* Je continue de croire que cette "menace existentielle" peut être fondée, mais que les autorités brandissent cette menace sous de faux préceptes, comme un berger qui agite son bâton pour apeurer les moutons. Je suis quotidiennement les recherches et publications de scientifiques (astrophysicien, climatologues, physiciens, etc.) qui dénoncent non pas la réalité des changements climatiques, mais l'imposture de la théorie des changements climatiques causés par le réchauffement global d'origine humaine. Ces scientifiques ne nient pas que s'opèrent en ce moment des changements majeurs et potentiellement très inquiétants à court et moyen terme, mais ils nient fermement que l'homme puisse avoir une quelconque responsabilité et influence sur les causes et les impacts.
J'ai suffisamment fait la démonstration que le prétendu "consensus scientifique" est financé par l'ONU et a pour objectif de justifier la "taxe carbone" et autres taxes déguisées qui sont imposées aux gouvernements du monde au nom de la protection de l'environnement via les Conventions, les Traités, les Protocoles, les Conférences, les Accords, les Stratégies... tout ça pour en arriver en 2018 à: "dans 2 ans, c'est fini"! On voit bien que c'est du gros n'importe quoi et que peu importe le nombre de bouteilles de plastique que l'on va recycler et peu importe le nombre de voitures que l'on va convertir à l'électricité, ça ne va strictement rien changer puisque les changements climatiques sont induits par le plus puissant acteur du système solaire: le Soleil!
Voici le plus récent graphique des données satellitaires des anomalies de la température mondiale: non, il n'y a pas de réchauffement climatique! Les scientifiques dont je fais mention ici-haut croient, à la lumière des données provenant du Soleil (minimum solaire, rareté du nombre de taches) et de multiples autres paramètres (faiblesse du champ magnétique terrestre, rayons cosmiques entrant dans notre atmosphère, etc.), que nous avons intérêt à envisager des hivers de plus en plus froids et des saisons de culture de plus en plus courtes, que nous assisterons à des éruptions volcaniques et à des séismes de plus en plus fréquents (c'est déjà le cas), à des pluies plus abondantes, à des désordres climatiques évidents. Toutes ces manifestations n'ont rien à voir avec les rejets de Co2, mais avec les mécanismes complexes qui déterminent le climat terrestre.
Le monde a deux ans pour agir contre le changement climatique sinon il affrontera des "conséquences désastreuses", a averti l'ONU, en appelant la société civile à réclamer "des comptes" aux dirigeants de la planète.
C’est un compte à rebours qu’il a lancé. Et qui sonne comme une annonce de fin du monde. Lundi, le chef de l’ONU, Antonio Guterres, a prononcé un discours particulièrement alarmiste, autour de la question climatique. "Nous sommes confrontés à une menace existentielle directe", dit-il. "Le changement climatique est la question déterminante de notre époque - et nous sommes à un moment décisif. Le changement climatique évolue plus vite que nous et sa rapidité a provoqué un séisme à travers le monde.
Pour lui, c’est clair : "Si nous ne changeons pas de cap d'ici 2020, nous risquons de manquer le moment où nous pouvons éviter un changement climatique incontrôlé, avec des conséquences désastreuses pour les humains et tous les systèmes naturels qui nous soutiennent."
Le secrétaire général de l'ONU dresse un bilan particulièrement inquiétant de l'état de la planète : "Nous connaissons des températures record dans le monde entier", dit-il. "Selon l’Organisation météorologique mondiale, au cours des deux dernières décennies, 18 des années les plus chaudes depuis 1850 ont été enregistrées et cette année s'annonce comme la quatrième plus chaude. Les vagues de chaleur extrêmes, les incendies, les tempêtes et les inondations laissent une trace de mort et de dévastation."
"Trop de dirigeants ont refusé d'écouter", Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONUé
Il estime encore que "nous avons été prévenus. Les scientifiques nous le disent depuis des décennies", mais que "beaucoup trop de dirigeants ont refusé d'écouter." Et selon lui, les résultats sont déjà visibles. "Dans certaines situations, ils ressemblent aux pires scénarios des scientifiques."
Le chef des Nations unies cite ainsi la banquise arctique qui "disparaît plus vite que nous ne l'avions imaginé" ; le fait que cette année, pour la première fois, des glaces de mer épaisses et permanentes au nord du Groenland ont commencé à se fragmenter ; un réchauffement "spectaculaire dans l'Arctique qui affecte les conditions météorologiques dans l'hémisphère nord" ; ou encore des feux de forêt durent plus longtemps et se propagent davantage.
Autre conséquence qu’il décrit : "Les océans deviennent de plus en plus acides, et menacent les fondements des chaînes alimentaires qui soutiennent la vie. Et, sur terre, le niveau élevé de dioxyde de carbone dans l'atmosphère rend les cultures de riz moins nutritives, menaçant le bien-être et la sécurité alimentaire de milliards de personnes."
La société doit interpeller les dirigeants
Face à ce désastre annoncé, Antonio Guterres estime qu’il est encore possible d’agir. Même si manque selon lui la volonté politique des dirigeants. "Nous savons ce que nous devons faire. Et nous savons même comment le faire. Nous avons les outils pour rendre nos actions efficaces."
L’Accord de Paris, signé il y a trois ans, qui qui prévoit de contenir d'ici à 2100 le réchauffement climatique "bien en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels", était "vraiment le strict minimum pour éviter les pires impacts du changement climatique". Mais même ces objectifs ne seront pas tenus. "Ce qui nous manque encore, même après l’Accord de Paris, c’est le leadership et l’ambition de faire ce qui est nécessaire."
Antonio Guterres en appelle aux dirigeants, et appelle chacun à se mobiliser. "Il est impératif que la société civile - jeunes, groupes de femmes, secteur privé, communautés religieuses, scientifiques et mouvements écologiques dans le monde - demande des comptes aux dirigeants", a insisté le secrétaire général des Nations unies. Dans son discours, il cite plusieurs pistes : "Nous devons arrêter la déforestation, restaurer les forêts détériorées et changer notre manière de cultiver". Il faut aussi revoir "la manière de chauffer, de refroidir et d'éclairer nos bâtiments pour gaspiller moins d'énergie".
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