lundi 26 novembre 2018

TRADUCTION EN FRANÇAIS: Le Canada, la France et de nombreux autres États membres des Nations Unies vont signer, le 10 et 11 décembre prochain, le "Pacte mondial sur les migrations sûres, ordonnées et régulières ": un "pacte avec le diable"!



*Cet article, bénévolement traduit par huemaurice5 (un gros merci!), explique de façon efficace comment nos pays occidentaux, à l'exception de certains résistants (États-Unis, Israël. Autriche, etc.), sont en train de sceller des accords irréversibles avec la gouvernance mondiale qui porte le sceau du diable! 

Les peuples concernés sont complètement bernés ou même tenus dans l'ignorance de tels traités par le contrôle absolu de la presse (600 millions viennent d'être injectés à cet effet pour 5 ans au Canada) et par des discours moralisateurs-menteurs sur l'immigration, le "réchauffement climatique", la liberté d'expression, la tolérance, les droits humains et blablabla! "Ils" utilisent les crises actuelles (migration de masse, désordres climatiques, polarisation gauche-droite), qui à mon sens sont fomentées ou du moins alimentées, pour susciter une urgence manigancée qui sert l'agenda mondialiste.

Article complémentaire:
«L’ONU programme le raz-de-marée» : en avril 2000, un rapport préparait l’installation de 159 millions d’immigrés en Europe d’ici à 2025
Le rapport s’intitulait « Migration de remplacement : une solution aux populations en déclin et vieillissantes ». Et dire qu’on nous présente le Grand Remplacement comme une théorie, un « fantasme » de l’extrême droite populiste, raciste et xénophobe…

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2018/08/06/onu-programme-raz-de-maree-en-avril-2000-un-rapport-preparait-linstallation-de-159-millions-immigres-en-europe-d-ici-a-2025/?fbclid=IwAR1Aw-tFrXs0dBo6wbarwtJn5n4KRVKImvpKaG-xzSye5etGptK4cug4y4M


La "traite faustienne" perfide du Canada

par Salim Mansur
26 novembre 2018 à 5h00
https://www.gatestoneinstitute.org/13349/canada-government-media

Le premier ministre canadien Justin Trudeau, semble-t-il, adhère au principe du globalisme selon lequel le monde est sans frontières et l'idée des États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète. Dans ce monde sans frontières, l'organe directeur est l'Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes, irresponsables et profondément corrompues, qui ont le pouvoir de légiférer en matière de droit international qui est ensuite appliqué par les États membres.

Le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière est un document détaillant les exigences que les États membres de l'ONU doivent adopter en tant que politique qui s'apparente à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l'imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.

Le Pacte mondial exige des organes de presse des États membres qu'ils adhèrent aux objectifs et s'abstiennent de toute discussion critique de ceux-ci qui serait considérée comme non "éthique" et contraire aux normes ou standards de l'ONU conformes à l'idéologie du mondialisme.

Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau semble adhérer au principe de la mondialisation, selon lequel l’idée d’États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète.

Dans ce monde sans frontières, l'organe directeur est l'Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes, irresponsables et profondément corrompues, qui ont le pouvoir de légiférer en matière de droit international qui est ensuite appliqué par les États membres. 

L'annonce récente du gouvernement canadien selon laquelle il fournira plus de 600 millions de dollars canadiens (455 millions de dollars américains) au cours des cinq prochaines années pour venir en aide aux médias en difficulté financière du pays - dans le cadre de la mise à jour financière d'automne du budget fédéral précédant la 2019 élections fédérales - n'est pas aussi innocent que cela puisse paraître.

En réponse à cette annonce, les dirigeants des organisations de médias canadiennes ont immédiatement ouvert le proverbial champagne et levé leurs verres au premier ministre Justin Trudeau. Unifor, un syndicat national représentant les journalistes canadiens, était encore plus jubilant. Il a estimé que son slogan de "Résistance" - qu'il qualifie de "pire cauchemar" du chef de l'opposition du Parti conservateur Andrew Scheer - avait si rapidement abouti à ouvrir le portefeuille du gouvernement et à distribuer l'argent des contribuables à une industrie qui devrait se battre pour rester fermement indépendant de toute forme de soutien gouvernemental.

