Une puce électronique de la taille d'un grain de sable est intégrée dans un médicament où une batterie est activée par l'ingestion, comme exposée à l'eau. La batterie est non toxique parce qu'elle est faite de matériaux semblables à celles dans une pilule de vitamine. Une fois avalée, elle envoie à travers les tissus du corps un courant électrique de haute fréquence qui est modulé de telle manière qu'elle fournit un marqueur unique à la pilule. Selon la compagnie Proteus, ce n'est pas une technologie RFID : elle utilise les tissus conducteurs du corps pour diriger le signal, plutôt que d'une radio, et le signal est confiné à l'intérieur du corps.
Le courant de la haute-fréquence est capté par une "patch" de surveillance portée par le patient ou un moniteur placé sous sa peau. Le système de surveillance est capable de discerner les paramètres biophysiques comme le rythme cardiaque, la respiration, la posture du corps ainsi que l'état du sommeil. L'information peut ensuite être transmise au cellulaire du patient ou de l'ordinateur du médecin du patient qui pourrait décider de changer les dosages ou de changer complètement de médicaments.
Source:
http://spectrum.ieee.org/riskfactor/biomedical/diagnostics/uks-lloydspharmacy-to-sell-pills-with-edible-microchips
http://www.centpapiers.com/la-guerre-mondiale-contre-la-democratie/92671
RépondreSupprimerhttp://www.mecanopolis.org/?p=24770
Bonjour Isabelle,
Deux articles très intéressants qui rejoignent beaucoup de choses que vous avez déjà relevées ou dénoncées.
http://rhubarbe.net/blog/2010/05/23/pourquoi-la-polemique-sur-le-vih/
RépondreSupprimeret celui-là aussi qui rejoint les dérives et délires de l'industrie pharmaceutique.
Désole j'aurais dû les regrouper
Merci