dimanche 20 janvier 2019

Entre 2016 et 2018, environ 1 500 articles scientifiques revus par des pairs ont été publiés qui soutiennent une position qui met en doute le prétendu "réchauffement climatique d'origine anthropique"


En 2018, plus de 500 articles scientifiques ont été publiés qui remettent en question la position officielle, dogmatique, selon laquelle les émissions de CO2 d'origine anthropique sont la cause du réchauffement climatique/changements climatiques. Ces articles affirment qu'il existe d'importantes limites et incertitudes inhérentes à notre compréhension du climat et des changements climatiques, soulignant que la science du climat n'est pas réglée.

Plus précisément, les articles de cette compilation soutiennent ces quatre principales positions sceptiques - classées ici en tant que  N (1) - N (4)  - qui remettent en question l’alarmisme climatique popularisé dans les gros titres médiatiques.

N (1)  Les mécanismes naturels jouent bien plus qu'un rôle négligeable (comme l'affirme le GIEC) dans les changements nets du système climatique, notamment les variations de température, les régimes de précipitations, les phénomènes météorologiques, etc., ainsi que l'influence de l'augmentation des concentrations de CO2. sur les changements climatiques sont moins prononcés que prévu actuellement.

N (2)  Le réchauffement / les niveaux de la mer / le recul des glaciers et des glaces / l'intensité des ouragans et de la sécheresse… vécus à l'ère moderne ne sont ni sans précédent ni remarquables, et ne sortent pas du domaine de la variabilité naturelle.

N (3)  Les modèles climatiques informatiques ne sont ni fiables, ni toujours précis, les fourchettes d'incertitude et d'erreur sont irréductibles et les projections sur les états climatiques futurs (c.-à-d. une intensification du cycle hydrologique) ne sont pas étayées par des observations et / ou sont un peu plus que de la spéculation.

N (4)  Les politiques actuelles d'atténuation des émissions, notamment liées au plaidoyer en faveur des énergies renouvelables, sont souvent inefficaces et même préjudiciables à l'environnement, alors qu'une teneur élevée en CO2 et un climat plus chaud procurent des avantages inattendus à la biosphère (une planète plus verte et des cultures plus riches). 

Études scientifiques publiées en 2018, répertoriées en 3 catégories:




Études scientifiques publiées en 2017:

Études scientifiques publiées en 2016:
http://notrickszone.com/skeptic-papers-2016/

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