* Je ne crois pas qu'il s'agisse de l'accord de paix qui doit être signé et confirmé par l'Antéchrist, tel que décrit dans Daniel 9:27:
Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur.
Le Vatican a signé mardi un accord avec les Palestiniens dans lequel il reconnaît officiellement "l'Etat de Palestine". Une décision "décevante" selon Israël, "qui n'encouragera pas les Palestiniens à reprendre le chemin des négociations", a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
Même si le Vatican parle d'"Etat de Palestine" depuis début 2013, à la suite du vote de l'ONU, les Palestiniens ont estimé que cette signature équivaudrait à "une reconnaissance de facto" de leur état, tandis qu'Israël a fait part de sa "déception".
L'accord, négocié depuis 15 ans, porte sur le statut et les activités de l'Eglise catholique dans les territoires palestiniens, a annoncé mercredi un communiqué du Saint-Siège. Il sera signé "dans un avenir proche", après avoir été soumis aux autorités respectives.
Une décision "décevante" selon Israël, "qui n'encouragera pas les Palestiniens à reprendre le chemin des négociations", a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
Cette initiative "ne fait pas avancer le processus de paix. Il éloigne au contraire le leadership israélien d'un retour à des pourparlers directs et bilatéraux", poursuit le communiqué.
L'accord de principe exprime le soutien du Vatican à une solution de "la question palestinienne et du conflit entre Israéliens et Palestiniens dans le cadre de la formule de deux Etats", a précisé Mgr Antoine Camilleri, chef de la délégation du Saint-Siège, dans un entretien au quotidien du Vatican, l'Osservatore Romano.
La paix, une priorité pour le nouveau gouvernement de Netanyahou
La probable prochaine coalition gouvernementale israélienne fait de la paix avec les Palestiniens l'un de ses tout premiers objectifs, selon le texte de ses futures grandes lignes directrices publié mercredi.
"Le gouvernement s'emploiera à faire progresser le processus diplomatique et fera tout son possible pour parvenir à un accord de paix avec les Palestiniens et avec tous (les) voisins (d'Israël), tout en préservant la sécurité et les intérêts historiques et nationaux d'Israël", dit un document communiqué au Parlement et énonçant les principes directeurs de la coalition sur laquelle devrait reposer le prochain gouvernement.
Le Premier ministre sortant Benyamin Netanyahou devrait soumettre son nouveau gouvernement à l'approbation du parlement jeudi ou lundi. M. Netanyahou dispose d'une précaire majorité parlementaire de 61 sièges sur 120, ce qui le met à la merci de la moindre défection.
La recherche de la paix avec les Palestiniens arrive au deuxième rang des priorités de la coalition que M. Netanyahou a formée, derrière le droit des Juifs à un Etat souverain en Israël.
Un accord de paix serait soumis à l'approbation du Parlement et, si nécessaire, à un référendum, dit le document.
M. Netanyahou avait enterré la création d'un Etat palestinien indépendant pendant la campagne en vue des législatives du 17 mars. Il est depuis revenu sur ses propos.
Il a assuré ne s'être jamais rétracté du discours de 2009 dans lequel il a endossé pour la première fois publiquement l'idée d'un Etat palestinien coexistant avec Israël, mais a ajouté que les conditions actuelles ne permettaient pas l'établissement d'un Etat palestinien et qu'elles devaient changer.
Une loi qui ouvre la présentation du gouvernement
Le Parlement israélien a définitivement adopté mercredi une loi qui ouvre la voie à la présentation par Benjamin Netanyahou de son quatrième gouvernement dans les tout prochains jours.
La loi, adoptée de justesse par 61 voix contre 59, va permettre à M. Netanyahou de nommer davantage de ministres qu'auparavant. Il va ainsi pouvoir distribuer plus de portefeuilles aux membres de son parti, le Likoud, et écarter le risque d'une fronde de la part de parlementaires déçus au moment crucial où il demandera au Parlement d'approuver son gouvernement.
La présentation du prochain gouvernement devrait avoir lieu jeudi dans la soirée.
Le texte adopté mercredi reporte à la prochaine législature l'application d'une loi qui limite à 18 le nombre de ministres (sans compter le chef du gouvernement) et à 4 celui des ministres adjoints, tout en interdisant la désignation de ministres sans portefeuille.
Selon le code de la bible c'est sous le regne de Netanyahou qu'aura lieu la 3 eme guerre mondiale.
RépondreSupprimer2016 reste l'année de tous les dangers.
Mistykus