* Cette caravane de migrants qui arrive tout près du moment des élections de mi-mandat aux États-Unis pourrait être une "patate chaude" pour Trump si ces milliers de personnes venaient qu'à atteindre la frontière du pays: il a déclaré qu'il était prêt à utiliser son armée pour bloquer leur entrée aux États-Unis. Cette crise migratoire arrive à un bien drôle de "timing": si j'étais conspirationniste, je dirais que Georges Soros est probablement l'instigateur de cette crise!!!
Les autorités mexicaines ont annoncé avoir ouvert samedi leur frontière à des femmes et enfants faisant partie de la « caravane » de milliers de migrants, majoritairement honduriens, qui attendent sur un pont frontalier avec le Guatemala, dans l'espoir de gagner les États-Unis.
L'ambassadeur du Mexique au Guatemala, Luis Manuel Lopez, a précisé à l'AFP que ces migrants allaient être enregistrés par les services migratoires mexicains, puis emmenés dans un lieu d'hébergement à Tapachula, à quelque 40 kilomètres de Ciudad Hidalgo, dans le centre du Mexique.
Des milliers de migrants agglutinés à la frontière
Hommes, femmes, enfants, pour la plupart honduriens fuyant la violence et la pauvreté, ont passé la nuit dans des conditions très précaires derrière la barrière métallique, où étaient déployés environ 200 policiers mexicains antiémeutes.
« Il y a des personnes très agressives, qui n'ont plus de patience », prévient Gina, une étudiante hondurienne de 21 ans, alors que la rumeur enfle sur l'intention d'un groupe de migrants de passer en force.
La veille, les migrants ont enfoncé une clôture métallique du poste-frontière guatémaltèque, puis ont progressé jusqu'au pont frontalier où ils ont été bloqués.
Des médecins de la marine mexicaine traitent à travers les grilles les blessures de plusieurs d'entre eux après les échauffourées de la veille, ainsi que ceux victimes de déshydratation.
Dans une ambiance de plus en plus tendue, quelques migrants ont tenté d'entamer un dialogue avec un commandant mexicain.
« Nous sommes des travailleurs, pas des délinquants! », lui lance l'un d'eux.
« Si vous vous organisez, vous allez pouvoir passer pour qu'on vous accorde un document pour rester dans le pays et travailler, mais si vous vous battez ou si vous tentez de forcer la porte, vous ne passerez pas », leur rétorque le gradé.
Quelque 4000 migrants ont quitté il y a une semaine San Pedro Sula, dans le nord du Honduras, après un appel sur les réseaux sociaux à tenter de gagner les États-Unis en masse, et non par petits groupes comme c'est le cas habituellement, pour notamment s'apporter soutien et protection les uns aux autres. Ils ont circulé à pied ou en autobus jusqu'à la frontière guatémaltèque.
Mais face à la situation à la frontière mexicaine, quelques dizaines de migrants ont décidé de retourner dans leur pays à bord d'autobus fournis par le gouvernement guatémaltèque, après un accord avec le Honduras, a constaté l'AFP.
« Il vaut mieux rentrer, c'est très dur, il y a beaucoup de désordre », commente Byron, 25 ans, attendant de monter dans un autobus. Selon un policier, environ 220 migrants honduriens ont préféré rentrer chez eux et 130 autres, actuellement dans un refuge, s'apprêtaient à en faire de même.
D'autres tentent de traverser le fleuve pour rejoindre la rive mexicaine à bord d'embarcations.
« Le Mexique ne permettra pas l'entrée irrégulière sur son territoire et encore moins de façon violente », a prévenu le président mexicain Enrique Pena Nieto dans un message vidéo, qualifiant la situation d'« inédite ».
« Très dur »
La plupart des migrants accusent le président hondurien Juan Orlando Hernandez de ne pas régler les problèmes sociaux, à l'origine de ces migrations.
Ce dernier doit s'entretenir de la situation, samedi au Guatemala, avec son homologue Jimmy Morales.
Des centaines de personnes ont défilé vendredi à Tegucigalpa, la capitale du Honduras, en soutien à la « caravane ».
« J'exige du gouvernement (mexicain) qu'il respecte les droits humains des migrants » s'est insurgé sur les réseaux sociaux Alejandro Solalinde, un prêtre mexicain, défenseur des migrants sans papiers, qui demande l'ouverture de la frontière mexicaine.
