Ce dossier concernant les droits de propriété au Canada attire vraiment mon attention puisqu'il représente, à mon sens, une porte juridique ouverte à: "vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux". Une prophétie annoncée par le Forum économique mondial pour l'année 2030.
Je me suis toujours demandée comment ils arriveront à mettre fin à la propriété privée au Canada afin d'instaurer leur fabuleuse "économie circulaire", soit un système dans lequel tout ce que l'on possèdera sera loué et recyclé.
Je crois que ce litige en Colombie Britannique a le potentiel juridique de bouleverser complètement les droits de propriété au Canada si c'est téléguidé par une volonté de changer la législation.
Cet article explique bien les enjeux, dont voici un extrait:
"Quant au Premier ministre Carney, il n'a pas fait le moindre commentaire sur ce qui est peut-être l'actualité canadienne la plus importante de ces dernières années : les droits de propriété, tant privés que publics, pourraient être fondamentalement et définitivement bouleversés. Et le Premier ministre garde le silence. C'est sidérant !
Une autre interprétation cynique du mépris total pour les droits de propriété publique et privée dont font preuve Eby et Carney est celle de la grenouille bouillie. L'eau dans laquelle se trouve la grenouille est chauffée lentement ; la grenouille s'habitue à la température croissante et ne réalise que trop tard qu'elle est condamnée.
Peut-être Eby et Carney souhaitent-ils que les Canadiens s'habituent peu à peu à un Canada qui n'est plus vraiment le Canada, où les droits de propriété deviennent arbitraires et où ce qui était un pays unifié se transforme en ce « patchwork de minuscules bantoustans » prophétisé il y a des années par un visionnaire. Nous sommes la grenouille dans cette explication cynique.
Ce qui se passe aujourd’hui au Canada au nom de la « réconciliation » produit l’effet inverse. Il n’est pas exagéré de dire que si cette folie liée à l’incertitude des titres fonciers n’est pas stoppée, elle déchirera le pays. Notre Cour suprême et nos dirigeants politiques doivent repenser radicalement les notions de « titre autochtone » et de « réconciliation » avant que les propriétaires fonciers ne s’arrogent le droit de régler le problème eux-mêmes.
En clair, les Canadiens n'accepteront pas qu'on leur prenne leurs maisons et leurs terres publiques."
https://www.westernstandard.news/opinion/giesbrecht-the-cowichan-decision-threatens-not-just-private-property-but-crown-land-too/68995

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