Il pèse six tonnes et demi, a coûté 735 millions de dollars et ses débris vont bientôt se crasher sur notre planète, avertit la Nasa. L'Upper Atmosphere Research Satellite (UARS), lancé il y a 20 ans pour étudier les changements climatiques de la Terre, va se désintégrer dans l'atmosphère au cours des prochaines semaines. Des morceaux de l'appareil sont susceptibles de s'écraser dans des zones densément peuplées d'Europe, d'Amérique du Sud et du Nord et d'Asie.
Même si les dangers pour les populations sont très "minimes", les autorités de la Nasa ont avoué être inquiets des bouts du satellite qui seront incontrôlés, puisque plus d'une demi-tonne de l'appareil devrait parvenir à survivre à la traversée de l'atmosphère. Le satellite, qui est à court de carburant depuis 2005, devrait étaler ses débris sur une surface de 800 kilomètres de long avec 1 chance sur 3 200 qu'un des morceaux touche une personne.
Même si les dangers pour les populations sont très "minimes", les autorités de la Nasa ont avoué être inquiets des bouts du satellite qui seront incontrôlés, puisque plus d'une demi-tonne de l'appareil devrait parvenir à survivre à la traversée de l'atmosphère. Le satellite, qui est à court de carburant depuis 2005, devrait étaler ses débris sur une surface de 800 kilomètres de long avec 1 chance sur 3 200 qu'un des morceaux touche une personne.
Selon les calculs de l'agence spatiale américaine, les sites concernés se trouvent entre le 57e degré Nord et 57 degré Sud de l’Équateur, soit une étendue couvrant trois océans, et six continents abritant des milliards de personnes. Le responsable de la section des débris spatiaux de la Nasa Gene Stansbery relativise: "Des objets reviennent sur Terre depuis l'aube de l'ère spatiale et personne n'a jamais été blessé par le retour d'un débris. Cela ne signifie pas que nous sommes inquiets.
"Le danger pour le public et le matériel est extrêmement petit"
L'UARS, en rotation autour de la Terre, survole la bande centrale de notre planète, évitant ainsi les pôles Nord et Sud. Il est activement surveillé par les scientifiques du Centre spatial Johnson d'Houston au Texas, et le Commandement des Forces Spatiales de la base militaire de l'US Air Force à Vanderberg en Californie. "Même si le vaisseau se désintégrera lors de son retour, il ne brûlera pas entièrement dans l'atmosphère. Le danger pour le public et le matériel est extrêmement petit, et la sécurité est la première priorité de la Nasa", explique un porte-parole de l'agence spatiale."Il est encore trop tôt pour dire exactement quand l'UARS rentrera, et quelle zone géographique sera affectée, mais la Nasa surveille le satellite de près", a t-il ajouté.
"Si vous trouvez un objet qui paraît être un débris du satellite UARS, ne le touchez pas. Contactez la police locale pour une assistance", a insisté le porte-parole. Les calculs de la date d'impact s'affinant chaque jour, l'UARS devrait arriver entre fin septembre et début octobre.
Les débris de satellites et autres vaisseaux sont un vrai fléau pour la Nasa, l'ISS devant parfois manœuvrer pour les éviter. En moyenne, un débris par jour tombe sur Terre sans conséquence, mais la NASA suit près de 22 000 objets en orbite mesurant plus de 10 cm, dont 1000 proviennent des satellites opérationnels. Le nombre des débris de 1 à 10 cm est estimé à 500 000, tandis que ceux de -1 cm se chiffre à 10 millions.
Source:
c'est vrai comme s'il y avait deja pas assez de truc qui vont nous tomber dessus,,maintenant manquer plus que les sattelites,,,puis l'ISS,,,puis une bonne fournée de meteorite,,,,,puis apres on verra se qui restera,lorrsque on traversera le nuage de particules,,a part tout est tranquille,,il y a du rugby a la TV,carla est en cloque,cest les 10ans du 11septembre,,,bientot noel,,,,et bla et bla
RépondreSupprimer