C’est ce qu’est une "presse libre" sans doute après tout; pas comme dans les pays dotés de régimes totalitaires, tels que la Russie autrefois tsariste, devenue communiste, l'Union soviétique, la Chine maoïste, le Royaume d'Arabie saoudite, la République islamique d'Iran, Cuba ou encore beaucoup de pays tiers. Etats du monde dans lesquels la presse est simplement un outil de propagande du gouvernement, soumis aux diktats et aux caprices de son chef.

Les récipiendaires du "cadeau" de Trudeau feront valoir que leur indépendance éditoriale ne pourrait être entravée - le paradis devant nous ! - dans une démocratie aussi libérale que le Canada. Leur dos irréprochable montera à la simple suggestion que leur intégrité journalistique pourrait être compromise en concluant un accord financier avec le pouvoir en place.

Quelle que soit la quantité d’encre qu’ils répandent ou les octets qu’ils gaspillent pour défendre leur vertu, ils ne seront pas en mesure de duper l’opinion publique sur la nature de ce marché de Faust, qui revient à être acheté par le Parti libéral de Trudeau en échange d’une presse favorable de la prochaine élection fédérale.

Les Canadiens devraient passer de cette "pente glissante" à une version de la société contrôlée par l'État créée par cet accord. Quelle ironie que l'annonce du sauvetage des médias intervienne moins d'une semaine après le 100e anniversaire de l'armistice de la Première Guerre mondiale et du jour du Souvenir, durant lesquels les Canadiens honorèrent la mémoire des compatriotes tués et mutilés au cours de guerres menées pour la liberté contre l'avancée de la tyrannie.

Cependant, cet accord n'aurait sans doute pas dû surprendre, compte tenu de la position affirmée de Trudeau selon laquelle le Canada est un État post-national sans identité fondamentale. En d'autres termes, dans le Canada de Trudeau, il n'y a pas de tradition à vénérer, pas de valeurs sacrées à défendre et pas d'identité à préserver.

Trudeau, semble-t-il, adhère au principe du globalisme selon lequel le monde est sans frontières et l'idée d'États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète. Dans ce monde sans frontières, l'organe directeur est une ONU et ses agences corrompues, non élues, non transparentes, responsables de leurs actes, qui ont l'autorité de légiférer en matière de droit international et qui sont ensuite appliquées par les États membres.

Trudeau semble déterminé à faire du Canada un laboratoire de l'agenda mondialiste. C’est probablement la raison pour laquelle il s’empresse d’adhérer au pacte mondial proposé par les Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, qui doit être adopté lors de la conférence intergouvernementale de Marrakech, au Maroc, du 10 au 11 décembre 2018. La plupart des Canadiens n’en connaissent pas le contenu. du Pacte mondial, que leur gouvernement s’est engagé à signer. Pourtant, c’est dans le contexte de cet accord que diverses décisions prises par le gouvernement Trudeau peuvent être expliquées - décisions sur des questions telles que l’immigration, les changements climatiques, l’islamophobie et le sauvetage des médias par une somme de 600 millions de dollars.

Le Pacte mondial est un document détaillant les exigences que les États membres doivent adopter en tant que politique qui équivaut à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l'imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.

L’objectif 17 du Pacte mondial stipule:

"Nous nous engageons à éliminer toutes les formes de discrimination, à condamner et à combattre les expressions, actes et manifestations de racisme, de discrimination raciale, de violence, de xénophobie et de l'intolérance qui y est associée, conformément au droit international des droits de l'homme. Nous nous engageons en outre à promouvoir la transparence et la preuve discours public sur les migrations et les migrants en partenariat avec toutes les composantes de la société, qui génère une perception plus réaliste, plus humaine et plus constructive à cet égard, et nous nous engageons également à protéger la liberté d’expression conformément au droit international, en reconnaissant le débat contribue à une compréhension globale de tous les aspects de la migration."

