Un laboratoire de sang assez petit pour être implanté sous la peau pourrait révolutionner les soins de santé. Mesurant à peine 14mm de long, il utilise un téléphone mobile pour envoyer des mises à jour sur la santé d'un patient au personnel médical.
L'équipe de l'École polytechnique de Lausanne dit que ce gadget pourrait être précieux pour les patients subissant une chimiothérapie et pour avertir de l'imminence d'une attaque cardiaque. Des capteurs placés sur la puce sont recouverts d'une enzyme qui réagit avec les produits chimiques dans le corps pour les mesurer.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire