* Le Black Lives Matter (BLM), "les vies des Noirs comptent", milite contre la violence et le racisme envers les Noirs.
lundi 30 janvier 2017
Le groupe afro-américain Black Lives Matter a, au cours d'une manifestation anti-Trump à Seattle ce week-end, fait la promotion de la haine raciale, a prôné la violence envers les Blancs et a même invité les militants à commencer à tuer des gens et à tuer des membres de la Maison Blanche: pourquoi les médias n'en parlent pas???
Le tireur, Alexandre Bissonnette, est pro-Trump, pro-Le Pen, pro-Israël et anti-féministe
* Les médias vont annoncer au TVA 18h qu'il participait à des forums et groupes de discussion.
La SQ confirme qu’un seul des individus arrêté hier soir en lien avec l’attentat de Québec est considéré comme suspect: Alexandre Bissonnette est le seul suspect de l'attentat, tandis que Mohamed Khadir est dorénavant considéré comme témoin
* Le récit n'est pas du tout le même que hier soir ni de celui de ce matin! Le Marocain, un suspect arrêté puis relâché, alors que deux individus cagoulés sont entrés dans la mosquée selon plus d'un témoin???
Vu sur le site de Radio Canada ce matin, et confirmé par un témoin dans le Journal de Québec:
Un témoin, qui n’a pas voulu s’identifier, a indiqué ceci au Journal. «Mon père était à l’intérieur. Ils sont entrés après la prière, quand tout le monde discute ensemble. Certains avaient déjà quitté, mais il restait beaucoup de gens.». Selon lui, «c’est totalement gratuit. Tous ces gens-là n’avaient rien fait. Absolument rien. Des innocents. Jamais j’aurais pensé que ça nous arriverait ici à Québec. J’ai toujours senti que j’étais en sécurité, mais ce soir je me pose des questions.»
Un seul suspect:
http://www.tvanouvelles.ca/2017/01/30/les-deux-suspects-sont-alexandre-bissonnette-et-mohamed-khadir#cxrecs_s
Vu sur le site de Radio Canada ce matin, et confirmé par un témoin dans le Journal de Québec:
Un témoin, qui préfère garder l’anonymat, a pour sa part raconté en entrevue au RDI que deux personnes cagoulées étaient entrées dans la mosquée.
« Elles me semblaient avoir un accent bien québécois. Un a commencé à tirer. Dès qu’il a ouvert le feu, il a crié : "Allahou akbar!" ("Dieu est grand!") Les balles ont atteint des personnes qui priaient. Des personnes qui priaient ont perdu leur vie. Moi-même, la balle a passé au-dessus de ma tête », a raconté le témoin.
Un seul suspect:
http://www.tvanouvelles.ca/2017/01/30/les-deux-suspects-sont-alexandre-bissonnette-et-mohamed-khadir#cxrecs_s
Six personnes ont été tuées et huit autres blessées dans une fusillade survenue au Centre culturel islamique de Québec, dimanche soir, qualifiée d'acte terroriste par les gouvernements du Québec et du Canada
* Que ce drame se produise au Québec est vraiment surprenant. Les tireurs seront fort probablement associés à des groupes d'extrême droite et ce, même si l'un d'entre eux a crié "Allahou akbar!" ("Dieu est grand!") au moment de tirer...
La Sûreté du Québec a confirmé le bilan de l'attaque, mais c'est le CHU de Québec-Université Laval qui a plus tard précisé que six des blessés, hospitalisés à l'hôpital de l'Enfant-Jésus, sont dans un état critique. D'autres personnes ont été blessées plus légèrement, alors que 39 s'en sont sorties indemnes, selon la SQ.
Quelques dizaines de fidèles se trouvaient à l'intérieur du centre, situé sur le chemin Sainte-Foy, lorsqu'au moins un suspect armé serait entré à l'intérieur de l'édifice, vers 19 h 45, avant d'ouvrir le feu sur les fidèles.
Au moment de l'attaque, les hommes priaient au rez-de-chaussée, tandis que les femmes et les enfants se trouvaient à l'étage.`
Deux suspects ont été arrêtés après la fusillade. L'un d'eux a été appréhendé au terme d'une chasse à l'homme qui s'est terminée près de l'île d'Orléans.
Une source policière a confié à Radio-Canada que les deux suspects sont des étudiants inscrits à l’Université Laval. L'un d'eux serait d'origine marocaine.
Le ministre québécois de la Sécurité publique, Martin Coiteux, a indiqué que la structure de gestion policière contre le terrorisme avait été déployée.
Un large périmètre de sécurité a été établi dans le secteur de Sainte-Foy. Les parcours d’autobus du Réseau de transport de la capitale (RTC) qui empruntent le chemin Sainte-Foy ont été détournés.
« Un accent bien québécois »
Un témoin, qui préfère garder l’anonymat, a raconté en entrevue à RDI que deux personnes cagoulées étaient entrées dans la mosquée.
« Elles me semblaient avoir un accent bien québécois. Un a commencé à tirer. Dès qu’il a ouvert le feu, il a crié : "Allahou akbar!" ("Dieu est grand!") Les balles ont atteint des personnes qui priaient. Des personnes qui priaient ont perdu leur vie. Moi-même, la balle a passé au-dessus de ma tête », a raconté le témoin.
« On s’est jeté par terre directement. Plusieurs personnes qui priaient sont sorties de leur prière et se sont jetées par terre », a-t-il ajouté.
Il y avait même des enfants aussi. Il y avait même un jeune de trois ans qui était avec son père. Un témoin de la fusillade
Gestes islamophobes
Le Centre culturel islamique de Québec, qui est également connu sous le nom de grande mosquée de Québec, avait été la cible d’un geste à caractère haineux l’été dernier, alors qu’une tête de porc avait été déposée devant l’une de ses portes, et ce, en pleine période du ramadan.
