L'attaque chimique qui aurait été commise par le régime syrien provoque un nouveau bras de fer entre l'Occident et la Russie au Conseil de sécurité de l'ONU.
La vision de Trump a « beaucoup changé »
Le président des États-Unis, Donald Trump, a déclaré que l'attaque chimique, qui a fait 75 morts, représentait une « insulte à l'humanité qui ne peut pas être tolérée ».
Il a ensuite ajouté que l'attaque lancée mardi contre une ville contrôlée par les rebelles dans le nord de la Syrie « franchit plusieurs, plusieurs lignes » et que sa vision du régime Al-Assad avait par conséquent « beaucoup changé. »
« Inacceptable », dit Moscou
Réuni d’urgence pour traiter l’attaque chimique présumée survenue mardi, le Conseil de sécurité s’est buté à une fin de non-recevoir de la part de Moscou, allié du régime de Bachar Al-Assad. La Russie a qualifié le projet de résolution d’« inacceptable ».
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Accusant Damas d’avoir commis une attaque au gaz dans la province d’Idlib, qui a coûté la vie à des dizaines de civils, la Maison-Blanche oublie le fait que les armes chimiques possédées par la Syrie ont été détruites en 2014 par des professionnels civils et militaires sous contrôle des États-Unis eux-mêmes, rappellent des experts à Sputnik.
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Ce revirement de D. Trump ne présage rien de bon. Il semble donc obligé de se rallier aux directives "d'en haut" et de suivre le plan prévu.
RépondreSupprimerSachant qu'on avait accusé à tort Bachar lors de la première attaque chimique, il faudrait attendre de voir ce que Poutine va dire
RépondreSupprimerIl est "étonnant" de voir que cette attaque a eu lieu deux jours après que l'entourage de Trump ait signifié que pour le nouveau président US, le peuple syrien avait le droit de choisir son président (B. El Assad), un retour à la démocratie en quelque sorte ... cherchez l'erreur ...
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