mercredi 1 février 2012

Les accrocs aux "pilules magiques": ce que les parents doivent savoir avant d'accepter de médicamenter leur enfant

Ritalin, Concerta, Strattera, des "petites pilules" qui, dans les premiers mois, vont agir sur les enfants de façon presque miraculeuse.  Mais au-delà d'une meilleure performance à l'école et d'un état d'alccalmie, ces enfants provisoirement "guéris" montreront tôt ou tard des comportements de mésadaptation qui en feront de vrais drogués: tolérance au médicament exigeant une augmentation incessante de la dose, changement du type de médicament suite à des réactions négatives, effets secondaires importants: insomnie, perte de l'appétit, trouble ancieux, tics, etc.

Je travaille dans les écoles depuis 15 ans et je ne peux que constater une augmentation scandaleuse des enfants qui reçoivent un "diagnostic" de médecins généralistes qui n'ont, pour la plupart, aucun test clinique pour identifier les enfants "hyperactifs" ou ayant un "déficit d'attention".  Ces médecins se basent sur des fiches comportementales où l'enfant doit démontrer un certain nombre de comportements associés au trouble pour ainsi se mériter le diagnostic.  Ce n'est pas sérieux!  Des équipes multidisciplinaires, composées de neurologues et pédo-psychiatres vont quant à elles être plus rigoureuses dans leur analyse.  Toutefois, des difficultés scolaires significatives et un état de distraction important suffisent à soupçonner le "TDA" (Trouble Déficit de l'Attention).

Les parents qui ont des enfants ayant des difficultés scolaires ou des troubles de comportement s'en remettent à la médecine, à l'industrie pharmaceutique, parce qu'ils ne voient aucune autre alternative.  Étant eux-même dans un état d'épuisement face à un trouble d'hyperactivité ou constatant les échecs scolaires majeurs de leur enfant, ils se tournent vers les "petites pilules" en désespoir de cause. 

Le système scolaire met énormément de pression sur les parents pour qu'ils consultent un "spécialiste", pour qu'une investigation soit menée quand un enfant ne fonctionne pas "comme la masse".  Dommages causés à l'enfants disent-ils, sur son estime de lui-même, les enseignants et les directions d'école vont parfois même exiger un rapport médical.

Je constate que la médication, pour certains enfants, a un impact important sur leurs performances scolaires, sur leur capacité à s'adapter.  Toutefois, cet impact est de très courte durée et les parents doivent consulter à nouveau un médecin pour faire ajuster la dose ou pour carrément changer la médication.  D'effets secondaires en effets secondaires, d'autres pilules sont souvent prescrites pour palier à l'insomnie, à la perte de l'appétit et à l'anxiété. 

Des enfants de 6 ans deviennent de véritables drogués, allant même jusqu'à être médicamentés avec des anti-psychotiques pour adultes !  Changement certain dans leur état direz-vous, mais que deviendront ces enfants quand viendra le temps du sevrage ?  Ce sera une catastrophe pour toute la société...

Voici un reportage de la télé française qui expose ce que les médecins, les pédo-psychiatres et les directions d'école ne vous dirons jamais.

1 commentaire:

  1. Les parents n'ont guère de "bon sens" et se laissent influencer par la propagande des lobbies médicaux et pharmaceutiques, qui vivent à nos dépens, de l'industrie de la maladie [et non pas, industrie de la santé, puisque si nous sommes en bonne santé pont n'est besoin des médocs et toubibs!].
    Je me demande aussi, dans l'agitation des enfants, ce qui revient à l'excès de Télévision et d'internet (fesse-bouc...) et des jeux vidéo violents et sanglants...

    Cela prépare des génération de personnes perturbées et dépendantes, qui seront faciles à contrôler par la société du NWO. Ces personnes dépendant des médocs depuis l'âge tendre, seront faciles à "pucer" et à droguer à leur insu.

    L'ami Pierrot

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