Des tracts islamophobes avaient également été distribués à différents endroits de la ville de Québec dans les semaines suivant cet incident.
Des veillées à la chandelle en hommage aux victimes sont déjà prévues lundi à Québec, Montréal, Ottawa, Trois-Rivières et Saguenay.
« Attaque gratuite »
En entrevue à RDI, l’ancien inspecteur du Service de police de la Ville de Montréal, Guy Ryan, a dénoncé une attaque gratuite, qui a fait « des victimes complètement innocentes ».
« Ça fait toujours de quoi, surtout lorsque ça arrive dans une ville comme Québec. C’est toujours surprenant », a-t-il ajouté.
Source:
dimanche 29 janvier 2017
Immigration : deux juges suspendent le décret de Trump
Deux juges ont suspendu samedi soir, dans des décisions séparées, le décret promulgué par Donald Trump interdisant l’entrée aux États-Unis des ressortissants de sept pays à majorité musulmane.
Après que près de 200 passagers en provenance des pays concernés, titulaires de visas ou de cartes vertes, avaient été arrêtés à l’atterrissage de leur avion, plusieurs avocats et organisations de défense des droits, dont l’American Civil Liberties Union (ACLU), ont attaqué en justice l'ordre présidentiel.
Les pays visés par le décret de Donald Trump sont l’Iran, l’Irak, la Libye, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen. Tous leurs ressortissants, même titulaires d’une double nationalité ou citoyens d’un autre pays sont concernés s’ils sont nés dans l’un de ceux-ci, a précisé la Maison-Blanche.
Source:
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/01/29/97001-20170129FILWWW00007-immigration-deux-juges-suspendent-le-decret-de-trump.php
samedi 28 janvier 2017
L'aéroport John F. Kennedy, à New York, s'est transformé en une scène hantée par la colère et le désespoir alors que les citoyens de sept nations musulmanes se voyaient refuser l'accès aux États-Unis, samedi
* Pourquoi pas les Saoudiens??? Au-delà de l'idée de bloquer l'accès à de potentiels terroristes, cette décision a de tristes conséquences à certains égards.
Plusieurs vols se dirigeaient vers les États-Unis, vendredi, lorsque le président Donald Trump a signé un décret-loi interdisant l'entrée au pays aux Iraniens, Irakiens, Libyens, Somaliens, Soudaniens, Syriens et Yéménites.
Des avocats travaillant à l'aéroport ne pouvaient pas donner de données précises sur le nombre de personnes qui ont été détenues après l'arrivée de leur vol au cours de la journée.
Yosre Ghaleb, âgé de 25 ans, figurait parmi la dizaine de personnes qui attendaient voir si un de leurs proches allait être libéré ou expulsé.
La soeur de sa belle-mère, une Yéménite âgée de 67 ans, venait vivre avec sa famille aux États-Unis à cause de ses problèmes cardiaques et de son diabète. Elle a été détenue et replacée dans un autre avion en direction de l'Arabie saoudite.
«Elle est très triste. Ses conditions de vie étaient très mauvaises. Nous voulions qu'elle termine ses jours de belle façon, a raconté M. Ghaled. Nous l'avons attendue pendant plusieurs années. Ils auraient pu au moins nous laisser la voir. On se serait senti un peu mieux.»
Trump a dit que le but de l'interdiction de séjour temporaire était d'empêcher de potentiels terroristes à entrer aux États-Unis.
Deux membres du Congrès, les représentants démocrates Jerrold Nadler et Nydia Velazquez, ont manifesté en compagnie de plusieurs centaines de personnes qui ont tenté de faire libérer environ une dizaine de personnes. Les protestataires scandaient: «Laisser les entrer». La comédienne Cynthia Nixon, célèbre pour son rôle dans «Sex and the City» s'est jointe à elles.
Parmi les personnes détenues à New York, on retrouvait deux Irakiens à qui on avait déjà donné l'autorisation de venir aux États-Unis en raison de leurs liens avec l'armée américaine. L'un d'entre eux, Hameed Khalid Darweesh, un interprète auprès de l'armée américaine lors de l'invasion d'Irak en 2003, a finalement été libéré aux acclamations de la foule au milieu de l'après-midi.
Il a déclaré que les États-Unis demeuraient «une terre de liberté» où habite «le plus grand peuple du monde entier», mais le fait d'avoir été détenu l'a consterné.
Son compatriote de 33 ans, Haider Sameer Abdulkhaleq Alshawi, 33, qui venait rejoindre sa femme au Texas ayant fui son pays parce qu'elle craignait pour sa vie après avoir travaillé pour une entreprise de sécurité américaine, ignorait encore son sort en fin d'après-midi.
Plusieurs avocats tentaient de finaliser des requêtes à être envoyées aux tribunaux aux noms des candidats à l'entrée aux États-Unis.
Le gouverneur de l'État de New York, le démocrate Andrew Cuomo, a affirmé avoir ordonné aux avocats de l'État et à l'agence administrant l'aéroport Kennedy «d'explorer toutes les options juridiques» pour venir en aide aux personnes encore détenues dans les aéroports de New York.
«Je n'avais jamais pensé que je verrais un jour des réfugiés ayant fui leur pays ravagé par la guerre dans l'espoir d'une vie meilleure, d'être rejeté à notre porte. Ce n'est pas qui nous sommes ou qui nous devrions être», s'est-il désolé.
Source:
L'Europe doit répondre avec «fermeté» à Trump, dit Hollande
François Hollande a appelé samedi l'Europe à faire bloc et à opposer une réponse «ferme» au président américain Donald Trump qui s'était réjoui bruyamment du Brexit, «une chose merveilleuse» selon lui.
