* En lumière avec la publication des avancées technologiques dans le domaine du génie génétique, allié à diverses composantes électroniques, je suis de plus en plus persuadée que la "marque de la bête" consistera en un dispositif biogénétique capable de changer la structure de l'ADN et capable d'interférer sur le cerveau humain. Cette marque pourrait être imposée suite à une pandémie mondiale, suite à des révolutions civiles, où chacun des citoyens sera considéré comme un danger potentiel pour la survie de la masse. Ces circonstances dramatiques justifieront l'identification obligatoire de tous les citoyens, au nom de la paix et de la sécurité, excluant tous ceux et celles qui refuseront de se soumettre au "système de la bête". Sans cette marque, nul ne pourrait vendre ni acheter...
Les ordinateurs modernes reposent sur trois fonctions standards: ils doivent être en mesure de stocker des informations, ils doivent être en mesure de transmettre des informations et ils ont besoin d'un système de base de logique. Un ordinateur biologique mettrait en œuvre ces trois fonctions sur un niveau cellulaire, en utilisant des protéines et de l'ADN à la place de puces de silicium.
Plusieurs laboratoires ont démontré la capacité de stocker des données numériques dans l'ADN. L'année dernière, une équipe dirigée par un bioingénieur de Stanford, Drew Endy, a développé un système de transmission de l'information génétique entre les cellules. Or, dans une étude relatée dans le dernier numéro de la revue Science, l'équipe de Endy a développé ce qu'il appelle un "transcripteur" - l'équivalent biologique d'un transistor numérique - avec un système de logique qui permet de contrôler la fonction cellulaire.
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