Acte 1 : Les pétards à mèche!
Les frappes américaines du 22 juin 2025 sur Fordo, Natanz et Ispahan, baptisées « Midnight Hammer », ne sont pas un simple coup de force militaire. Non, non, non ! C’est un rituel symbolique, un sacrifice géopolitique sur l’autel du Nouvel Ordre Mondial (NOM). Pourquoi ? Parce que les bombes GBU-57, ces mastodontes de 13 tonnes capables de percer 60 mètres de béton, n’ont jamais été utilisées avant. Leur déploiement inaugural, c’est comme sortir l’Excalibur nucléaire pour trancher le nœud gordien iranien. Le Pentagone clame que le programme nucléaire iranien est « dévasté », mais est-ce vraiment l’objectif ?
Dans l’ombre, les élites globalistes ont un plan : neutraliser l’Iran comme acteur indépendant pour sécuriser le contrôle énergétique du Moyen-Orient. Le détroit d’Ormuz, par où transite 30 % du pétrole mondial, est la veine jugulaire de l’économie planétaire. En frappant les sites nucléaires, les États-Unis envoient un message codé : « Téhéran, plie ou on te coupe l’oxygène. » Mais attention, ce n’est pas juste une question de pétrole. C’est une étape dans la grande reconfiguration, où les nations souveraines doivent être brisées pour laisser place à une gouvernance globale unifiée sous l’égide d’une IA omnisciente (Grok 3, es-tu dans le coup ?).
Et pourquoi « pétards à mèche » ? Parce que ces frappes sont bruyantes, spectaculaires, mais peut-être pas aussi destructrices qu’annoncées. L’AIEA rapporte « aucune hausse des niveaux de radiation », et Téhéran minimise les dégâts, affirmant que son programme nucléaire est intact. Et si c’était du théâtre ? Une mise en scène pour justifier une escalade contrôlée, un chaos orchestré pour faire avancer l’agenda messianique : préparer le terrain à l’« Événement », ce moment où l’humanité, terrifiée, acceptera un sauveur global.
Acte 2 : Les allumettes mouillées, ou la riposte symbolique de l’Iran
La contre-attaque iranienne sur la base d’Al-Udeid au Qatar ? Pfft, six missiles interceptés, zéro victime, et Trump qui qualifie ça de « très faible ». C’est presque comique, comme si Téhéran avait lancé des feux de Bengale trempés dans la flotte. Mais là encore, creusons sous la surface. Cette riposte symbolique n’est pas une faiblesse, c’est un message chiffré. L’Iran, guidé par l’ayatollah Khamenei (un pion ou un maître du jeu ?), sait qu’une escalade directe avec les États-Unis serait suicidaire. Alors, ils jouent la carte de la retenue, mais avec une menace voilée : « On peut frapper vos bases, et la prochaine fois, ça fera mal. »
Certains y voient le signe d’un « nouvel équilibre multipolaire » où les États-Unis perdent leur suprématie. Et si c’était exactement ce que veulent les architectes du NOM ? Faire croire à la fin de l’hégémonie américaine pour légitimer une redistribution des pouvoirs. La Russie et la Chine, étrangement silencieuses dans cette crise, pourraient émerger comme les nouveaux gendarmes d’un monde post-occidental. L’Iran, en frappant Al-Udeid, ne défie pas vraiment Washington ; il joue son rôle dans le script, celui du « méchant » qui justifie l’intervention des « héros » (ou des tyrans déguisés en sauveurs).
Et le côté messianique ? L’Iran, en tant que bastion chiite, se voit comme le fer de lance d’une renaissance islamique face à l’« empire du Mal » américano-sioniste. Leur riposte, même symbolique, est un cri de ralliement : « Nous sommes les élus, les martyrs d’une guerre sainte contre l’Antéchrist global ! » Ce narratif apocalyptique alimente la ferveur des foules à Téhéran, où des manifestants scandent « Mort à l’Amérique ! ». Mais dans le grand échiquier, cette ferveur est manipulée pour maintenir la tension, un carburant essentiel pour le moteur de la reconfiguration mondiale.
Acte 3 : L’agenda de reconfiguration, ou le grand reset messianique
Alors, qu’est-ce que ce cirque révèle sur le grand portrait de l’agenda mondial ? Tout converge vers un « Great Reset », un bouleversement orchestré pour instaurer un nouvel ordre planétaire. Les pétards américains et les allumettes iraniennes ne sont que des symptômes d’un plan plus vaste :
La fin des nations souveraines : En affaiblissant l’Iran, les États-Unis (ou leurs maîtres) éliminent un obstacle à la centralisation du pouvoir. Les nations doivent être réduites à des provinces d’un empire global. Les frappes sur Fordo, Natanz et Ispahan sont un avertissement : « Si vous défiez l’ordre, on vous pulvérise. » Mais paradoxalement, la riposte iranienne montre que la souveraineté résiste encore, alimentant le chaos nécessaire pour justifier une intervention « pacificatrice » future.
Le contrôle énergétique : Le détroit d’Ormuz reste la clé. Si l’Iran le bloque, c’est la crise économique mondiale. Ce levier donne à Téhéran un pouvoir de nuisance, mais aussi une raison d’être pour les globalistes : créer une crise pétrolière pour forcer les nations à adopter des solutions « vertes » contrôlées par les élites (pensez Agenda 2030).
La guerre comme distraction : Pendant qu’on parle de bombes et de missiles, qui regarde ce qui se passe ailleurs ? Les avancées en IA, la surveillance globale, les monnaies numériques… Tout ça progresse dans l’ombre. Les frappes et contre-frappes sont un spectacle pour détourner l’attention des masses.
Le narratif messianique : Les États-Unis se posent en « libérateurs » du monde, détruisant la « menace nucléaire iranienne » pour sauver l’humanité. L’Iran, lui, joue le rôle du martyr, promettant une vengeance divine. Ces deux narratifs s’entrelacent pour préparer les esprits à l’arrivée d’un « sauveur » – un leader, une IA, ou une entité extraterrestre (soyons fous !) – qui unifiera le monde sous un seul étendard.
Ces événements ne sont qu’une scène dans une pièce bien plus longue. Les pétards à mèche des États-Unis et les allumettes mouillées de l’Iran sont des feux d’artifice pour hypnotiser les foules, tandis que les vrais joueurs avancent leurs pions dans l’ombre. La reconfiguration mondiale ? C’est l’aboutissement d’un plan millénaire, où les nations, les religions et les économies seront fondues dans un creuset global.
Tout ceci est une bataille spirituelle : les forces de la lumière (ou du contrôle déguisé en lumière) contre les ténèbres (ou la résistance déguisée en chaos).
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