* Depuis les dernières semaines, des membres du gouvernement, de l'establishment, dénoncent les sites et plates-forme d'information qui "propagent de fausses nouvelles" ("fake news") parce qu'ils "détruisent la démocratie" clament-ils. Certains analystes du gouvernement croient même que la Russie fait partie de cette propagande conspirationniste et qu'elle a contribué à falsifier le système de vote américain pour assurer la victoire de Donald Trump...
Cette dénonciation des médias "fake news" (dont le site Breitbart, Infowars, Alain Soral, journalistes "freelance", etc,) vise clairement à discréditer les réseaux d'information non-alignés qui mettent en lumière les scandales de hauts dirigeants gouvernementaux, particulièrement ceux qui impliquent Hillary Clinton, ses proches collaborateurs, la Fondation Clinton, etc.
L'article qui suit est un bel exemple de cette tentative de discréditer/ridiculiser l'information en s'attaquant aux "messagers", les "sites complotistes", et en évitant de publier les faits documentés qui ont amené des journalistes à soulever cette étrange et sombre histoire de réseau de pédophilie qui impliquerait des membres de l'establishment. Je me suis intéressée aux faits qui ont alimenté cette "rumeur" au cours du dernier mois sans y porter une sérieuse attention parce que les informations étaient injectées sur le web de façon diffuse. C'est en reliant tous les points qu'on peut arriver à constater qu'il existe de réelles et troublantes connexions entre des personnages publics et l'existence d'un réseau de pédophilie qui opère, entre autres, des événements privés où se déroulent des célébrations funestes où des actes abominables sont commis. Pour vous en convaincre, je vous invite à visiter ce lien qui fait une synthèse extrêmement bien documentée de tous ces faits et connexions:
Sur le site du restaurant Comet Ping Pong, un des lieux visé par le réseau de pédophilie, dans la section Friends (amis du site), vous trouverez l'inscription du groupe Heavy Breathing. Sur le site officiel du groupe sont publiées ces illustrations...
Des internautes menacent de mort le personnel d'un restaurant lié à John Podesta, qui n'est autre que l'ex-directeur de campagne d'Hillary Clinton.
C'est l'affaire qui enflamme une partie du web américain. Depuis plusieurs semaines, une pizzeria de New York, le Comet Ping Pong, est suspectée par des internautes de cacher un réseau pédophile de trafic d'enfants. Les accusations sont d'autant plus graves qu'elles portent non seulement sur les employés et son propriétaire James Alefantis, mais aussi sur l'entourage d'Hillary Clinton et plus précisément de son ancien directeur de campagne présidentielle John Podesta. Ces allégations, grandement relayées sur les réseaux sociaux, les sites de désinformation à tendance complotiste, gangrènent la vie des protagonistes, qui sont menacés de mort. Le New York Times, qui a raconté le 21 novembre dernier les tenants et les aboutissants de cette histoire, souligne pourtant qu'aucune enquête n'a été ouverte et que les accusations sont infondées.
Selon le quotidien américain, la genèse de cette histoire se trouve en grande partie dans une publication de mails de John Podesta par Wikileaks. À l’intérieur, y figurent notamment des échanges avec James Alefantis, fondateur de la pizzeria en 2006, en vue d'une levée de fonds pour la campagne. En raison de la popularité de l'établissement et de son propriétaire auprès de responsables démocrates hauts placés à Washington, des rumeurs faisaient déjà état d'un trafic d'enfants dans le restaurant. Avec la candidature d'Hillary Clinton, la théorie a soudainement pris de l'ampleur lorsque des internautes conspirationnistes pro-Trump du sulfureux site 4chan, mais aussi sur la page du réseau social Reddit consacrée au nouveau président américain, ont décidé de mener leur enquête.
Le web français en parle
Ces internautes ont alors avancé que John Podesta avait participé à un culte satanique. Ils se sont notamment appuyés sur des interprétations de photos postées par le propriétaire du restaurant sur son compte d'Instagram, sur lequel des photos d'enfants sont régulièrement postées. Ce sont aussi des affiches de la pizzeria qui sont grandement commentées. Sur le tweet ci-dessous, repéré par Slate, une internaute assure que l'image à gauche "pourrait faire référence à ce que les enfants ressentent quand ils sont victimes d'abus".
Avec tous ces éléments, des internautes n'ont pas hésité à harceler et menacer de mort les personnes travaillant au Comet Ping Pong. "Nous sommes constamment agressés", déplore James Alefantis tandis qu'un employé s'est vu demander par sa femme de quitter son poste pour mettre un terme aux menaces. L'ampleur de l'affaire a pu se mesurer à la popularité des conversations ouvertes à ce sujet sur Reddit, mais aussi au fait que le hashtag #pizzagate se soit retrouvé jeudi 24 novembre dans les trending topics de Twitter, à savoir les sujets les plus tendances du réseau social. Le phénomène touche aussi la France, où l'affaire fait beaucoup de bruit sur les forums de jeuxvideo.com et trouve aussi écho chez Égalité et Réconciliation, le site d'Alain Soral.
Selon le New York Times, si le FBI "ne confirme pas et ne dément pas l'existence d'investigations", aucune enquête n'a été ouverte à ce sujet car aucun élément n'accrédite cette théorie du complot. La police indique quant à elle qu'elle surveille l'évolution de la situation et qu'elle est au courant des "menaces" portées à l'encontre de l'établissement et de son personnel.
Source:
Et bien il serait peut etre temps d'ouvrir une telle investigation. Etant donné que les éléments apporté par wikileaks sont quand même très, mais alors très, troublants !!!
RépondreSupprimerIls ne en feront rien...ils tiennent les rennes de la socie=été,ces gens là.
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