* Ce qui me choque le plus dans cette histoire, c'est que cette femme a non seulement été utilisée par la CIA/Soros/Clinton&Cie. pour empêcher le juge Kavanaugh d'accéder à la Cour suprême, mais elle a réussi à convaincre des dizaines de milliers de femmes à travers l'Occident qu'un homme soupçonné d'agression ou d'inconduite sexuelle n'a pas droit à la présomption d'innocence, qu'il est coupable et condamné d'avance. Bien sûr qu'il existe des abuseurs qui se comportent comme des salauds envers les femmes et qui doivent être jugés et condamnés, mais je réalise de plus en plus que la campagne "Me too", quoique salvatrice pour de nombreuses femmes qui ont eu le courage de parler grâce à cette vague de dénonciation, a aussi créé, à certains égards, une solidarité féminine hargneuse prête à exécuter sur le champ!
Toutes ces femmes qui sont indignées de voir le juge Kavanaugh accéder à la Cour suprême n'ont pas suivi de près l'audience et n'ont pas pris connaissance des multiples incohérences et attrapes dans lesquelles Christine Blasey Ford s'est emmêlées. Si elles savaient, et si elles n'étaient pas envahies par cette hargne qui aveugle, cette indignation laisserait place à un discernement qui permet de croire sans l'ombre d'un doute que cette femme a été un instrument politique, instrument d'hommes puissants qui se sont servis d'elle pour arriver à leurs fins. Quel déshonneur incarne Christine Blasey Ford pour toutes les vraies victimes d'agression sexuelle. Mais quelle gigantesque victoire de la véritable justice!
Lorsque Christine Blasey Ford a témoigné la semaine dernière devant le Comité judiciaire, les États-Unis ont vu une femme hantée raconter un traumatisme dévastateur. Mais mettre de côté la performance émotionnelle de Ford et se concentrer plutôt sur le témoignage de la professeure révèle de nombreuses incohérences dans son récit selon lequel Brett Kavanaugh, candidat à la Cour suprême, l'avait agressée sexuellement. En tant que procureur pour les crimes sexuels, la républicaine Rachel Mitchell, celle qui l'interroge durant l'audience, est bien placée pour "le savoir quand elle la voit". Mais plutôt que de voir Ford comme une victime d'abus sexuel commis par Kavanaugh, Mitchell la considérait comme un témoin manquant de crédibilité. Et cette conclusion émane d'un expert qui sait qu'il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les victimes tardent à signaler les abus sexuels. Mitchell a toutefois reconnu que les victimes peuvent légitimement ne pas se souvenir de certains détails liés à une agression.
Mais le problème pour Ford n’est pas qu’elle ne se souvienne pas de tout: c’est que tout ce dont elle se souvient change à sa convenance.
Premièrement, le témoignage de Ford selon lequel l’agression a eu lieu à l’été 1982, alors qu'elle avait à peine 15 ans, était en contradiction avec les notes de sa thérapeute et le message texte que Ford avait envoyé au Washington Post. Selon la journaliste Emma Brown, Ford aurait affirmé avoir été agressée au milieu des années 1980; et les notes du thérapeute indiquaient que Ford avait été victime d'une tentative de viol à la fin de son adolescence. Mais à ce moment-là, Kavanaugh fréquentait Yale, le report de l'agression de Ford jusqu'à l'été 1982 est suspecte.
Le récit de l'agression sexuelle présumée par Ford comprenait également plusieurs données contradictoires concernant le nombre de personnes présentes à la fête. Les notes du thérapeute indiquaient que quatre garçons avaient tenté de violer Ford. (Ford affirme que son thérapeute a confondu le nombre total de garçons participant à la fête avec le nombre de garçons qui l’avaient attaquée.)
Plus tard, dans sa lettre de juillet à la sénatrice Dianne Feinstein, Ford a de nouveau fixé à cinq le nombre de personnes présentes à la fête, indiquant que la réunion comprenait elle et quatre autres personnes. Mais Ford a ensuite identifié les quatre par leur nom, et ce groupe comprenait trois garçons et une fille. Enfin, lors de son témoignage au Sénat, Ford a déclaré sans équivoque "qu'il y avait quatre garçons dont je me souviens précisément étant là", en plus de son amie Leland Keyser.