Jeudi, le président américain Donald Trump avait menacé de fermer la frontière avec le Mexique si les autorités mexicaines ne bloquaient pas l'avancée des migrants.
« Je dois, dans les termes les plus fermes, demander au Mexique de stopper cette marche. Si le Mexique n'y arrive pas, je demanderai à l'armée de FERMER NOTRE FRONTIÈRE SUD », avait tweeté le président américain.
Le Honduras est considéré comme l'un des pays les plus violents du monde, avec un taux annuel de 43 homicides pour 100 000 habitants. Comme au Guatemala et au Salvador, les gangs font régner la terreur dans le pays, où 68% des neuf millions d'habitants vivent sous le seuil de pauvreté.
Plus de 500 000 personnes traversent chaque année illégalement la frontière sud du Mexique pour tenter ensuite de remonter vers les États-Unis, selon des chiffres de l'ONU.
Source:
Cette situation est vraiment triste.
RépondreSupprimerComme a lui-même dit Trump à l'ONU lors du dernier discours qu'il y a tenu il y a quelques semaines, il est préférable que les gens restent dans leur propre pays mais qu'on les aide à avoir une vie heureuse et bien remplie, là où ils sont nés.
Ceux qui s'affichent comme faisant preuve d'une grande "humanité" en insistant pour que les frontières soient ouvertes pour accueillir tous ces réfugiés, ne font en somme que de donner leur bénédiction à ce que ces gens soient maltraités dans leur propre pays afin qu'ils puissent aller foutre le bordel dans d'autres pays là où les peuples concernés se verront envahis par des meutes de gens violents et aigris, possédant une culture autre que la leur et qui bientôt les anéantiront en tant que peuple.
On va se demander : "Mais pourquoi les gouvernements feraient-ils une telle chose ?", mais simplement pour avoir un meilleur contrôle de leur population qui sera formée de gens qu'aucune culture commune ne rassemble et qui puisse leur faire dire "Nous formons un peuple !". Les gouvernements auront un meilleur contrôle puisque devant eux, ce n'est pas un peuple qui se dressera, mais des individus séparés et isolés les uns des autres.
Il vaut vraiment mieux que tous restent chez eux et y vivent une vie paisible. L'entraide entre les individus doit renaître, l'entraide entre les peuples doit remplacer toute propension à un mondialisme qui n'a jamais donné de preuves comme quoi cela améliorait la situation des peuples mais qui a toujours donné la preuve éclatante que cela savait enrichir outrageusement les banquiers internationaux.
Vos gouvernements sont à la solde de ces banquiers, sachez-le. Ils ne vous défendent pas, ils mettent simplement en place les conditions qu'ils jugent être les meilleures afin que de vous tondre au maximum. Continuez donc à bêler de satisfaction lorsque vous recevrez votre chèque de paye qui ne représente réellement qu'une infime partie du gros gâteau que les banquiers et leurs valets gouvernementaux se partageront.
L'humanité doit appliquer une politique d'occupation respectueuse du territoire avec des règles visant à venir en aide à toute population en danger, la déplacer au besoin en un endroit qui ne soit pas tellement éloigné afin qu'elle puisse revenir à son lieu d'origine pour le reconstruire, aussitôt que la catastrophe sera terminée.
Regardez attentivement : tout le bordel qui existe chez vous et ailleurs a délibérément été produit par la petite clique des banquiers internationaux qui sont une vraie plaie pour l'humanité et qu'il faudra bien un jour trouver le moyen de neutraliser.
Saviez-vous qu'en fonction de la démocratie dans laquelle vous vivez, vous avez la possibilité de prendre une décision démocratique, par référendum, quant à savoir comment les richesses doivent être réparties. Vous pourriez décider démocratiquement de ce que pourrait être la fortune maximum de tout individu, de même que quel devrait être le rapport maximum existant entre le salaire du plus bas salarié et de celui du plus haut salarié pour l'ensemble du pays.
Saviez-vous que vous avez cette capacité ? Il s'agit simplement d'en faire une demande claire nette et précise à son gouvernement de par une large coalition de gens de bien qui décident de prendre les choses en mains et d'aller manifester en masse pour obtenir qu'un référendum soit tenu sur n'importe laquelle des questions de ce genre. Oui, vous avez ce pouvoir, ensemble.