* La panique, prudente, des parents et de la population risque de causer des troubles civils importants, voire même une hystérie collective qui pourrait déclencher des mesures coercitives...
http://www.star-telegram.com/2014/10/01/6165611/officials-say-only-one-ebola-case.html
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RépondreSupprimerJe ne qualifiais pas la panique comme étant négative, je l'ai plutôt qualifiée de prudente.
RépondreSupprimerJe vais être la première à sortir mes enfants de l'école. Ce que je voulais dire en fait, c'est que les gens vont très vite paniquer et ce fait, quoique légitime dans devant une telle situation cauchemardesque, risque de causer des désordres civils majeurs qui auront des conséquences presque aussi dévastatrices que le virus lui-même (même si la mort est de loin la pire des conséquences).
Nous pourrions assister, très bientôt, à une crise humanitaire et sanitaire à l'échelle mondiale et il nous faut prévoir "quelques coups" d'avance. Devant une panique généralisée, les tablettes des épiceries seront vidées en quelques heures, les services publics seront interrompus, les chèques gouvernementaux ne seront pas envoyés, les gens n'iront plus travailler et les enfants n'iront plus à l'école... Ça risque de devenir hors de contrôle et nous pourrions être appelés à vivre totalement coupés de toutes les commodités.
Sans compter que les autorités pourraient décréter la vaccination obligatoire, des mises en quarantaine, des ordres d'isolement... et après crise, exiger que les enfants aient reçu le vaccin pour réintégrer l'école, que les travailleurs aient reçu le vaccin pour réintégrer leur emploi, même que tous aient reçu le vaccin pour bénéficier des services publics. Quelle belle occasion à saisir que cette crise de l'Ebola pour amener la population à se soumettre à "leurs règles"...
Une population traumatisée est une population qui est facile à contrôler.
Pensons-y très sérieusement parce que ça devrait dépasser toutes les théories du complot!!!