Conformément à ce qui précède, les États membres sont donc tenus de:

"Promouvoir des reportages indépendants, objectifs et de qualité sur les médias, y compris sur Internet, notamment en sensibilisant et en informant les professionnels des médias sur les questions relatives à la migration et à la terminologie, en investissant dans des normes de reportage éthique et dans la publicité, et en arrêtant l'affectation de fonds publics ou d'un soutien matériel aux médias qui promeuvent systématiquement l'intolérance, la xénophobie, le racisme et d'autres formes de discrimination à l'égard des migrants, dans le plein respect de la liberté des médias."

Traduit du langage ONU, cela signifie que les organes de presse des États membres doivent adhérer aux objectifs adoptés dans le Pacte mondial et s'abstenir de toute discussion critique sur ces objectifs qui serait considérée comme non "éthique" et contraire aux normes de l'ONU ou des normes compatibles avec l'idéologie du mondialisme. Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.

En acceptant cet argent, l'ensemble des médias canadiens ne diffère pas de celui du radiodiffuseur public national CBC, dont les nouvelles et les opinions sont toutes orientées vers le centre-gauche, épousant les positions politique, économique et culturelle du Parti libéral - avec quelques marques occasionnelles. et une vue conservatrice hautement contrôlée dans le mélange dans le but de maintenir la façade de la liberté d'expression.

L'élimination progressive de la liberté d'expression est une caractéristique du gouvernement Trudeau, qui a adopté l'année dernière la motion parlementaire M-103, condamnant toute discussion critique sur l'islam et les musulmans en tant qu '"islamophobie". Selon l'ONU, l'islamophobie est sectaire, raciste et pourrait faire l'objet de censure ou de poursuites pénales aux termes du "discours de haine" des commissions des droits de la personne au Canada. Cela est conforme à la récente décision de la Cour européenne des droits de l'homme, selon laquelle critiquer le prophète de l'islam équivaut à inciter à la haine et, partant, à ne pas protéger la liberté d'expression. Cela va également dans le sens des efforts déployés par l'Organisation de la coopération islamique - le plus grand bloc de 57 États membres de l'ONU - pour déclarer toute critique ou insulte au fondateur de l'islam et à la religion elle-même comme un blasphème conforme à la charia islamique. loi.

Trudeau et son parti libéral tentent de créer un pays sans frontières où le droit international conçu par l'ONU l'emportera sur la législation adoptée par les représentants élus du peuple canadien qui s'y opposerait.

Si ce processus n'est pas inversé, les Canadiens - inondés par une migration de masse - deviendront des citoyens du monde; et le Canada deviendra un protectorat multiculturel nord-américain d'un monde émergent du XXIe siècle, sans frontières et administré par l'ONU. Dans un tel monde, il n'y a pas de place pour la liberté d'expression ou une presse libre. Les médias canadiens devraient réfléchir longuement avant de vendre son âme à Trudeau.

Salim Mansur est un membre distingué du Gatestone Institute. Il enseigne au département de science politique de l'Université Western Ontario et est l'auteur de "Le problème du Coran et l'islamisme"; "La situation de l'islam: perspectives d'un musulman dissident"; et "Mensonge délicieux: une répudiation libérale du multiculturalisme".

https://www.gatestoneinstitute.org/13349/canada-government-media?fbclid=IwAR3A1Hx-1R1893aJ4fQSn-t3ZeasHgyHs8iYLeIMnaF7j2nxn3muryv_9jQ

10 commentaires:

  1. La "traite faustienne" perfide du Canada


    par Salim Mansur
    26 novembre 2018 à 5h00
    https://www.gatestoneinstitute.org/13349/canada-government-media

    Le premier ministre canadien Justin Trudeau, semble-t-il, adhère au principe du globalisme selon lequel le monde est sans frontières et l'idée des États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète. Dans ce monde sans frontières, l'organe directeur est l'Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes, irresponsables et profondément corrompues, qui ont le pouvoir de légiférer en matière de droit international qui est ensuite appliqué par les États membres.

    Le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière est un document détaillant les exigences que les États membres de l'ONU doivent adopter en tant que politique qui s'apparente à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l'imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.

