* Demain, vendredi, aura lieu la "Marche mondiale vers Jérusalem", mouvement de résistance dit pacifique, qui conteste l'occupation de Jérusalem et du reste du territoire palestinien par Israël. Des millions de personnes feront partie de cette marche.
Jérusalem — Israël a annoncé hier avoir rompu tout contact avec le Conseil des Nations unies pour les droits de l'homme à la suite de sa décision la semaine dernière d'ouvrir une enquête internationale sur les colonies israéliennes dans les territoires palestiniens.
Cette rupture, annoncée par le ministère des Affaires étrangères, signifie que la mission d'information que le CDH espérait envoyer sur le terrain ne sera pas autorisée à entrer en Cisjordanie ainsi qu'en Israël.
«Nous ne collaborons plus avec eux», a indiqué Yigal Palmor, porte-parole de la diplomatie israélienne. «Fini les participations à des rencontres, des discussions ainsi que l'organisation de visites en Israël.»
Le 22 mars, le CDH a condamné la construction annoncée par Israël de nouveaux logements pour les colons juifs en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, y voyant une entrave au processus de paix et une menace pour la solution à deux États et la création d'un État palestinien indépendant.
Le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, a dénoncé une initiative «hypocrite», ajoutant que le CDH disposait d'une «majorité automatique hostile à Israël.»
Ce forum, qui siège à Genève et compte 47 pays membres, a voté en faveur de cette proposition par 36 voix pour, dont celles de la Chine et de la Russie. Les États-Unis ont été le seul pays à voter contre. Le texte avait été présenté par le Pakistan au nom de l'Organisation de coopération islamique (OCI).
Un demi-million d'Israéliens et 2,5 millions de Palestiniens vivent en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, territoires capturés par l'État hébreu lors de la guerre des Six-Jours en 1967.
Cette rupture, annoncée par le ministère des Affaires étrangères, signifie que la mission d'information que le CDH espérait envoyer sur le terrain ne sera pas autorisée à entrer en Cisjordanie ainsi qu'en Israël.
«Nous ne collaborons plus avec eux», a indiqué Yigal Palmor, porte-parole de la diplomatie israélienne. «Fini les participations à des rencontres, des discussions ainsi que l'organisation de visites en Israël.»
Le 22 mars, le CDH a condamné la construction annoncée par Israël de nouveaux logements pour les colons juifs en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, y voyant une entrave au processus de paix et une menace pour la solution à deux États et la création d'un État palestinien indépendant.
Le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, a dénoncé une initiative «hypocrite», ajoutant que le CDH disposait d'une «majorité automatique hostile à Israël.»
Ce forum, qui siège à Genève et compte 47 pays membres, a voté en faveur de cette proposition par 36 voix pour, dont celles de la Chine et de la Russie. Les États-Unis ont été le seul pays à voter contre. Le texte avait été présenté par le Pakistan au nom de l'Organisation de coopération islamique (OCI).
Un demi-million d'Israéliens et 2,5 millions de Palestiniens vivent en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, territoires capturés par l'État hébreu lors de la guerre des Six-Jours en 1967.
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