«Je crois que nous devons lui répondre» avec «fermeté», a martelé le chef de l'État français en marge d'un sommet de sept pays du sud de l'Union européenne et à quelques heures d'un tout premier entretien téléphonique avec le nouveau locataire de la Maison-Blanche.
«Lorsqu'il y a des déclarations qui viennent du président des États-Unis sur l'Europe et lorsqu'il parle du modèle du Brexit pour d'autres pays, je crois que nous devons lui répondre», a-t-il lancé.
«Quand le président des États-Unis évoque le climat pour dire qu'il n'est pas encore convaincu de l'utilité de cet accord, nous devons lui répondre», a enchaîné François Hollande.
Renouant avec l'anaphore, sa figure de style de prédilection, le chef de l'État français a pointé aussi les «mesures protectionnistes qui pourraient déstabiliser les économies» et son refus d'accueillir des réfugiés.
«Épreuve de vérité»
Donald Trump avait affiché la veille son enthousiasme pour le Brexit, «une chose merveilleuse», vantant «la relation spéciale» entre Washington et Londres, lors d'une rencontre avec la première ministre britannique Theresa May.
«L'Europe est devant l'épreuve de vérité, devant l'heure des choix», a répliqué samedi François Hollande.
Si, officiellement, le changement radical à Washington et les échéances électorales aux Pays-Bas, en France et en Allemagne ne figuraient pas à l'ordre du jour du sommet lisboète, leurs conséquences étaient dans tous les esprits.
L'UE est «seule» depuis son investiture, a mis en garde le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem.
Comme lors de la première édition de ce sommet du sud, réunie en septembre à Athènes, les sept planchaient aussi samedi sur les moyens de desserrer le carcan budgétaire européen, face à l'orthodoxie allemande, et de favoriser un «partage du fardeau plus juste» de l'accueil des réfugiés.
Le chef du gouvernement italien Paolo Gentiloni avait donné le ton dès vendredi, estimant que le thème de la croissance devait «être au centre» des politiques tout en appelant l'Europe à «la souplesse» dans l'application des règles budgétaires.
Il s'exprimait à l'issue d'un entretien avec son homologue espagnol Mariano Rajoy qui, lui, a fait valoir que «les normes sont faites pour être respectées, mais les hommes sont là pour qu'elles soient respectées intelligemment».
«Forte et unie»
Ce «sommet des pays méditerranéens de l'UE», qui réunit aussi Grecs, Chypriotes et Maltais, devait ainsi se conclure par une déclaration commune appelant notamment à une Union européenne «forte et unie» et à une relance économique sur le continent.
Objectif: accorder les violons avant les sommets européens prévus le 3 février à Malte pour réfléchir à l'avenir de l'UE sans le Royaume-Uni, et le 25 mars dans la capitale italienne pour marquer les 60 ans du Traité fondateur de Rome et jeter les bases d'un nouveau projet européen.
Parmi les sujets à débattre figuraient aussi la sécurité et la défense, la crise des réfugiés et l'immigration illégale.
Les Européens risquent d'être confrontés au printemps à un afflux «sans précédent» de migrants sur les côtes italiennes, a averti à la mi-janvier le premier ministre maltais Joseph Muscat, dont le pays vient de prendre la présidence tournante de l'UE.
Alors que la droite allemande avait taxé le sommet d'Athènes de réunion du «Club Med» susceptible de semer la discorde en Europe, les pays du sud assurent vouloir lancer des pistes profitant à l'ensemble de l'UE.
«Dans le nouveau contexte créé par le Brexit, il s'agit de réaffirmer la vitalité et l'unité de l'Europe», a expliqué à l'AFP une source gouvernementale portugaise.
Pour la France aussi, il s'agit d'élaborer «des propositions pour toute l'Europe» et de «rassembler pour faire avancer le projet européen», indique-t-on de source diplomatique.
Avant de se rendre à Lisbonne, François Hollande avait d'ailleurs pris soin de retrouver Angela Merkel à Berlin.
«La France est à la fois un pays du sud et du nord, elle crée des ponts entre les deux régions. Il n'y a aucune raison qu'elle cherche la confrontation avec l'Allemagne», fait valoir à l'AFP Guntram Wolff, directeur du centre de réflexion Bruegel.
Source:
vendredi 27 janvier 2017
Trump signe un décret pour freiner l’entrée de «terroristes islamiques radicaux»
Washington — Le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé vendredi avoir signé un décret en matière d’immigration prévoyant des contrôles renforcés aux frontières destinés à stopper l’entrée éventuelle de « terroristes islamiques radicaux ».
« Je mets sur pied de nouvelles mesures de contrôle pour maintenir hors des États-Unis les terroristes islamiques radicaux. Nous ne les voulons pas ici », a martelé le président américain lors d’une cérémonie d’investiture de son secrétaire à la Défense, James Mattis, au Pentagone.
Ce décret intitulé « Protection de la nation contre l’entrée de terroristes étrangers aux États-Unis », était attendu depuis mercredi soir lorsque le journal Washington Post en avait publié une copie.
« C’est du lourd », s’est exclamé le 45e président des États-Unis devant des hiérarques militaires réunis au Pentagone.
« Nous voulons être surs que nous ne laissons pas entrer pas dans notre pays les mêmes menaces que celles que nos soldats combattent à l’étranger […] Nous n’oublierons jamais les leçons du 11-Septembre » 2001, a proclamé M. Trump, en allusion aux attentats perpétrés aux États-Unis par le groupe al-Qaïda.
Sept pays musulmans concernés
Dans le détail et d’après le projet de décret publié mercredi par le Washington Post, mais que la Maison-Blanche n’avait pas rendu public vendredi soir, les autorités américaines bloqueraient pendant un mois l’arrivée de ressortissants de sept pays musulmans : Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen.
Ce texte prévoirait aussi l’arrêt complet pendant quatre mois du programme fédéral d’admission et de réinstallation de réfugiés de pays en guerre. Un programme humanitaire ambitieux créé par une loi du Congrès en 1980.
