Des vaccins contenant des 👉 "nanoparticules superparamagnétiques", une technologie de transmission de matériel biologique/génétique appellée SPION (Superparamagnetic iron oxide nanoparticles). Ces nanoparticules sont composées 👉d'oxyde de fer et servent à des applications biologiques.
Ce procédé de délivrance de matériel génétique et synthétique dans l'organisme humain fait partie du domaine des "nanomédecines" et des "thérapies géniques" selon l'appellation officielle. Il est étudié et expérimenté via l'administration de "vaccin" depuis plus de 15 ans.
"Les SPION qui ont été rendus stables dans des conditions physiologiques 👉peuvent être utilisés à la fois comme agents thérapeutiques et diagnostiques en raison de leurs caractéristiques magnétiques uniques."
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24715289/
"La capacité d'incorporer des matériaux génétiques tels que l'ADN plasmidique, l'ARN et l'ARNsi dans des nanoparticules fonctionnalisées avec peu de toxicité démontre une nouvelle ère en pharmacothérapie pour la délivrance sélective de gènes aux tissus et aux cellules."
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19488722/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24715289/
👉"Le mécanisme de toxicité des nanoparticules d'oxyde métallique peut se produire par différentes méthodes telles que le stress oxydatif, les effets de coordination, les effets de non-homéostasie, la génotoxicité et autres. Les facteurs qui affectent les nanoparticules d'oxyde métallique étaient la taille, la dissolution et les voies d'exposition. Ce chapitre expliquera en détail la toxicité des nanostructures d'oxydes métalliques chez les êtres vivants et leur effet sur l'écosystème."
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29453535/
👉Les risques des nanoparticules injectées dans un organisme vivant et les risques sur l'environnement:
"Au-delà d'étudier si les nanomatériaux tuent simplement un organisme, les mécanismes moléculaires par lesquels les nanoparticules présentent une toxicité ont été largement étudiés. Certains des principaux mécanismes comprennent (1) l'association directe de nanoparticules avec la surface cellulaire d'un organisme, où la membrane peut être endommagée ou initier des voies de signalisation internes qui endommagent la cellule, (2) dissolution du matériau, libérant des ions toxiques qui ont un impact sur l'organisme, généralement en altérant des fonctions enzymatiques importantes ou par interaction directe avec l'ADN d'une cellule, et (3 ) la génération d'espèces réactives de l'oxygène et le stress oxydatif qui s'ensuit sur un organisme, ce qui peut également endommager des enzymes importantes ou le matériel génétique d'un organisme."
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31181913/
👉Les "nanoparticules superparamagnétiques" utilisées comme "bio-capteur" et "bio-marqueur":
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=nanoparticles+superparamagnetic+biosensors
Tout ça va avoir l'effet d'une bombe nucléaire à l'intérieur du corps humain; le vaccin est une arme de destruction massive. Pauvre humanité, pauvre de nous!
RépondreSupprimerBientôt des suppositoires aimantés (reliés à un fil) pour attirer vers 'les voies naturelles' toutes les nano-particules qui se déplacent dans nos veines à chaque battements de cœur ?
RépondreSupprimerSuffit de tirer la ficelle et hop ! Les morgellons: par ici la sortie !
Peut exister aussi en 'mini-aimants' (gros comme des lentilles) avalés et puis... évacués !
Si les 'mini-aimants' demeurent x heures dans le corps ils attireront toutes les nano-particules qui passent.
Oui mais... ces aimants... ne risquent-ils pas de provoquer des caillots (tels qu'ils se forment dans les veines lors d'injections) ?
Terrible. Il y a ce lien qui vulgarise bien.
RépondreSupprimerhttps://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/Stephano-Montanari:d