    Le Pacte mondial exige des organes de presse des États membres qu'ils adhèrent aux objectifs et s'abstiennent de toute discussion critique de ceux-ci qui serait considérée comme non "éthique" et contraire aux normes ou standards de l'ONU conformes à l'idéologie du mondialisme.

    Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.

    Le Premier ministre canadien Justin Trudeau semble adhérer au principe de la mondialisation, selon lequel l’idée d’États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète.

    Dans ce monde sans frontières, l'organe directeur est l'Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes, irresponsables et profondément corrompues, qui ont le pouvoir de légiférer en matière de droit international qui est ensuite appliqué par les États membres.

    L'annonce récente du gouvernement canadien selon laquelle il fournira plus de 600 millions de dollars canadiens (455 millions de dollars américains) au cours des cinq prochaines années pour venir en aide aux médias en difficulté financière du pays - dans le cadre de la mise à jour financière d'automne du budget fédéral précédant la 2019 élections fédérales - n'est pas aussi innocent que cela puisse paraître.

    En réponse à cette annonce, les dirigeants des organisations de médias canadiennes ont immédiatement ouvert le proverbial champagne et levé leurs verres au premier ministre Justin Trudeau. Unifor, un syndicat national représentant les journalistes canadiens, était encore plus jubilant. Il a estimé que son slogan de "Résistance" - qu'il qualifie de "pire cauchemar" du chef de l'opposition du Parti conservateur Andrew Scheer - avait si rapidement abouti à ouvrir le portefeuille du gouvernement et à distribuer l'argent des contribuables à une industrie qui devrait se battre pour rester fermement indépendant de toute forme de soutien gouvernemental.

    C’est ce qu’est une "presse libre" sans doute après tout; pas comme dans les pays dotés de régimes totalitaires, tels que la Russie autrefois tsariste, devenue communiste, l'Union soviétique, la Chine maoïste, le Royaume d'Arabie saoudite, la République islamique d'Iran, Cuba ou encore beaucoup de pays tiers. Etats du monde dans lesquels la presse est simplement un outil de propagande du gouvernement, soumis aux diktats et aux caprices de son chef.

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    1. Excellente traduction, je vous remercie au nom de tous les francophones qui liront cet article que je juge capital.

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  2. Les récipiendaires du "cadeau" de Trudeau feront valoir que leur indépendance éditoriale ne pourrait être entravée - le paradis devant nous ! - dans une démocratie aussi libérale que le Canada. Leur dos irréprochable montera à la simple suggestion que leur intégrité journalistique pourrait être compromise en concluant un accord financier avec le pouvoir en place.

    Quelle que soit la quantité d’encre qu’ils répandent ou les octets qu’ils gaspillent pour défendre leur vertu, ils ne seront pas en mesure de duper l’opinion publique sur la nature de ce marché de Faust, qui revient à être acheté par le Parti libéral de Trudeau en échange d’une presse favorable de la prochaine élection fédérale.

    Les Canadiens devraient passer de cette "pente glissante" à une version de la société contrôlée par l'État créée par cet accord. Quelle ironie que l'annonce du sauvetage des médias intervienne moins d'une semaine après le 100e anniversaire de l'armistice de la Première Guerre mondiale et du jour du Souvenir, durant lesquels les Canadiens honorèrent la mémoire des compatriotes tués et mutilés au cours de guerres menées pour la liberté contre l'avancée de la tyrannie.

    Cependant, cet accord n'aurait sans doute pas dû surprendre, compte tenu de la position affirmée de Trudeau selon laquelle le Canada est un État post-national sans identité fondamentale. En d'autres termes, dans le Canada de Trudeau, il n'y a pas de tradition à vénérer, pas de valeurs sacrées à défendre et pas d'identité à préserver.

    Trudeau, semble-t-il, adhère au principe du globalisme selon lequel le monde est sans frontières et l'idée d'États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète. Dans ce monde sans frontières, l'organe directeur est une ONU et ses agences corrompues, non élues, non transparentes, responsables de leurs actes, qui ont l'autorité de légiférer en matière de droit international et qui sont ensuite appliquées par les États membres.

    Trudeau semble déterminé à faire du Canada un laboratoire de l'agenda mondialiste. C’est probablement la raison pour laquelle il s’empresse d’adhérer au pacte mondial proposé par les Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, qui doit être adopté lors de la conférence intergouvernementale de Marrakech, au Maroc, du 10 au 11 décembre 2018. La plupart des Canadiens n’en connaissent pas le contenu. du Pacte mondial, que leur gouvernement s’est engagé à signer. Pourtant, c’est dans le contexte de cet accord que diverses décisions prises par le gouvernement Trudeau peuvent être expliquées - décisions sur des questions telles que l’immigration, les changements climatiques, l’islamophobie et le sauvetage des médias par une somme de 600 millions de dollars.

    Le Pacte mondial est un document détaillant les exigences que les États membres doivent adopter en tant que politique qui équivaut à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l'imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.

    L’objectif 17 du Pacte mondial stipule:

    "Nous nous engageons à éliminer toutes les formes de discrimination, à condamner et à combattre les expressions, actes et manifestations de racisme, de discrimination raciale, de violence, de xénophobie et de l'intolérance qui y est associée, conformément au droit international des droits de l'homme. Nous nous engageons en outre à promouvoir la transparence et la preuve discours public sur les migrations et les migrants en partenariat avec toutes les composantes de la société, qui génère une perception plus réaliste, plus humaine et plus constructive à cet égard, et nous nous engageons également à protéger la liberté d’expression conformément au droit international, en reconnaissant le débat contribue à une compréhension globale de tous les aspects de la migration. "

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  3. Conformément à ce qui précède, les États membres sont donc tenus de:

    "Promouvoir des reportages indépendants, objectifs et de qualité sur les médias, y compris sur Internet, notamment en sensibilisant et en informant les professionnels des médias sur les questions relatives à la migration et à la terminologie, en investissant dans des normes de reportage éthique et dans la publicité, et en arrêtant l'affectation de fonds publics ou d'un soutien matériel aux médias qui promeuvent systématiquement l'intolérance, la xénophobie, le racisme et d'autres formes de discrimination à l'égard des migrants, dans le plein respect de la liberté des médias. "

    Traduit du langage ONU, cela signifie que les organes de presse des États membres doivent adhérer aux objectifs adoptés dans le Pacte mondial et s'abstenir de toute discussion critique sur ces objectifs qui serait considérée comme non "éthique" et contraire aux normes de l'ONU ou des normes compatibles avec l'idéologie du mondialisme. Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.

    En acceptant cet argent, l'ensemble des médias canadiens ne diffère pas de celui du radiodiffuseur public national CBC, dont les nouvelles et les opinions sont toutes orientées vers le centre-gauche, épousant les positions politique, économique et culturelle du Parti libéral - avec quelques marques occasionnelles. et une vue conservatrice hautement contrôlée dans le mélange dans le but de maintenir la façade de la liberté d'expression.

    L'élimination progressive de la liberté d'expression est une caractéristique du gouvernement Trudeau, qui a adopté l'année dernière la motion parlementaire M-103, condamnant toute discussion critique sur l'islam et les musulmans en tant qu '"islamophobie". Selon l'ONU, l'islamophobie est sectaire, raciste et pourrait faire l'objet de censure ou de poursuites pénales aux termes du "discours de haine" des commissions des droits de la personne au Canada. Cela est conforme à la récente décision de la Cour européenne des droits de l'homme, selon laquelle critiquer le prophète de l'islam équivaut à inciter à la haine et, partant, à ne pas protéger la liberté d'expression. Cela va également dans le sens des efforts déployés par l'Organisation de la coopération islamique - le plus grand bloc de 57 États membres de l'ONU - pour déclarer toute critique ou insulte au fondateur de l'islam et à la religion elle-même comme un blasphème conforme à la charia islamique. loi.

    Trudeau et son parti libéral tentent de créer un pays sans frontières où le droit international conçu par l'ONU l'emportera sur la législation adoptée par les représentants élus du peuple canadien qui s'y opposerait.

