Si vous pensez que "ce sera mieux ou moins pire" avec Trump, lisez bien ceci: ce sont les fondations d'un État policier technocratique digne des plus effroyables dystopies!
"Le 28 avril 2025, le président Donald Trump a signé un décret intitulé « Renforcer et libérer les forces de l'ordre américaines pour poursuivre les criminels et protéger les citoyens innocents ».
Cette directive élargit considérablement le rôle du gouvernement fédéral dans les services de police locaux, 👉brouillant les frontières entre les forces de l'ordre civiles et les opérations militaires. 👉Elle autorise le transfert d'équipements militaires excédentaires aux services de police locaux, augmente le financement fédéral des forces de l'ordre et offre des protections juridiques aux agents accusés de mauvaise conduite.
Ses détracteurs affirment que 👉cette mesure accélère la militarisation de la police et porte atteinte aux libertés civiles.
Un pas vers une police militarisée
Le décret ordonne au procureur général et au secrétaire à la Défense 👉d'« accroître la mise à disposition de moyens militaires et de sécurité nationale excédentaires dans les juridictions locales afin de soutenir les forces de l'ordre des États et des collectivités locales ».
👉Ces moyens comprennent des armes, des véhicules et du matériel de surveillance de qualité militaire, transformant ainsi les forces de police locales en unités paramilitaires.
👉De telles mesures suscitent des inquiétudes quant à l'érosion de la loi Posse Comitatus, qui interdit le recours à l'armée pour le maintien de l'ordre au niveau national.
Contexte historique et avertissements
Les Pères fondateurs ont mis en garde contre les dangers d'une armée permanente. James Madison a déclaré : « Une force militaire permanente, avec un exécutif démesuré, ne sera pas longtemps un compagnon sûr de la liberté. » La militarisation croissante de la police fait écho à ces préoccupations, suggérant une évolution vers une gouvernance autoritaire.
Implications pour les libertés civiles
La protection juridique offerte par le décret aux policiers accusés de mauvaise conduite reflète une évolution plus profonde vers un État policier technocratique , où la responsabilité est remplacée par une protection institutionnelle. En établissant des mécanismes fédéraux pour défendre légalement les agents et en encourageant les poursuites contre les responsables locaux qui s'opposent aux priorités fédérales en matière de police, le décret place l'application de la loi au-dessus du contrôle civil."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire