samedi 29 décembre 2018

Vaccingate: les Italiens découvrent une fraude liée aux vaccins


L'association pour la liberté de vaccination, Corvelva, fondée en 1993 et composée de scientifiques et de juristes, a annoncé avoir reçu un don de 10 000 euros de l'Ordre national des biologistes italiens le 26 octobre afin de tester la sécurité et l'efficacité des vaccins couramment utilisés pour la vaccination des enfants.

Le premier vaccin qu'ils ont testé de manière approfondie avec ce don est Infanrix Hexa, un vaccin six en un fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) qui est supposé contenir les antigènes suivants: toxoïdes du tétanos, de la diphtérie et de la coqueluche; souches virales 1-2-3 inactivées de la poliomyélite et antigène de surface de l'hépatite B

Corvelva n'a trouvé AUCUN de ces antigènes dans le vaccin, ce qui signifie qu'aucun anticorps ne serait créé contre les antigènes prévus.

Non seulement aucun antigènes vaccinaux n'ont été détectés, mais ils ont trouvé ce qui suit:

- des traces de 65 contaminants chimiques dont 35% seulement sont connus, issus du processus de fabrication ou de contamination croisée avec d'autres chaînes de fabrication;

- toxines chimiques;

- toxines peptidiques bactériennes, des allergènes potentiels capables d'induire des réactions auto-immunes;

- macromolécule insoluble et non digestible qui réagit au dosage des protéines, mais qui ne peut être reconnue par aucune base de données de protéines.

Vous pouvez trouver le résumé des premières analyses du vaccin
 Infanrix Hexa du groupe Corvelva sur leur site:

Ici le rapport des premiers résultats détaillés:

Le 24 décembre, sur leur site, Corvelva a publié une mise à jour concernant les résultats d'analyses, débutées il y a quelques mois, du vaccin Priorix Tetra (rougeole-rubéole-oreillons-varicelle) fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK). Les analyses précédentes montraient des problèmes au niveau des mutations dans le génome des virus et au niveau des quantités absurdes d’ADN.

L'extension des analyses chimiques/protéines révèlent la présence de traces de composés de contaminants résiduels, dont des traces du médicament Vigabatrin et Gabapentine (antiépileptiques), d'un médicament expérimental anti-VIH, d'antibiotiques, d'herbicides, d'acaricides (insecticides), de métabolites de la morphine, de Viagra, à vos souhaits!

Mais ce n'est pas tout...

La présence d'ADN fœtal en grande quantité a été confirmée (1,7 µg dans le premier lot et 3,7 µg dans le deuxième lot), soit environ 325 fois la limite maximale fixée à 10 nanogrammes et 325 000 fois supérieur à la limite minimale de 10 picogrammes. Les cellules issues de bébés avortés font partie de la composition des vaccins, c'est connu et utilisé depuis les années 60!

https://www.corvelva.it/speciali-corvelva/analisi/vaccinegate-priorix-tetra-analysis-2nd-step-update.html

Liens complémentaires

Une nouvelle étude scientifique publiée dans les archives de l'Académie nationale des sciences (PNAS) révèle que les personnes vaccinées contre la grippe émettent 630% plus de particules virales dans l'air que les individus non vaccinés
https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/02/une-nouvelle-etude-scientifique-publiee.html

CNBC: "Des preuves scientifiques démontrent que les individus vaccinés avec des vaccins contenant des virus vivants comme le RRO (rougeole, rubéole et oreillons), rotavirus, varicelle, zona et grippe, peuvent excréter le virus pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois et donc, infecter les vaccinés ainsi que les non vaccinés
http://www.cnbc.com/id/102473744#

Le site de la bibliothèque nationale de médecine des États-Unis a publié un article en mars 1991 à propos d'une flambée de cas de rougeole dans un collège du Colorado qui a fait 84 malades chez les étudiants qui étaient à 98% vaccinés contre la maladie (en 1988)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1405017/

La moitié des élèves qui ont contracté le virus avaient pourtant reçu les deux doses du vaccin contre la rougeole
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2011/12/la-moitie-des-eleves-qui-ont-contracte.html

Des étudiants vaccinés contre la coqueluche ont contracté la maladie dans une école de Californie, à l'intérieur de laquelle 99,5% de la population étudiante était adéquatement vaccinée
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2015/04/des-etudiants-vaccines-contre-la.html

9 commentaires:

  1. ouhaaaaaaaaa c'est de la folie!!! à quand les memes tests sur les vaccins en france??

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  2. Merci pour l'info. Il y a une partie d'un de leurs articles qui est préoccupante aussi:

    "Dans le même vaccin, des traces ont également été détectées dans une mesure encore plus grande mais encore très faible, de nombreux virus fortuits. Mais aussi quelque chose d'autre.

    Dans le vaccin GlaxoSmithKline Priorix Tetra, des Proteobacteries, vers plats Platyhelminthes et Nematodes, 10 autres virus ARNs, Microviridae (virus bactériens ou phages) et de nombreux rétrovirus, y compris des rétrovirus humains et aviaires endogènes, des virus aviaires, des virus de l'immunodéficience humaine et Virus de l'immunodéficience simienne, s’ils sont insérés dans la base de données s’avèrent être des fragments de VIH et de SIV), virus murin, virus de l’anémie infectieuse équine, virus de la maladie lymphoproliférative, virus du sarcome de Rous. D'autres virus comme l'alphaendornavirus et le virus de l'hépatite B, le virus de la levure.

    Nous répétons pour mieux exprimer le concept et nous vous prions tous d’exploiter nos résultats avec précaution: dans le vaccin Priorix Tetra, la présence du virus de la rubéole n’a pas été détectée, sauf dans un seul lot, mais la quantité était si petite que cela met en doute le fait que cela puisse provoquer une immunisation. Si nous considérons que ce vaccin est efficace contre la rubéole, car 3 lectures égales à 0,00008% de l’Arn total suffisent à déterminer une réaction dans l’organisme, cela vaut également pour une longue série de virus oncogènes, VIH, vers et bactéries présents dans des quantités égales ou supérieures au virus de la rubéole.

    Fondamentalement, nous avons dû aller très en profondeur pour retracer le virus de la rubéole (afin de prouver sa présence), en utilisant une méthode de haute sensibilité. Cela nous a également amenés à rencontrer des dizaines de virus et de rétrovirus, certains potentiellement cancérogènes, des champignons, des levures, des bactéries.

    Quelle que soit la réponse concernant la quantité de ces composés, il est certain qu’il ne devrait pas y en avoir; Cela montre encore qu’il n’y a AUCUN contrôle adéquat sur les vaccins, sinon ces éléments ne seraient pas détectés."

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    1. C'est vraiment inquiétant, surtout considérant que du matériel génétique et autres composés biologiques et contaminants toxiques sont trouvés dans les vaccins que parmi ceux-ci, une majorité ne sont pas connus des bases de données des scientifiques!

      Nanotechnologies, biotechnologies de contamination et/ou une génération de vaccins qui obéit à l'idéologie transhumaniste qui vise un changement génétique de l'être humain?

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  3. C'est tout simplement énorme. En gros pas de trace de ce qu'il est censé avoir dedans et pour le reste une vrai déchetterie biologique avec des trucs des plus étranges qui ne sont pas là sans raison. C'est une expérience génétique a grande échelle pour empêcher l'être humain d'évoluer!

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  4. quand on sait que la preuve de l'utilité du vaccin n'a jamais apporté ............

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  5. Nous sommes des marionnettes pour eux, des cobayes

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  6. une vraie soupe de sorcières!!!!
    Il faudrait leur faire ce que d'autres ont fait aux sorcières!!!!!!
    Quelle honte, quel scandale!!!

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  7. des cellules de bébés avortés ! l'abomination !

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