, ni confinée par les autorités mexicaines.

Le correspondant d'Univision, Francisco Santa Anna, faisait son reportage depuis le pont au Guatemala où la caravane de migrants tentait de traverser le Mexique pour se rendre aux États-Unis. Santa Anna a déclaré qu'il avait lui-même rencontré des gens du Bangladesh. 


Voici le reportage en espagnol:


Le Daily Caller a rapporté une traduction des affirmations de Santa Anna du Mexique:

"Les frontières en Amérique centrale ne sont pas aussi fortes que celles des États-Unis, ce qui permet aux citoyens du Panama et de l'Équateur de traverser facilement", a expliqué Santa Anna. "Ils traversent du Costa Rica, puis traversent ensuite le Guatemala pour finalement rejoindre notre pays."

"Hier, lors de notre voyage au Guatemala, nous avons remarqué des habitants du El Salvador et même des Bangladais", a-t-il poursuivi.

"Pouvez-vous imaginer ce qu'ils ont du faire pour arriver ici?", dit-il. "Ils se sont infiltrés dans cette caravane et ont essayé de traverser avec la foule. Cela [la caravane] les a grandement aidés."

Santa Anna a continué en disant qu'ils avaient été identifiés et détenus par des agents de l'immigration.

Les responsables mexicains ont semblé écouter les demandes du président Donald Trump d'empêcher la caravane d'arriver à la frontière américaine, mais des rapports récents indiquent que certains responsables aident les migrants dans leur périple.

L'ambassadeur du Mexique aux Etats-Unis a admis jeudi sur Fox News qu'il estimait que la caravane avait une motivation politique, du moins en partie.

"Nous avons des preuves que cette caravane est également très motivée par des raisons politiques", a déclaré l'ambassadeur Gutierrez. "Nous sommes évidemment sensibles à la situation humanitaire à laquelle nous sommes confrontés et nous agissons avec précision."

"Mais nous avons également clairement indiqué qu’il n’existait aucun motif juridique permettant au Mexique de délivrer un permis permettant à une population de traverser le Mexique en direction des États-Unis", a-t-il conclu.

Source:

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