Un autre changement important dans le récit est survenu lorsque Ford a témoigné sur l'emplacement de la maison où a eu lieu la fête. Elle avait d'abord dit au Washington Post que l'agression avait eu lieu dans une maison située non loin du country club. Pourtant, lorsque Mitchell a montré une carte des lieux et rappelé à Ford qu'elle avait décrit l'agression comme ayant eu lieu près du country club, cette dernière a fait marche arrière: "Je pourrais décrire [la maison] comme se situant quelque part entre ma maison et le country club qui est montré dans votre image". Ford a ajouté que le country club était à 20 minutes en voiture de son domicile.
Enfin, Ford a modifié sa description de l'aménagement intérieur de la maison et les détails de la fête et de sa fuite. Une "courte" cage d'escalier s'est transformée en une "étroite". Le rassemblement est passé d'une petite salle familiale où les jeunes buvaient de la bière (et que Ford distingue de la salle à travers laquelle elle a fui la maison) quand elle a parlé au Washington Post, à une maison décrite dans son témoignage réel comme ayant une "petite salle de séjour/salle familiale". Devant l'évidence du changement, Ford a suggéré de dessiner un plan de la maison.
Ces quatre points sont importants. Premièrement, parce que Ford a attendu plus de 30 ans avant de dénoncer la prétendue agression, parce que les notes du thérapeute prises au cours des séances entre Ford et son mari contredisaient les allégations de Ford durant son témoignage réel et ces notes ne nommaient pas Kavanaugh. Et la chronologie de l'agression résumée par son thérapeute, que Ford a vue individuellement l'année suivante, était en contradiction avec le témoignage de Ford contre Kavanaugh.
Les trois dernières contradictions sont encore plus significatives parce que, dans chaque circonstance, Ford n’a modifié son récit qu’après que Kavanaugh et les enquêteurs du Sénat eurent obtenu des preuves qui réfutent son récit initial. Par exemple, les enquêteurs avaient obtenu des déclarations de Kavanaugh, des deux hommes et d'une amie de toujours de Ford, et ils ont tous nié se souvenir de la fête.
Ces contradictions signifient que Ford n'est pas crédible
Les enquêteurs ont également parlé à d'anciens camarades de classe de Kavanaugh, dont deux hommes qui ont montré aux membres du personnel les "maisons de party" situées à proximité du country club pendant la période visée. Et la description détaillée de l'intérieur de la maison fournie par Ford à l'origine permettait aux enquêteurs de la comparer à la configuration des maisons identifiées par les individus. Mais ensuite, Ford a changé sa description du plan de la maison.
Depuis que les médias ont commencé à divulguer les accusations portées par Ford, Kavanaugh et ses partisans ont vu l'impossibilité de prouver le contraire: Kavanaugh ne pouvait pas prouver qu'il n'avait pas agressé Ford. Mais Kavanaugh pourrait prouver que l'histoire de Ford n'aurait pas pu se produire en montrant qu'aucun des individus présents à la supposée fête ne vivait dans une maison proche du country club et qu'aucune de leurs maisons ne correspondait à celle décrite par Ford. Kavanaugh et les enquêteurs étaient sur le point de le faire quand Ford a changé son histoire.
Les Américains ouverts d'esprit devraient voir cela - émotions mises à part - que le témoignage de Ford est totalement dépourvu de crédibilité: à tel point que Mitchell a déclaré au Sénat cette semaine que les allégations de Ford ne répondent même pas à la norme de prépondérance de la preuve. Cette norme, qui régit les litiges civils, demande s'il est plus probable qu'improbable qu'un événement se soit produit.
Oui, il faut croire les victimes. Mais Ford n’est pas une victime, du moins pas de Kavanaugh.
Source:
Une cabale juive a eu lieu pour faire tomber kavanought.Grace aux destins et a trump ca pas eux lieu.
RépondreSupprimerPourquoi je dit cabale car tout le beau monde qui entourrait ces mythomanes fesait partie du peuple elu.
Mais je ne pense pas isabelle que tu va publier mon commentaire car les chretiens du quebec pour la grande majoritee sont sioniste.
Tu as eu tort!
SupprimerHupps pardon!!
SupprimerUn site qui monte dans mon estime,le deuxieme amandements de la constitution americaine cest la libertee de parole.Cest ce qui a fait de cette nation une grande nation. Comme les grans sites sur le net.Faut respecter intelligence des gens.
a celui quI a des yeux pour voir.VOI
MERCI