Les réfugiés syriens, qui ont fui par millions le conflit dans leur pays, mais dont seulement 18 000 ont été acceptés aux États-Unis depuis 2011, seraient, eux, définitivement interdits d’entrer.
Pour l’année budgétaire 2016 (du 1er octobre 2015 au 30 septembre 2016), les États-Unis, à l’époque gouvernés par Barack Obama, avaient admis précisément sur leur territoire 84 994 réfugiés, toutes nationalités confondues, dont un peu plus de 10 000 Syriens.
L’administration Obama, qui avait reconnu en septembre 2015 qu’elle pouvait faire davantage, s’était donnée l’objectif de 110 000 réfugiés acceptés pour l’année budgétaire 2017. L’administration Trump en viserait dorénavant seulement 50 000, toutes nationalités confondues, selon le projet de décret.
Le président républicain a été élu le 8 novembre sur des slogans de campagne nationalistes, isolationnistes et de lutte contre le « terrorisme islamique radical ».
Source:
Madeleine Albright, ex-secrétaire d’Etat sous Bill Clinton, s’est dit prête à devenir musulmane pour se lever contre les propositions controversées de Donald Trump
* La révolution civile ne saurait tarder avec ces têtes folles qui jettent de l'huile sur le feu. Mais ceci ne change pas le fait que même si Trump peut nous paraître sympathique parce qu'il prend des décisions affirmées, parce qu'ils osent dénoncer l'industrie vaccinale, l'imposture journalistique, la corruption de l'establishment, cet homme incarne la division, le chaos. Je reste convaincue qu'il occasionnera une vaste et terrible dévastation sur le territoire américain qui aura des répercussions partout ailleurs dans le monde.
L’ancienne secrétaire d’Etat sous Bill Clinton, Madeleine Albright, a affirmé dans un tweet être "prête à s’inscrire comme musulmane" pour manifester son opposition aux propositions controversées de Donald Trump. Le président des Etats-Unis, investi le 20 janvier dernier, avait par exemple évoqué la création d’un registre pour musulmans afin d'interdire leur entrée sur le territoire américain. Il a également signé mercredi dernier un décret visant les réfugiés.
"J’ai été élevée catholique, j'ai suivi l'Eglise épiscopalienne et j’ai découvert plus tard que ma famille était juive. Je suis prête à m’inscrire comme musulmane en #solidarité", a-t-elle assuré dans tweet partagé plus de 7.000 fois.
Et elle n’est pas la seule à exprimer son mécontentement sur les réseaux sociaux. Mayim Bialik, actrice de la série télévisée "The Big Bang Theory", a également affirmé vouloir être enregistrée comme musulmane "s’il fallait en arriver là".
Un registre aux oubliettes
La promesse de campagne controversée du milliardaire a fait mouche. Après avoir été président élu des Etats-Unis, cette proposition de création d’un registre permettant d’interdire l’accès aux musulmans a disparu de son site.
Le 7 décembre 2015, l’homme d’affaires avait justifié cette déclaration en assurant que "d’après Pew Research (un think thank américain, ndlr) et d’autres, il existait une grande haine à l’égard des Américains de la part de larges segments de la population musulmane".
Ces décrets signés
Pour autant, malgré la mise de côté d’un possible fichage, le président des Etats-Unis a tout de même vivement pointé du doigt les réfugiés venant de pays musulmans. En effet, selon un décret intitulé "Protéger la nation d’attaques terroristes par des étrangers", son administration serait prête à suspendre, durant un mois, l’arrivée sur le sol américain des ressortissants d’Irak, d’Iran, de Lybie, de Somalie, du Soudan, de Syrie et du Yémen.
Il a également approuvé ce mercredi, cinq jours après sa prise de fonction, la construction d’un mur entre le Mexique et les Etats-Unis. Et ce dans le but de "sécuriser la frontière sud" du pays.
Source:
jeudi 26 janvier 2017
Est-ce que la construction du mur le long de la frontière mexicaine, devant mesurer 3200 kilomètres, ne doit servir qu'à freiner l'entrée d'immigrants illégaux et le narcotrafic?
En répondant à un commentaire concernant ce fameux mur, je me suis rappelée un article que j'ai publié en 2015 concernant la menace, par le parlement de Tchétchénie, de livrer des armes à des guérillas mexicaines en représaille à l'implication des États-Unis et de l'Europe dans le dossier de l'Ukraine. Le contexte diplomatique avec la Russie à l'ère Trump ne semble pas correspondre aux tensions de l'époque, soit mars 2015, mais cet écrit m'a fait réfléchir à propos des raisons véritables qui motivent, en urgence, la construction du mur.
L'invasion mexicaine armée, par des guérillas, des narco-trafiquants et des membres de l'État islamique (des camps d'entraînement se logent déjà à la frontière) pourrait-elle être la vraie raison pour laquelle Trump veut ériger cette énorme barricade? Sans compter l'opération militaire JADE HELM, concentrée dans le Sud des États-Unis, qui pourrait enfin prendre tout son sens...
Judical Watch a publié un article le 14 avril 2015 où on peut lire qu'un accord existe entre l'État islamique (ISIS) et divers cartels de la drogue pour installer deux bases du groupe djihadiste au Mexique (au moins deux camps)
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2015/04/judical-watch-publie-un-article-le-14.html
Judical Watch a publié un article le 14 avril 2015 où on peut lire qu'un accord existe entre l'État islamique (ISIS) et divers cartels de la drogue pour installer deux bases du groupe djihadiste au Mexique (au moins deux camps)
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2015/04/judical-watch-publie-un-article-le-14.html
Réfléchissons ensemble! Voici l'article en question:
L'horloge de l'apocalypse, qui symbolise l'imminence d'un cataclysme planétaire, [une prévision hypothétique formulée par une certaine communauté scientifique à la solde de certains groupes d'intérêts] a été avancée de 30 secondes, à 2 minutes et 30 secondes avant minuit, ont annoncé jeudi d'éminents scientifiques invoquant notamment la rhétorique et les actions de Donald Trump
* De nombreux médias accusent Trump d'être responsable de cette nouvelle position des aiguilles, mais ils omettent de dire que durant le règne d'Obama le tic tac des scientifiques atomiques a ébranlé la planète puisque entre 2012 et 2015, l'horloge a perdu 2 minutes et non pas 30 secondes!
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2012/01/la-pendule-de-lapocalypse-indique.html
2015-2016: minuit moins trois
http://www.maxisciences.com/fin-du-monde/l-039-horloge-de-l-039-apocalypse-fixee-a-trois-minutes-avant-la-fin-du-monde-pour-2016_art37090.html
La célèbre horloge du Bulletin des scientifiques atomiques n'avait plus été aussi près de minuit depuis 63 ans, quand l'URSS a fait exploser sa première bombe à hydrogène en 1953, marquant le début de la course aux armements nucléaires, soulignent ces scientifiques, dont quinze prix Nobel.
Ils justifient leur inquiétude entre autres en raison «de la forte montée du nationalisme dans le monde, des déclarations du président Donald Trump sur les armes nucléaires, du réchauffement climatique et de la détérioration de la sécurité mondiale dans un contexte de technologies de plus en plus sophistiquées».
Ces scientifiques expliquent avoir avancé l'aiguille de l'horloge d'une demi-minute pour la simple raison que Donald Trump vient de devenir président.
«Les déclarations et actions de Donald Trump pendant la transition sont en totale rupture avec ses prédécesseurs», jugent-ils, citant ses commentaires «déplacés» sur les armes nucléaires. En décembre, il avait dit vouloir accroître l'arsenal américain.
Le milliardaire républicain a également montré «une tendance troublante à ignorer ou à rejeter les conseils d'experts sur la sécurité internationale, y compris les conclusions des agences américaines du renseignement» sur l'ingérence russe dans la campagne électorale américaine.
«La question est de savoir si la fabrique même de la démocratie pourrait être mise en péril en érodant la confiance dans l'intégrité d'une élection», s'est interrogé, lors d'une conférence de presse, Lawrence Krauss, un physicien de l'Université d'État d'Arizona et président du conseil d'administration du Bulletin des scientifiques atomiques.
Menaces existentielles
Ces derniers déplorent aussi le fait que les personnes nommées par le président américain à la tête du département de l'Énergie et de l'Agence de Protection de l'Environnement remettent en question les bases mêmes de la science du climat alors que réchauffement représente une grave menace pour les futures générations.
«En bref, à peine entré à la Maison-Blanche, les déclarations immodérées du président Trump, son manque d'ouverture à des conseils d'experts et ses nominations contestables ont déjà empiré la situation internationale en termes de sécurité, une situation qui était déjà mauvaise», résument-ils dans un communiqué.
Ils soulignent aussi que les États-Unis et la Russie, qui ensemble détiennent plus de 90% des armes nucléaires dans le monde, sont rivaux sur plusieurs théâtres de conflits comme en Syrie ou en Ukraine.
Les deux pays poursuivent une modernisation étendue de leurs forces nucléaires et aucune négociation sérieuse sur le contrôle de ces armements n'est en vue.
Les scientifiques relèvent également que la Corée du Nord a effectué deux nouveaux tests d'explosions nucléaires sous-terraines et indique clairement poursuivre ses efforts pour se doter de missiles capables de transporter des ogives nucléaires.
Outre ces risques persistants sur le front nucléaire et du réchauffement climatique, «c'est la première fois que des politiques énoncées et des déclarations faites par une ou deux personnes à de hauts niveaux de responsabilité ont autant d'impact sur notre perception des menaces existentielles auxquelles nous pensons que le monde fait face», a relevé le professeur Krauss.
«Les présidents Trump et Poutine, qui disent avoir beaucoup de respect l'un pour l'autre, peuvent décider de se comporter ensemble comme des hommes d'État ou des enfants agressifs, au risque de mettre en péril le monde», a-t-il ajouté, lançant un appel «à tout le monde pour faire entendre haut et fort leur message à leurs dirigeants afin de préserver notre futur et celui de nos enfants».
En 2015, l'horloge avait été reculée de deux minutes, à 23 h 57, et laissée inchangée en 2016. Les scientifiques avaient alors cité comme facteurs encourageants l'accord sur le nucléaire iranien et l'accord sur le climat de Paris.
Depuis sa création en 1947, l'horloge de l'apocalypse a été ajustée 19 fois, de minuit moins deux en 1953 à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre froide.
Source:
http://www.lapresse.ca/sciences/201701/26/01-5063340-lhorloge-de-lapocalypse-avancee-plus-pres-de-minuit.php
mardi 24 janvier 2017
Le président Trump envisage de signer des décrets (ordres exécutifs) sur l'immigration dès demain, ce qui va lui permettre de construire "le mur" le long de la frontière avec le Mexique, de suspendre temporairement l'entrée de réfugiés provenant de Syrie et de 6 autres pays du Moyen-Orient et d'Afrique
Trump a écrit sur son compte Twitter ce soir:
Sources:
https://francais.rt.com/international/32938-donald-trump-s-apprete-restreindre-immigration-en-provenance-moyen-orient
https://www.washingtonpost.com/world/national-security/president-trump-is-planning-to-sign-executive-orders-on-immigration-this-week/2017/01/24/aba22b7a-e287-11e6-a453-19ec4b3d09ba_story.html?utm_term=.f901aa9325c4
http://www.reuters.com/article/us-usa-trump-immigration-exclusive-idUSKBN1582XQ
"Grosse journée prévue demain concernant la SÉCURITÉ NATIONALE. Parmi plusieurs autres choses, nous allons construire le mur!"
