* Voir les commentaires de Carlos Ramirez à propos de ces radiations auxquelles ont été exposées les voyageurs.
Normalement, les tempêtes de rayonnement solaire sont maintenues à distance par le champ magnétique et la haute atmosphère de notre planète. Le 10 septembre, cependant, il y a eu un "ground level event" ("événement au niveau du sol", GLE). Les moniteurs de neutrons dans l'Arctique, l'Antarctique et plusieurs autres endroits de latitude élevée ont détecté une poussée de particules atteignant la surface de la Terre.
"L'événement du 10 septembre 2017 est loin d'être le plus fort, mais il est particulièrement intéressant car il démontre la nécessité d'une vigilance continue et ce, même pendant un minimum solaire".
Source:
http://spaceweather.com/
Donc si mes mathématiques sont bonnes, certaines personnes ont de réelles chances d'avoir au minimum quadruplé l'exposition habituelle ! Car selon l’étude menée par la NASA, Automated Radiation Measurements for Aerospace Safety (ARMAS), ils ont été surpris de constater que l’exposition en vol avait DOUBLÉE OU PLUS. Alors que les trajectoires ou altitudes des avions étaient constants, ils traversaient parfois des « bulles » de radiations cosmiques intenses ALORS QU’IL N’Y AVAIT AUCUNE ACTIVITÉ NOTABLE AU NIVEAU DU SOLEIL selon le rapport. Ce qui avait surpris les chercheurs ! D’un autre côté, l’activité solaire réduit les rayonnements cosmiques, alors peut-être que le match sera nul. Et il reste bien sûr la magnétosphère en déclin ! La hausse des radiations cosmiques s’amplifie rapidement considérant l’échelle de temps. Depuis 2015 selon quelques études et, je considère mes propres résultats sur les précipitations comme un proxy supplémentaire. D’ailleurs, j’ai pu profiter de l’activité des derniers jours pour tester des échantillons d’eau de pluie en pleine sévère tempête magnétique G4 et de radiations S2(+air 1 mètre du sol). Des résultats qui renforcent la théorie selon laquelle le Soleil est en grande partie responsable par la faiblesse de son champ magnétique et l’aplatissement de son courant héliosphérique. J’ai obtenu des résultats (avec double vérification) très inférieurs à ma moyenne habituelle. De plus en plus de particules cosmiques entrent dans notre système alors que notre étoile se dirige vers un sommeil. Le regain soudain a pu repousser brièvement les astroparticules.
RépondreSupprimerNous sommes entre 2 feux, c'est important de le comprendre.
Voici mes résultats :http://www.lepouvoirdelaconnaissance.com/2017/09/activite-solaire-des-derniers-jours-et-la-radioactivite-dans-l-air-et-les-precipitations-au-quebec.html
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