mercredi 4 juin 2025

Réaction de Stéphane Guay à l'approbation de mNEXSPIKE!

 


Message de Stéphane Guay, qui détient une formation en microbiologie et en biologie moléculaire.

Comment faire entrer la "dissidence" dans la cage à homard?

Observez bien la "résistance" justifier cette décision insensée concernant l'approbation du vaccin mNEXSPIKE de Moderna, tel qu'annoncée par Robert F. Kennedy Jr le 3 juin:

https://x.com/SecKennedy/status/1930012848056365294?t=OlHN4FkCux3zyOk6vNcsGw&s=19

À l’heure où de nouveaux projets de vaccins à ARNm sont en cours d’élaboration, il est plus que jamais nécessaire de s’interroger, avec rigueur et transparence, sur les leçons réellement tirées des campagnes précédentes.

Peut-on, éthiquement et scientifiquement, développer un vaccin sans répondre clairement à plusieurs préoccupations majeures qui ont pourtant été démontrées scientifiquement au cours des dernières années ?

👉Contaminations résiduelles et ADN plasmidique.

Des analyses indépendantes ont révélé la présence de bonne quantité d’ADN résiduel, notamment des fragments plasmidiques, dans plusieurs lots de vaccins COVID-19. Cette contamination, une non-conformité majeure aux standards de bioproduction, soulève des inquiétudes légitimes : quels sont les risques d’intégration de cet ADN dans le génome humain ? Quelle surveillance a été mise en place ? Peut-on ignorer ces signaux d’alerte ?

👉Présence de promoteurs viraux comme le SV40

Plusieurs etudes ont démontré la présence de séquences dérivées du virus simien SV40 dans les vecteurs utilisés. Or, le promoteur SV40 est connu pour ses propriétés hautement actives en biologie moléculaire, y 🤚compris dans des lignées humaines. L’utiliser dans un produit injectable de masse sans étude exhaustive sur son potentiel oncogène est-il responsable ?

👉Immunomodulation par IgG4 et risques cancérogènes

Les réponses immunitaires biaisées vers une production d’anticorps de type IgG4, observées dans plusieurs situations post-vaccinales, interpellent : ces anticorps sont normalement associés à une tolérance accrue, voire à une forme d’immunosuppression dans des contextes tumoraux. Peut-on balayer d’un revers de main l’hypothèse que cela puisse interférer avec la surveillance immunitaire du cancer, en particulier chez les personnes à risque ?

👉Spike : quelle bioactivité, quelles preuves ?

La spike codée par le vaccin a-t-elle été rigoureusement étudiée pour ses effets biologiques propres ? Possède-t-elle une bioactivité prolongée dans l’organisme ?
Inhibe-t-elle la protéine P53, gardienne reconnue de l'intégrité de notre patrimoine génétique?

Peut-elle se fixer sur d'autres récepteurs que le ACE2 ? Existe-t-il des études précliniques indépendantes détaillant ses effets sur les cellules endothéliales, les mitochondries ou le système nerveux ?

👉ARNm optimisé : au prix de quoi ?

L’utilisation de nucléotides modifiés comme la pseudouridine a permis de stabiliser l’ARNm et d’augmenter sa traduction. Mais cela a aussi été associé à des dérèglements de la lecture du code génétique (frame shifting) et à la production certaine de protéines tronquées, mal repliées ou immunogènes. Où en est la recherche sur ces phénomènes ? Peut-on réellement parler de sécurité si l'on ignore les mécanismes exacts de dégradation et de traduction de ces séquences modifiées dans l’organisme humain ?

👉Une nouvelle opération Warp Speed ?

Ce nouveau vaccin mNEXSPIKE sera-t-il lancé à marche forcée, sous le sceau d’une procédure accélérée, comme ce fut le cas avec l’opération Warp Speed ? Si oui, peut-on assurer que les phases de toxicologie, de pharmacocinétique, de biodistribution et d’études à long terme seront complètes et publiquement accessibles avant toute autorisation de mise sur le marché ?

De tels mécanismes de sécurité exige une décennie d'études et de recherche pour assurer une sécurité aux injectés.

Osez vous poser des questions et sortez de la cage!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Archives du blog

Membres

Qui êtes-vous ?

Rechercher dans ce blog

Articles les plus consultés