* J'ai reçu une lettre d'une collègue du milieu scolaire destinée à toutes les directions scolaires du Québec. Cette lettre a été envoyée à ma collègue par accident, elle ne devrait pas se trouver entre nos mains...
Encore une campagne de vaccination est prévue pour la rougeole, à partir de novembre, dans toutes les écoles publiques, privées et écoles juives du Québec. Cette vaccination cible les enfants qui n'ont pas reçu leurs deux doses de vaccins à l'âge de 12 mois et 18 mois, ainsi que le personnel scolaire né après 1970.
Cette campagne n'est pas encore annoncée pour tous les citoyens du Québec, mais j'ai bien l'impression que ça ne saurait tarder!
Dans la lettre que vous pourrez lire à la suite, vous constaterez qu'un fichier central de vaccination est actuellement en création afin de pouvoir identifier les gens qui sont vaccinés et ceux qui ne le sont pas.
Il y a eu des échos médiatiques en septembre dernier concernant une supposée recrudescence des cas de rougeole. Une opération de propagande qui visait à préparer le public à une vaccination de masse...
Dans la lettre que vous pourrez lire à la suite, vous constaterez qu'un fichier central de vaccination est actuellement en création afin de pouvoir identifier les gens qui sont vaccinés et ceux qui ne le sont pas.
Il y a eu des échos médiatiques en septembre dernier concernant une supposée recrudescence des cas de rougeole. Une opération de propagande qui visait à préparer le public à une vaccination de masse...
Comment se fait-il que l'on avertisse les directions scolaires d'une campagne de vaccination majeure qui débutera en novembre seulement 2-3 semaines à l'avance? Les directions ont reçu la lettre le 19 octobre dernier et la vaccination des élèves du secondaire doit commencer à la mi-novembre. Ça donne l'impression que le court laps de temps entre l'annonce et la mise en place de la vaccination vise à réduire toute forme de résistance.
Dans les derniers jours, dans toutes les écoles du Québec, les filles de 4ème année et de secondaire 3 ont reçu le Gardasil (VPH), tandis que les garçons de 4ème année et de secondaire 3 ont reçu celui contre l'hépatite B. Je travaille dans les écoles et lors de cette vaccination, on m'a chargé de veiller sur les élèves après qu'ils aient reçu leurs vaccins. Trois jeunes filles et un garçon ont dû recevoir des soins de la part des infirmières parce qu'ils ont tous perdu connaissance. Les filles recevront leur rappel de Gardasil en décembre.
L'infirmière en chef m'a confié que son équipe trouve que la Régie de la Santé est en train de créer une véritable dictature vaccinale, qu'elles n'ont jamais vu autant de vaccins être administrés aux enfants et si peu de temps. Il semble que plusieurs infirmières ne sont pas d'accord avec ce zèle vaccinal.
Franchement, je suis outrée de cette propagande vaccinale qui nous confirme un peu plus la collusion entre la Santé publique, la communauté médicale et les pharmaceutiques qui s'emplissent les poches avec ces dizaines de milliers de doses payées par l'État, par l'argent de nos taxes.
Et les effets secondaires à moyen terme suite à l'injection de 2-3-4-5 doses de vaccins dans un court interval de temps?
Voici, ci-bas, la lettre que les directions d'école ont reçue en date du 19 octobre. Désolé pour la mise en page de lettre.
J'ai besoin de personnes qui sont en mesure de vérifier les faits énoncés dans la lettre. Il s'agit en fait de valider les données statistiques et tout ce qui est fourni comme informations pour tenter de justifier la vaccination contre la rougeole.