Le 45e président des Etats-Unis semble être un homme de parole. Si l'on en croit son agenda, le 25 janvier il devrait signer plusieurs ordres exécutifs limitant l’immigration en provenance de Syrie et de six autres pays du Moyen-Orient et d'Afrique.
Comme le nouveau président républicain l'avait promis lors de sa campagne électorale, il interdira temporairement le 25 janvier l’accès aux Etats-Unis pour les réfugiés venant d’Irak, d’Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen. Il aura pour cela recours à des ordres exécutifs (décrets présidentiels) qu'il signera au siège du département de la Sécurité intérieure, dont les responsabilités incluent l'immigration et la sécurité des frontières.
En outre, Donald Trump limitera l’immigration en provenance de Syrie. Pour ce faire, il a tout simplement décidé d’ordonner au département d'Etat de cesser de délivrer des visas aux citoyens syriens.
«Un grand jour est prévu demain pour la sécurité nationale. Entre autres choses, nous construirons un mur», a écrit Donald Trump sur son compte Twitter en faisant allusion à ses intentions d’empêcher le passage des migrants mexicains par le sud des Etats-Unis.
Lors de sa campagne présidentielle, Donald Trump avait proposé d’interdire temporairement l’accès aux Etats-Unis aux musulmans, affirmant que cette mesure préviendrait les attaques djihadistes sur le sol américain. Certains de ses partisans avaient critiqué Barack Obama pour avoir été, selon eux, responsable de l'augmentation du nombre de réfugiés syriens aux Etats-Unis.
Néanmoins, quelques mois plus tard, Donald Trump et son candidat au poste de ministre de la Justice, Jeff Sessions, avaient déclaré qu'ils concentreraient davantage leurs restrictions sur les pays dont les ressortissants pouvaient représenter une menace plutôt que sur des individus d'une obédience religieuse particulière.
Comme le nouveau président républicain l'avait promis lors de sa campagne électorale, il interdira temporairement le 25 janvier l’accès aux Etats-Unis pour les réfugiés venant d’Irak, d’Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen. Il aura pour cela recours à des ordres exécutifs (décrets présidentiels) qu'il signera au siège du département de la Sécurité intérieure, dont les responsabilités incluent l'immigration et la sécurité des frontières.
En outre, Donald Trump limitera l’immigration en provenance de Syrie. Pour ce faire, il a tout simplement décidé d’ordonner au département d'Etat de cesser de délivrer des visas aux citoyens syriens.
«Un grand jour est prévu demain pour la sécurité nationale. Entre autres choses, nous construirons un mur», a écrit Donald Trump sur son compte Twitter en faisant allusion à ses intentions d’empêcher le passage des migrants mexicains par le sud des Etats-Unis.
Lors de sa campagne présidentielle, Donald Trump avait proposé d’interdire temporairement l’accès aux Etats-Unis aux musulmans, affirmant que cette mesure préviendrait les attaques djihadistes sur le sol américain. Certains de ses partisans avaient critiqué Barack Obama pour avoir été, selon eux, responsable de l'augmentation du nombre de réfugiés syriens aux Etats-Unis.
Néanmoins, quelques mois plus tard, Donald Trump et son candidat au poste de ministre de la Justice, Jeff Sessions, avaient déclaré qu'ils concentreraient davantage leurs restrictions sur les pays dont les ressortissants pouvaient représenter une menace plutôt que sur des individus d'une obédience religieuse particulière.
https://francais.rt.com/international/32938-donald-trump-s-apprete-restreindre-immigration-en-provenance-moyen-orient
https://www.washingtonpost.com/world/national-security/president-trump-is-planning-to-sign-executive-orders-on-immigration-this-week/2017/01/24/aba22b7a-e287-11e6-a453-19ec4b3d09ba_story.html?utm_term=.f901aa9325c4
http://www.reuters.com/article/us-usa-trump-immigration-exclusive-idUSKBN1582XQ
La Chine aurait déployé des missiles balistiques près de la Russie, Moscou n’y voit pas une menace
Des missiles balistiques intercontinentaux auraient été déployés par Pékin à la frontière sino-russe, sur fond de tensions récentes entre la Chine et les Etats-Unis et l'investiture de Donald Trump. Moscou a réagi avec calme.
La Chine a déployé des missiles balistiques intercontinentaux sophistiqués Dongfeng-41 près de la frontière avec la Russie, selon le journal chinois Global Times. Des photos montrant des systèmes de missiles ont été diffusées sur internet. «Il a été révélé que les photos ont été prises dans la province de Heilongjiang», lit-on dans le Global Times.
Selon l’agence de presse russe RIA Novosti, deux autres bases de missiles balistiques ont été déployées dans la province du Henan, au centre du pays, et dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine.
Il est possible que la fuite de ces images coïncide volontairement avec l’investiture de Donald Trump, qui pourrait adopter une position confrontationnelle envers la Chine, suppose le Global Times. Avant d’entrer en fonction, il a mis en colère Pékin en menaçant de mettre fin à «la politique d’une seule Chine» qui reconnaît la Chine continentale comme une seule nation chinoise et rejette les velléités d'indépendance de Taïwan. Le nouveau président des Etats-Unis a également déclaré qu’il ferait pression sur Pékin dans le domaine économique, en particulier sur la politique monétaire et les barrières commerciales.
Le déploiement de missiles chinois n’est «pas une menace pour la Russie»
Moscou a réagi avec calme au déploiement présumé des missiles DF-41 près des frontières avec la Russie. Selon le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, la Chine est «un partenaire stratégique [de la Russie] dans les domaines politique et économique». «Bien entendu le renforcement militaire en Chine, si les informations s’avèrent correctes, ne sont pas perçus comme une menace pour notre pays», a-t-il ajouté.