    Si ce processus n'est pas inversé, les Canadiens - inondés par une migration de masse - deviendront des citoyens du monde; et le Canada deviendra un protectorat multiculturel nord-américain d'un monde émergent du XXIe siècle, sans frontières et administré par l'ONU. Dans un tel monde, il n'y a pas de place pour la liberté d'expression ou une presse libre. Les médias canadiens devraient réfléchir longuement avant de vendre son âme à Trudeau.

    Salim Mansur est un membre distingué du Gatestone Institute. Il enseigne au département de science politique de l'Université Western Ontario et est l'auteur de "Le problème du Coran et l'islamisme"; "La situation de l'islam: perspectives d'un musulman dissident"; et "Mensonge délicieux: une répudiation libérale du multiculturalisme".

    https://www.gatestoneinstitute.org/13349/canada-government-media?fbclid=IwAR3A1Hx-1R1893aJ4fQSn-t3ZeasHgyHs8iYLeIMnaF7j2nxn3muryv_9jQ

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  4. Salut Isabelle, effectivement on sent bien que quelque chose cloche et que toutes ces pseudos crises semblent être fortement commandées via un agenda quelconque. Ce n'est même plus discutable (l'incompétence ne justifie pas tout). Cependant je ne comprends pas le but. Quel gouvernement aurait avantage à ce que la population se rebelle, quel chef d'entreprise aurait avantage à voir sa compagnie plonger... Ça n'as aucun sens! Aurais-tu une idée là-dessus?

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  5. A mon avis, ils refont la bouillie génétique de l'humanité pour faire un Adam 2.0. Peu d'entre nous verrons ce nouvel ordre mondial.

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  6. Ton blog est un incontournable plus que jamais, Isa. Merci pour ton dévouement.

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  7. https://youtu.be/tFTzWmBPKk8

    Voilà Stan, et il a raison ,un vrai Patriote , les gilets jaunes sont un écran de fumée , le Grand remplacement c'est cela le plan des Illuminatis, et le traité de Marrakech sur les migrations ..

    Il faut RENVERSER MACRON et sa clique de dégénérés au plus sacrant ! AGIR vite en prenant le contrôle de l'appareil d'Etat . FERMER LES FRONTIÈRES !

    A MORT LA RÉPUBLIQUE ILLUMINATI , VIVE LA FRANCE LIBRE , ET VIVE LA RÉBELLION HUMAINE !

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  8. ALERTE !

    la révolte des GJ a été déclenchée par des nervis du pouvoir au moment où les vrais médias alternatifs révélaient le pacte mondial des migrations, pour faire diversion. Ce sont les loges qui sont intervenues en aôut 2015 par des communiqués pour ouvrir les frontières de l'immigration de masse, c'est leur projet.

    Macron doit signer à marrakech un pacte le 10 décembre prochain qui va ouvrir la porte de la France à l'arrivée de centaines de millions d'immigrés maghrébins et subsahariens selon les calculs de l'ONU; Ce pacte élaboré par les illuminés et la haute finance va causer une guerre civile et la destruction de nos familles et de notre civilisation par un remplacement de population par des immigrés musulmans. C'est le plan kalergi. Les généraux Martinez et Picquemal ont bien compris le danger et regardent dans la bonne direction, celle du pacte qui signera notre génocide. Les GJ, c'est de l’ingénierie sociale pour détourner l'attention.

    http://novusordoseclorum.discutforum.com/t8590-le-mouvement-spontan-des-gilets-jaunes#91760

    PIQUEMAL Christian‏ @chpiq
    Le pacte migratoire de l'ONU qui sera signé les 10 et 11 décembre à Marrakech va augmenter l'immigration massive et conduire la France à une mort programmée. Le Peuple souverain doit réagir et s'indigner avec force
    05:53 - 28 nov. 2018

    Antoine MARTINEZ‏ @antoine27955080
    Français, après la transition énergétique, l'Etat prépare la transition démographique. Vous allez devoir payer pour être remplacés. Non au pacte mondial sur les migrations de l'ONU ! A diffuser.
    01:10 - 28 nov. 2018

    https://www.youtube.com/watch?v=Imle0hWXqwk

    https://francais.rt.com/international/55729-pacte-onu-sur-migration-mondialistaion-travailleurs-est-elle-marche

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