Merci. Isabelle
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Gouvernement du Québec
Québec::
Gouvernement du Québec
Québec, le 19 octobre 20Il
Mesdames les Directrices générales et
Messieurs les Directeurs généraux de commission scolaire,
Mesdames les Directrices générales et
Messieurs les Directeurs généraux d'établissement privé,
Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a demandé la collaboration du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport et de ses réseaux scolaires pour le soutenir dans ses efforts visant à freiner les éclosions de rougeole au Québec. Au cours des derniers mois, il y a eu plus de 750 cas de rougeole au Québec et les groupes les plus touchés sont les jeunes âgés de 10 à 19 ans, suivis des 5 à 9 ans. Les milieux scolaires sont particulièrement propices à la transmission de la rougeole compte tenu de la proximité d'un grand nombre d'étudiants qui ne sont pas adéquatement protégés par les deux doses de vaccin habituellement offertes entre l'âge de 12 et 18 mois.
La rougeole est une maladie très contagieuse causée par un virus qui se transmet facilement par voie aérienne. C'est une maladie évitable par la vaccination. D'une durée d'une à deux semaines, elle se manifeste par un ensemble de symptômes, dont la forte fièvre, la toux, l'écoulement nasal, la conjonctivite et des rougeurs cutanées. La rougeole n'est pas une infection banale. Ses complications les plus fréquentes sont les otites et les infections pulmonaires. Elle peut aussi occasionner d'autres complications, dont certaines graves comme une encéphalite (1 cas sur 1 000) et même le décès (1 cas sur 3 000). L'encéphalite entraîne des dommages cérébraux permanents dans 25 % des cas et le décès dans 15 % des cas. Environ 10 à 15 % des cas nécessitent une hospitalisation.
Malgré que la médecine ait fait des bonds prodigieux dans le traitement de nombreuses maladies, la morbidité et la mortalité de la rougeole demeurent constantes dans le temps. L'éclosion actuelle en France en fournit un exemple éloquent. Pour les huit premiers mois de 2011, sur environ 14600 cas, on dénombre 16 encéphalites et 6 décès consécutifs à la rougeole.
Mise en place d'un fichier vaccinal
Le MSSS a entrepris des travaux pour mettre en place un fichier qui permettrait d'identifier les élèves et le personnel susceptibles de contracter la maladie (n'ayant reçu aucune dos de vaccin ou en ayant reçu une). Le MSSS travaille actuellement à établir les modalités pour la mise en place d'un tel fichier. Cet outil pourrait permettre aux infirmières des centres de santé et de services sociaux (CSSS), aux écoles et aux parents d'économiser du temps qui serait autrement requis pour la vérification des carnets de vaccination de chaque enfant et du personnel.
Campagne de vaccination en milieu scolaire
Le MSSS souhaite réaliser une campagne de vaccination ciblée en milieu scolaire pour les écoles primaires et secondaires. Afin d'assurer une protection contre la maladie, le vaccin serait offert aux élèves qui n'ont pas reçu les deux doses recommandées. Le MSSS estime qu'environ 10 à 15 % des élèves se verront offrir la vaccination. Le nombre sera variable selon les territoires, certaines régions ayant de meilleures couvertures vaccinales que d'autres. Le consentement des parents devra être obtenu pour les élèves n'ayant pas 14 ans.
Le personnel scolaire devrait aussi avoir les doses recommandées selon l'âge. Les personnes nées avant 1970 sont considérées protégées, car la maladie circulait à ce moment. Afin d'être considérées protégées contre la maladie, les personnes nées entre 1970 et 1980 devraient avoir reçu une dose de vaccin, tandis que celles nées après 1980 devraient en avoir reçu deux.
La vaccination en milieu scolaire débuterait vers la mi-novembre pour les écoles du secondaire et se poursuivrait pour le primaire. La planification de cette vaccination en milieu scolaire se fera entre CSSS de chacune des régions et les commissions scolaires et les établissements d'enseignement privé de leur territoire.
Collaboration du milieu de l'éducation
Les CSSS solliciteront les établissements scolaires de leur territoire pour obtenir leur collaboration, qui est essentielle à la mise en place de cette campagne de rattrapage de la vaccination contre la rougeole.
Partage des responsabilités
Vous trouverez ci-joint un tableau présentant le partage des responsabilités entre les milieux scolaires et le milieu de la santé dans le cadre de cette opération. Vous remerciant de votre collaboration, nous vous prions d'agréer l'expression de nos meilleurs sentiments.