L'analyste militaire russe Konstantin Sivkov a commenté la situation pour RIA Novosti. «Les missiles DF-41 déployés près des frontières russes sont une menace de moindre importance que s’ils étaient déployés plus à l’intérieur du territoire chinois. De tels missiles ont une «zone morte» très large [région qui ne peut être touchée par l'arme de par sa portée minimale importante]», a-t-il déclaré en ajoutant que les DF-41 ne pouvaient pas cibler l’Extrême-Orient russe ni la Sibérie.
Le DF-41 est un missile à propergol solide qui a une portée de 15 000 kilomètres et est à même de contenir dix ogives nucléaires de type MIR Ved. Les informations complémentaires concernant ces armes sophistiquées restent hautement confidentielles.
Source:
https://francais.rt.com/international/32917-chine-deploye-missiles-balistiques-russie
Obama a versé 221 millions $ aux Palestiniens avant l'investiture de Trump
* L'Associated Press publie qu'il a aussi donné 4 millions de dollars destinés à la lutte contre le réchauffement climatique et 1,25 million de dollars destinés aux organisations rattachées aux Nations-Unies. Quelle hypocrisie crasse de la part de cet homme qui quitte la Maison Blanche en "héros"!
Kerry en a informé le Congrès vendredi matin, quelques heures seulement avant l'investiture de Trump
L’administration Obama a versé 221 millions de dollars (205.4 millions d’euros) à l’Autorité palestinienne (AP) juste avant l'investiture du nouveau président Donald Trump, ont annoncé lundi soir des responsables américains.
Selon l'Associated Press, ces fonds avaient été initialement bloqués par les membres républicains du Congrès.
C’est vendredi matin, à quelques heures du début de l’investiture de Donald Trump, que l’administration sortante a informé le Congrès que cet argent serait finalement versé aux Palestiniens, ont révélé des membres du Congrès et un responsable du département d’Etat qui ont été autorisés à révéler ses informations à la presse mais ont requis l'anonymat.
D’après cette dernière source, l’ancien secrétaire d’Etat, John Kerry, a informé certains députés de cette initiative, quelques instants avant de quitter son poste au département d’Etat, jeudi dernier.
En plus des 221 millions de dollars, l’administration Obama a également informé vendredi le Congrès que 6 millions (5.5 millions d’euros) allaient être débloqués pour des dépenses liées aux affaires étrangères, 4 millions (3.7 millions d’euros) dans un programme de lutte contre le changement climatique, et 1.25 million (1.1 million d’euros) à diverses organisations de l’ONU.
L’administration Obama aurait déjà tenté de faire pression pour que ces fonds, destiné à être utilisé pour l’aide humanitaire à Gaza, à soutenir les réformes politiques, et préparer le territoire à un future Etat palestinien, soient versé à l’AP, a précisé l’Associated Press.
Sources:
http://www.i24news.tv/fr/actu/international/ameriques/135832-170124-usa-en-quittant-le-pouvoir-l-administration-obama-a-verse-221-m-a-l-aphttps://www.apnews.com/b8446cbf5b504b1abaf49eb0d646367b
lundi 23 janvier 2017
Voici ce que Madonna a publié, et ensuite supprimé, via son compte Twitter
Sa publication a été capturée, avant qu'elle ne soit supprimée, par Truth Bombers. La Madonna semble avoir oublié que Trump pourrait la faire condamner pour terrorisme puisqu'elle a déclaré publiquement avoir pensé à faire sauter la Maison Blanche. Les Services Secrets, et/ou le FBI, seraient sur son cas en ce moment même
Libre-échange: Trump signe l'acte de retrait des Etats-Unis du TPP
Le président étasunien Donald Trump a signé lundi l'acte de retrait de son pays du traité de libre-échange transpacifique (TPP) Négocié pendant des années par l'administration Obama, celui-ci était vu comme un contrepoids à l'influence grandissante de la Chine.
Il a été signé en 2015 par 12 pays d'Asie-Pacifique représentant 40% de l'économie mondiale, mais n'est pas encore entré en vigueur. Durant sa campagne, Donald Trump avait dénoncé un accord "terrible", contraire selon lui aux intérêts des travailleurs américains.
L'administration Obama le présentait au contraire comme le nec plus ultra de tous les traités de libre-échange, car cet accord va bien au-delà de la simple levée des barrières douanières.
Il prévoit aussi la levée de barrières non-tarifaires, comme l'ouverture des appels d'offres nationaux par les pays membres aux entreprises étrangères sans avantages indus pour leurs propres entreprises publiques, ou encore le respect du droit du travail selon les normes de l'Organisation internationale du travail (OIT).
De nombreuses ONG dénonçaient cependant les effets pervers d'un texte jugé opaque sur les droits des travailleurs, l'environnement, la perte de souveraineté ou encore l'accès aux médicaments.
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe, grand défenseur de l'accord, avait reconnu fin 2016 que le TPP sans les Etats-Unis "n'aurait pas de sens".
Le traité a été signé par 12 pays : Australie, Brunei, Canada, Chili, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Singapour, États-Unis et Vietnam.
Source:
http://www.msn.com/fr-ca/actualites/monde/libre-%C3%A9change-trump-signe-lacte-de-retrait-des-etats-unis-du-tpp/ar-AAm9ra5?li=AAgh0dy&ocid=mailsignout
Trump interdit le financement d’ONG étrangères soutenant l’avortement
* Ce que les médias ne disent pas en lien avec la décision de cesser le financement des ONG étrangères, soit un réseau comptant plus de 151 associations faisant partie de l'International Planned Parenthood (le mouvement mondial du planning familial), est le fait que le Planned Parenthood a été reconnu pour faire de la vente d'organes de fœtus sur le marché noir à partir des cliniques d'avortement administrées par l'organisation. Sans compter tous les laboratoires alimentaires, pharmaceutiques, cosmétiques et de biotechnologie qui utilisent les bébés avortés dans la production de produits destinés à la consommation et à la transplantation d'organes et quoi d'autres? Des pratiques immorales, abominables, qui ne sont certainement pas étrangères à la décision de Trump.
