vendredi 17 novembre 2017

Un hiver plus froid avec plus de neige

* Selon le Dr. David Hathaway, scientifique de la NASA, nous entrons dans mini âge glaciaire...

Baisse de température à Paris, Tamise gelée: le monde au seuil d'une période glaciaire

Daily Mail (7 septembre 2013): "Et maintenant c'est le refroidissement climatique global!

À quelques semaines du début de l’hiver, les Services météorologiques au Canada, aux États-Unis et en Europe interrogent les superordinateurs pour avoir une idée de la saison froide qui approche. Aurons-nous beaucoup de neige et de tempêtes? Le météorologue Gilles Brien fait le bilan des prédictions et des dernières tendances avec un aperçu exclusif sur l’hiver 2017-2018.

Après un début d’automne marqué par du temps exceptionnellement chaud, les Québécois feraient bien de se munir de pelles, de tuques et de mitaines. Selon les dernières prévisions du Centre météorologique canadien, qui seront rendues publiques le 30 novembre, l’hiver 2017-2018 devrait être plus neigeux et plus froid que l’an dernier.

L’hiver ne sera pas glacial pour autant, car le degré de confiance est élevé que les températures soient au-dessus des normales, confirmant une tendance vers des hivers plus chauds. [tendance vers des hivers plus chauds, mais on nous annonce un hiver plus froid!]

Comme son petit frère le El Nino, La Nina entraîne des impacts sur la circulation des vents au-dessus du Canada, mais si El Nino réchauffe le Québec, La Nina, elle, le refroidit.

Les températures anormalement élevées du lac Supérieur et du lac Michigan vont retarder la formation de glace. L’humidité des Grands Lacs favorisera davantage de dépressions, de nuages et de chutes de neige sur l’ouest du Québec. Les risques de verglas seront aussi plus grands.

Les premières poussées d’air froid de l’Arctique ont été très précoces en Alberta et dans les Prairies cet automne. Edmonton a connu sa première tempête de neige en septembre.

L’arrivée de masses d’air froid sur le Québec ces derniers jours suggère que l’hiver s’installera rapidement. Alors que la première tempête de neige à Montréal tombe à la mi-décembre, un tapis blanc devrait arriver plus tôt cette année dans le Sud québécois.

Les amateurs de Noëls blancs et de sports d’hiver ont de bonnes raisons de se réjouir. Oui, l’hiver sera plus froid. Mais les conditions ne devraient pas être glaciales comme l’hiver 2013-2014.

Même le fameux Farmer’s Almanach, la bible des agriculteurs nord-américains depuis 1792, prédit un hiver plus froid et plus neigeux au Canada dans sa récente édition de 2018.

Ce retour à un hiver plus traditionnel, après deux hivers très doux, est dû à un refroidissement des eaux à l’équateur, un phénomène météorologique appelé La Nina.

Source:

Citations de scientifiques sceptiques concernant
le réchauffement climatique d'origine anthropique:
Il y a, d’un côté, la parole sacro-sainte du GIEC, les affirmations répétées tant de fois qu’elles en sont devenues des vérités incontestées et non contestables, peu importe leur véracité scientifique, les mantras des ONG environnementales qui ont tout à y gagner et le lavage de cerveau constant de la population depuis la plus tendre enfance. De l’autre, il y a quelques scientifiques, de plus en plus nombreux faut-il le dire, qui essayent de faire entendre leurs voix, qui apportent des arguments scientifiques contradictoires de plus en plus gênants pour les ténors du barbecue mondial. David contre Goliath. Mais la science n’est plus la partie importante de l’équation. Aujourd’hui, le rationnel scientifique et l’argumentation solide, basés sur des faits établis et non des calculs théoriques simplistes et des prédictions plus erronées les unes que les autres, ont laissé la place à l’idéologie, à l’émotionnel, au quasi-religieux. Difficile de dialoguer dans de telles circonstances. (István Markó, 05/06/2017, Contrepoints)
Tous ceux qui croient que les scientifiques et les experts sont protégés par leurs compétences et que jamais le pouvoir en place ne s’autoriserait une quelconque ingérence ont de quoi en être pour leurs frais : face aux politiques, les scientifiques et les experts n’ont pas d’armes. Ils sont toujours les perdants. La seule chose qu’ils doivent réclamer avec constance et insistance, ce n’est pas le soutien du pouvoir (comme l’avaient bêtement fait les climatologues pétitionnaires pour contrer les vilains Claude Allègre et Vincent Courtillot), mais leur indépendance. (Benoît Rittaud, 08/06/2016)
Attribuer une seule cause à un processus aussi complexe est une affirmation risquée. De plus, les prédictions actuelles reposent sur des modèles qui peuvent encore évoluer. Tous nos travaux montrent depuis deux ans l'impact déterminant du Soleil sur le climat. Donnons-nous encore du temps avant de prononcer des affirmations définitives. (Vincent Courtillot, Le Figaro, 30/01/2009)

1 commentaire:

  1. Ils sont schizophrènes ces scientifiques: ils annoncent une chose tout en disant le contraire... D'année en année...

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