Auteur: Dr Mark Sircus (Ce médecin fait régulièrement des articles médicaux sur NaturalNews)
Dimanche, le prestigieux Dr Mark Sircus a publié un nouveau rapport en association avec une équipe de scientifiques et de médecins donnant les preuves que des personnes au Japon et aux US ont été soumis à de dangereux niveaux de radioactivité depuis la fusion de la centrale nucléaire de Fukushima et qu'ils ont également été soumis à un strict cover-up de la part des autorités et des médias, ce qui va entraîner la mort de millions de bébés et des nouvelles victimes de cancer. Les enfants japonais et américains souffrent déjà de symptômes qui semblent être les premiers signes de la maladie des rayons.
« Enfin, trois mois plus tard, nous avons des chiffres sur ce que sont les vrais dangers. Et enfin nous pouvons commencer à comprendre l'énorme cover-up de la catastrophe nucléaire qui touche les poumons, sur toutes les côtes ouest de l'Amérique, du Canada, de l'Alaska, d'Hawaï et d'au moins la moitié du Japon ! » a déclaré le Dr Sircus.
Le Dr Mark Sircus est le directeur de l'Association Internationale Vérité Médicale (AIVM). Il a étudié l'acupuncture et la médecine orientale à l'Institut de Médecine Traditionnelle de Santa Fé, au Nouveau-Mexique, et à l'école de médecine traditionnelle de Nouvelle-Angleterre à Boston. Il a officié à l'hôpital central de Pochutla à Mexico et on lui a décerné le titre de médecin de médecine orientale pour ses travaux faisant partie de l'un des premiers certifiés américains en acupuncture. L'AIVM se consacre à unifier des disciplines différentes médicales dans le but de créer une éclosion nouvelle dans les soins de santé.
« Pour les enfants, c'est une terrible vallée de la mort qu'on leur a créé », dit-il. « Comme nous le verrons pendant des années, chacun d'eux est né avec déjà des courants sanguins pollués et maintenant, de très jeunes meurent en grand nombre sur la côte ouest des US depuis l'explosion de Fukushima. »
Aucun moyen d'éviter les minuscules particules radioactives
« Au bout de la première semaine, les officiels possédaient suffisamment d'informations pour appeler à l'évacuation d'une large aire du Japon et aussi d'Hawaï, d'Alaska et de toute la côte ouest de l'Amérique du nord. »
Selon le Dr Sircus, tout le nord du Japon et de la côte ouest des US aurait du être évacué, étant admis « qu'il est impossible d'évacuer la planète toute entière ou l'hémisphère nord tout entier . »
« Eviter l'exposition est toujours le meilleur plan mais il n'y a aucun moyen d'éviter de respirer de l'air contaminée à de minuscules particules radioactives. Les problèmes d'inhalation sont beaucoup plus effrayants que ceux d'ingestion, car vous pouvez sélectionner ce que vous mangez et buvez mais vous ne pouvez pas acheter de bouteille d'air. »
« Le syndrome de toxicité nucléaire », un des livres écrits par le Dr Sircus, parle de « comment survivre dans un enfer nucléaire et chimique ». Le Dr Sircus, fondateur des Médecins aux pieds nus de la côte du golfe, qui ont délivré des kits de survie détoxicants à des centaines de survivants du pétrole de BP et du corexit empoisonné.
Se faisant l'écho de la frustration de nombreux « médecins aux pieds nus » du golfe du Mexique et d'autres volontaires depuis la catastrophe BP il y a un an, le Dr Sircus déclare que « on ne peut faire ce qui est nécessaire à une survie en enfer si la personne ne sait pas qu'elle est dans cet enfer ». Le problème est qu'en raison du blackout des médias sur les risques environnementaux associés aux lobbies des énergies non-renouvelables, relativement peu de gens connaissent l'enfer que les gens du golfe ont enduré. De nombreux résidents contribuent d'attribuer leurs maladies en cours à une « grippe » persistante. Exactement comme beaucoup de personnes aujourd'hui à propos de Fukushima, de nombreux résidents des zones côtières du Golfe du Mexique nient le fait que les radiations du Golfe du Mexique en provenance des infiltrations de pétrole et des bactéries résistantes du dispersant Corexit sont mortelles et que le gouvernement ne les a pas aidés.
C'est pourquoi le Dr Sircus et de nombreux autres professionnels de santé ont contribué au travail de M. Jeff Rense pour son livre « Nettoyage à venir : du déni à la détoxication » qu'il offre gratuitement pour sauver des vies.
En dépit de rapports mélangés des officiels et des médias sur la vulnérabilité des centrales nucléaires menacées d'inondations, le Dr Sircus souligne, « Cela continue d'empirer tous les jours, et nous avons maintenant la centrale nucléaire de Fort Calhoun à côté d'Omaha dans le Nebraska en alerte d'urgence par un premier incendie et maintenant l'inondation qui menace de submerger une autre installation nucléaire. »
« Nous savions que les centrales à énergie nucléaire étaient de mauvaises nouvelles, mais qui penserait qu'on les construirait sur des lignes de faille ou dans des zones inondables ? »
Les habitants de la côte ouest devraient-ils se faire du souci ?
Pendant que des gens comme Arnie Gundersen ont donné une réponse sur la pointe des pieds concernant un éventuel risque des retombées de Fukushima, le Dr Sircus a répondu de manière plus franche :
« J'ai peur de devoir être brutalement honnête et d'être le porteur de nouvelles vraiment terribles. L'information qui ressort au sujet des concentrations de particules chaudes près de Fukushima, à Tokyo et maintenant à Seattle nous dit que non seulement tous ces gens devraient s'en faire mais que leurs gouvernements auraient du émettre des ordres d'évacuation il y a des mois. »
A cause du jet stream en avril, après les fortes explosions qui ont détruit trois bâtiments de réacteurs, c'était aussi dangereux à Seattle et encore plus sur la côte ouest de l'Amérique du nord qu'à Tokyo. »
Selon le Dr Sircus, le résident de Tokyo moyen a pu inhaler 10 « particules chaudes » par jour pendant le mois d'avril 2011. Les habitants de Fukushima ont du en inhaler 30 à 40 fois plus, jusqu'à 400 particules chaudes par jour chaque jour de ce mois-là.
A Seattle, état de Washington, on estime que la moyenne des gens a absorbé 5 particules chaudes par jour durant le mois d'avril ou 10 par jour pour des athlètes travaillant en extérieur.
« Ces particules atomiques invisibles viennent se loger dans les poumons, les intestins, les os et les muscles. »
En étant très prudent et en disant que ce n'est tombé qu'une fois par jour, « ce serait encore 30 de ces particules mortelles par mois, approximativement 200 particules radioactives dans les poumons et autres tissus jusqu'à aujourd'hui.
Quand vous pensez que même une seule de ces 200 particules peut être du plutonium, dit Sircus, « nous devons réfléchir en termes de millions de morts éventuelles par cancer. »
Source:
http://www.examiner.com/human-rights-in-national/prestigious-doctor-japan-us-nuclear-valley-of-death
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