La rougeole est une maladie très contagieuse causée par un virus qui se transmet facilement par voie aérienne. C'est une maladie évitable par la vaccination. D'une durée d'une à deux semaines, elle se manifeste par un ensemble de symptômes, dont la forte fièvre, la toux, l'écoulement nasal, la conjonctivite et des rougeurs cutanées. La rougeole n'est pas une infection banale. Ses complications les plus fréquentes sont les otites et les infections pulmonaires. Elle peut aussi occasionner d'autres complications, dont certaines graves comme une encéphalite (1 cas sur 1 000) et même le décès (1 cas sur 3 000). L'encéphalite entraîne des dommages cérébraux permanents dans 25 % des cas et le décès dans 15 % des cas. Environ 10 à 15 % des cas nécessitent une hospitalisation.
Malgré que la médecine ait fait des bonds prodigieux dans le traitement de nombreuses maladies, la morbidité et la mortalité de la rougeole demeurent constantes dans le temps. L'éclosion actuelle en France en fournit un exemple éloquent. Pour les huit premiers mois de 2011, sur environ 14600 cas, on dénombre 16 encéphalites et 6 décès consécutifs à la rougeole.
Mise en place d'un fichier vaccinal
Le MSSS a entrepris des travaux pour mettre en place un fichier qui permettrait d'identifier les élèves et le personnel susceptibles de contracter la maladie (n'ayant reçu aucune dos de vaccin ou en ayant reçu une). Le MSSS travaille actuellement à établir les modalités pour la mise en place d'un tel fichier. Cet outil pourrait permettre aux infirmières des centres de santé et de services sociaux (CSSS), aux écoles et aux parents d'économiser du temps qui serait autrement requis pour la vérification des carnets de vaccination de chaque enfant et du personnel.
Campagne de vaccination en milieu scolaire
Le MSSS souhaite réaliser une campagne de vaccination ciblée en milieu scolaire pour les écoles primaires et secondaires. Afin d'assurer une protection contre la maladie, le vaccin serait offert aux élèves qui n'ont pas reçu les deux doses recommandées. Le MSSS estime qu'environ 10 à 15 % des élèves se verront offrir la vaccination. Le nombre sera variable selon les territoires, certaines régions ayant de meilleures couvertures vaccinales que d'autres. Le consentement des parents devra être obtenu pour les élèves n'ayant pas 14 ans.
Le personnel scolaire devrait aussi avoir les doses recommandées selon l'âge. Les personnes nées avant 1970 sont considérées protégées, car la maladie circulait à ce moment. Afin d'être considérées protégées contre la maladie, les personnes nées entre 1970 et 1980 devraient avoir reçu une dose de vaccin, tandis que celles nées après 1980 devraient en avoir reçu deux.
La vaccination en milieu scolaire débuterait vers la mi-novembre pour les écoles du secondaire et se poursuivrait pour le primaire. La planification de cette vaccination en milieu scolaire se fera entre CSSS de chacune des régions et les commissions scolaires et les établissements d'enseignement privé de leur territoire.
Collaboration du milieu de l'éducation
Les CSSS solliciteront les établissements scolaires de leur territoire pour obtenir leur collaboration, qui est essentielle à la mise en place de cette campagne de rattrapage de la vaccination contre la rougeole.
Partage des responsabilités
Vous trouverez ci-joint un tableau présentant le partage des responsabilités entre les milieux scolaires et le milieu de la santé dans le cadre de cette opération. Vous remerciant de votre collaboration, nous vous prions d'agréer l'expression de nos meilleurs sentiments.
