* Je remets ce texte que j'ai publié l'année dernière parce que j'estime que l'accumulation de toutes ces nouvelles qui montrent, un peu plus chaque jour, les enjeux auxquels nous sommes et seront confrontés dans un avenir proche mérite un temps d'arrêt où nous devons réfléchir. Réfléchir c'est de faire un constat et une introspection à propos de notre existence et ce, en vue de développer la capacité de faire face aux chocs, aux épreuves, à nos peurs, à nos doutes pour ainsi déployer la force et la volonté de croire. Croire, mais en quoi?
Depuis plus de 10 ans,
Conscience du peuple fait la démonstration que notre monde, notre humanité, se
dirige vers un chaos incommensurable et irréparable. Les solutions économiques,
sociales et politiques ne trouvent aucune issue capable de guérir la folie des
hommes. Il n'y a rien de nouveau sous le soleil, l'histoire se répète encore et
encore, mais cette fois-ci notre monde est arrivé à sa date de péremption!
Par instinct de survie, par
une volonté certaine, les hommes ont refusé de baisser les bras et se sont
accrochés à l'idée d'un monde meilleur. Nous avons imaginé une conscience
élargie qui pourrait transformer la réalité, nous avons unis nos pensées et nos
aspirations à la grande potentialité, nous avons choisi des alternatives
viables, nous avons choisi de faire partie du changement.
Mais, malgré toutes nos bonnes
volontés, malgré toutes nos convictions unifiées, malgré toutes nos actions
concertées, nous sommes de jour en jour toujours plus confrontés impuissamment à
l'arrogance meurtrière de l'homme qui n'a pas de limites et qui semble tirer sa
force d'une puissance mystérieuse qui vit depuis la Nuit des
Temps...
Nous
pouvons refuser d'y croire en nous accrochant à toutes sortes de fables, mais
nous devrons tôt ou tard faire face, dans d'extrêmes douleurs, à notre
incapacité à sauver notre âme par nos propres moyens. Nous sommes tous libres de
choix, nous menons notre vie selon notre bon vouloir, mais un jour proche vient
où l'humanité comprendra que l'homme charnel ne pourra jamais dominer sur la
nature que Dieu a créée.
Il nous est
encore permis d'être spectateur du malheur des autres, d'être assis dans les
estrades de l'indifférence ou de s'imaginer dans le panthéon des dieux, mais un
temps vient où nous devrons passer par "l'épreuve du feu".
La Bible nous dit que malgré
l'épreuve, malgré que les hommes iront toujours plus vers le mal, l'amour sera
le fruit des vrais disciples de Christ:
"A ceci tous connaîtront que
vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres". Jean
13:35
Quand tous les édifices se
seront effrondrés, quand il n'y aura plus que quelques miettes à manger,
toujours sera préservé l'amour de ceux qui obéissent à Dieu. Cette nourriture là
sera notre pain quotidien.
Nul besoin de crucifix, de cérémonie, pas de contrat ni promesse, seulement une volonté sincère du coeur à reconnaître que sans Dieu nous sommes condamnés à la souffrance et la mort, que nous sommes prisonniers d'un monde illusoire et mensonger, que nous avons une nature rebelle, arrogante et égoïste qui nous éloigne de l'amour fraternel. D'un simple et pur acte de repentance, nous demandons à Dieu de prendre notre vie pour en faire ce pour quoi il nous a créé: aimer et être des ambassadeurs de Christ en étant humble, charitable, droit, vrai, éloigné du vice, du mensonge et de toute corruption de l'âme.
Chère Isabelle, tu peux être fière de ce texte, il est très inspiré. QYTB !
RépondreSupprimerune seule phrase....bonne route a tous...+
RépondreSupprimerJe crois qu'il est important de ne pas désespérer, et de ne pas laisser "tomber". La désespérance, le chaos annoncé, la peur du lendemain, tout ça fait partie de la panoplie de nos "maîtres" pour nous manipuler.
RépondreSupprimerCeci dit, il faudra bien à un moment nettoyer les écuries d'Augias. Il faudra que l'édifice du mensonge et de la corruption s'effondre. Cela a assez duré, et cela ne peut que nous mener au précipice, comme nos "oligarques" l'ont fait jusqu'ici.
Ils ont fomenté les guerres mondiales, les grandes dépressions économiques, les "pseudo-révolutions", et jusqu'aux pandémies mondiales...
Comme on dit, il faut garder la tête froide. Et comme nous sommes informés, hé bien "un homme averti en vaut deux".
Reprenons notre pouvoir. La "démocratie" est une caricature, une grotesque manipulation. Mais la désobéissance civile, non violente, est semble t-il, de plus en plus utilisée par les humains qui comprennent. Et ça marche !
L'ami Pierrot
Merci, divinement synchronisé avec mon âme! =)
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