Sous-ministre adjoint à l'éducation
la préscolaire et à l'enseignement primaire
et secondaire et responsable des régions
Ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport
Alain Poirier
Sous-ministre adjoint et Directeur
national de santé publique
Ministère de la Santé et des
Services sociaux
c. c. MmeLouise Pagé, sous-ministre, ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport
M. Jacques Cotton, sous-ministre, ministère de la Santé et des Services sociaux
Mme Pâquerette Gagnon, directrice générale, Fédération des commissions
scolaires du Québec
M. David Birnbaum, directeur exécutif, Association des commissions scolaires
anglophones du Québec
M. Serge Pelletier, président, Association des directeurs généraux des
commissions scolaires
M. Mike Dawson, président, Association des directeurs généraux des
commissions scolaires anglophones du Québec
M. Jean-Marc Saint-Jacques, président, Fédération des établissements
d'enseignement privés
MmeElaine Brooke, présidente, Association des écoles privées du Québec
MmeRachel Cohen, présidente, Association des écoles juives
la préscolaire et à l'enseignement primaire
et secondaire et responsable des régions
Ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport
Alain Poirier
Sous-ministre adjoint et Directeur
national de santé publique
Ministère de la Santé et des
Services sociaux
c. c. MmeLouise Pagé, sous-ministre, ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport
M. Jacques Cotton, sous-ministre, ministère de la Santé et des Services sociaux
Mme Pâquerette Gagnon, directrice générale, Fédération des commissions
scolaires du Québec
M. David Birnbaum, directeur exécutif, Association des commissions scolaires
anglophones du Québec
M. Serge Pelletier, président, Association des directeurs généraux des
commissions scolaires
M. Mike Dawson, président, Association des directeurs généraux des
commissions scolaires anglophones du Québec
M. Jean-Marc Saint-Jacques, président, Fédération des établissements
d'enseignement privés
MmeElaine Brooke, présidente, Association des écoles privées du Québec
MmeRachel Cohen, présidente, Association des écoles juives
Vaccination obligatoire ou libre ?? Je dois me préparer car l'infirmière de notre école est assez coréace et pas mal agressive dans le sujet. Je t'en ai déjà parlé par le passé. Je vais ressortir ma lettre de refus de l'année dernière et me préparer. Fort probable aussi que le jour de la vaccination je vais trouver un prétexte pour qu'elles soient absentes. Dans les années 90, la campagne avait été assez agressive. Je ne connaissais pas mes droits et on m'avait forcé a faire vacciner mes enfants.
RépondreSupprimerSusanna
La rougeole est une maladie infantile qui sans être bénigne n'est mortelle que dans de très rares occasions. La rougeole n'est pas une maladie "ordinaire" ,elle participe à l'élaboration du système immunitaire de l'enfant. Lorsque l'enfant a fait sa rougeole il est protégé à vie ! Ce n'est pas le cas des enfants vaccinés dans leur jeune age. L' épidémie de rougeole Française dont parle l'article concerne des ado et jeunes adultes vaccinés dont la protection n'est plus efficace. La rougeole déclarée chez l'adulte est une forme grave mais encore une fois elle n'affecte que les personnes vaccinées. Les décès enregistrés pendant cette épidémie sont des ado ou des adultes vaccinés durant la petite enfance et qui sont en fait immuno déprimés face à la rougeole. L'article essaie de nous faire croire que les adultes qui ont fait la rougeole courent un risque , ce qui n'est pas vrai.La vaccination de la rougeole chez les jeunes enfants fait de la rougeole une maladie mortelle parmi les adultes vaccinés alors qu'elle est banale chez les nourrissons et les petits enfants. La vaccination néonatale a de ce fait créé les conditions morbides nécessaires qui justifient auprès des populations affolées la vaccination des adultes.CQFD.Cette pratique vaccinale obligatoire est selon mon point de vue CRIMINELLE.
RépondreSupprimerde la part de schuss,
praticien de santé .
Bonjour,
RépondreSupprimerPour info, ici en France, j'ai été surprise de constater que dans les magasins la radio diffusée faisait état d'une campagne de vaccination contre la rougeole (prétextant qu'elle revenait en force) à l'adresse des enfants mais également des adultes. Ces messages revenaient environ toutes les 10 mn : Un vrai lavage de cerveau!!! C'est tout nouveau, ça vient de sortir...