Des vitamines produites en Chine à partir de bébés mort-nés et avortés
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2011/08/des-vitamines-produites-en-chine-partir.html
États-Unis: Un élu veut interdire l'utilisation de foetus dans les aliments
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2012/01/etats-unis-un-elu-veut-interdire.html
Une autre vidéo avec caméra cachée expose encore une fois la pratique de prélèvements d'organes de foetus pour la revente sur le marché noir par Planned Parenthood
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2015/10/une-autre-video-avec-camera-cachee.html
Un auteur et promoteur du transhumanisme demande au gouvernement mondial de stériliser les personnes "jugées indignes" en utilisant des micro-puces implantées
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2014/08/un-auteur-et-promoteur-du.html
Le nouveau président américain Donald Trump a signé lundi un décret interdisant le financement d'ONG internationales qui soutiennent l'avortement, s'attirant des condamnations immédiates d'organisations progressistes et de défense des femmes
M. Trump a pris cette mesure au lendemain du 44e anniversaire de «Roe V. Wade», l'arrêt emblématique de la Cour suprême qui a légalisé l'avortement en 1973 aux États-Unis, et deux jours après que des millions d'Américaines ont manifesté pour leurs droits.
«Les femmes les plus vulnérables dans le monde vont souffrir de cette politique, qui va saper des années d'efforts en faveur de la santé des femmes», a réagi Cecile Richards, la présidente de Planned Parenthood, le plus grand réseau de planification familiale des États-Unis.
«Cela va provoquer des fermetures de cliniques dans le monde entier, avec pour corollaire une augmentation des grossesses non désirées et des avortements dangereux», a-t-elle averti en appelant au «combat».
Le décret signé par Donald Trump «représente une agression à l'encontre de la santé des femmes», a de son côté jugé l'ACLU, la grande association américaine de défense des libertés.
«Le fait que le gouvernement de M. Trump et les républicains du Congrès mettent à profit leur première semaine aux commandes de l'État pour s'attaquer à la santé des femmes en dit long sur leurs priorités», a dénoncé pour sa part le parlementaire démocrate Steny Hoyer.
A l'opposé, les associations «Pro Life», qui militent contre l'avortement, ont félicité Donald Trump pour son initiative.
Bon «pour les contribuables»
«Il s'agit d'une étape cruciale sur la voie pour rendre sa grandeur à l'Amérique», a jugé Tony Perkins, président de l'organisation conservatrice Family Research Council, en reprenant le slogan du milliardaire.
M. Perkins a remercié le nouveau président d'avoir tenu «sa promesse de campagne de ne plus obliger les contribuables à payer pour des avortements».
Parfois appelée «politique de Mexico», car annoncée sous la présidence du président républicain Ronald Reagan à l'occasion de la conférence internationale des Nations unies sur la population de 1984 à Mexico, la politique remise en vigueur par Donald Trump prévoit que les fonds fédéraux d'aide internationale ne peuvent être alloués à des ONG étrangères qui pratiquent l'avortement ou militent pour rendre l'avortement légal.
Ces restrictions avaient été annulées par le président démocrate Bill Clinton, puis remises en place par le républicain George W. Bush avant d'être annulées à nouveau par le président démocrate Barack Obama.
«Le président a très clairement énoncé qu'il était un président pro life. Il veut agir pour tous les Américains, y compris ceux qui ne sont pas encore nés», a justifié lundi le porte-parole de la Maison-Blanche, Sean Spicer.
Réinstaurer la politique de Mexico, a-t-il ajouté, «fait également sens du point de vue des contribuables».
Galvanisés par l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, les opposants américains à l'avortement comptent engranger d'autres victoires sous sa présidence.
Un décret signé entre hommes
Depuis l'élection du 8 novembre, ils ont déjà adopté dans certains États républicains des mesures anti-IVG draconiennes, qui flirtent parfois avec les libertés constitutionnelles.
Le nouveau président s'est entouré dans son gouvernement de hauts responsables ouvertement hostiles au droit à l'avortement. C'est d'ailleurs entouré d'une dizaine d'hommes qu'il a signé lundi son décret, parmi lesquels le vice-président Mike Pence.
M. Pence a été en pointe d'une longue lutte pour tarir le financement de Planned Parenthood et, alors qu'il était gouverneur de l'Indiana, a adopté une législation locale très répressive à l'égard de l'avortement.
Donald Trump s'est par ailleurs engagé à nommer très prochainement à la Cour suprême un juge farouchement opposé à l'IVG.
À terme, a expliqué M. Trump, le nouveau rapport de force qu'il compte instaurer à la haute juridiction pourrait déboucher «automatiquement» sur l'annulation de l'arrêt «Roe V. Wade».
Des millions de femmes ont manifesté samedi en Amérique et dans le reste du monde pour «adresser un message fort» à Donald Trump et défendre leurs libertés en matière de contraception et d'avortement.
Source:
http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201701/23/01-5062309-aussitot-aux-commandes-trump-sattaque-a-lavortement.php
Des vitamines produites en Chine à partir de bébés mort-nés et avortés
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2011/08/des-vitamines-produites-en-chine-partir.html
États-Unis: Un élu veut interdire l'utilisation de foetus dans les aliments
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2012/01/etats-unis-un-elu-veut-interdire.html
Une autre vidéo avec caméra cachée expose encore une fois la pratique de prélèvements d'organes de foetus pour la revente sur le marché noir par Planned Parenthood
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2015/10/une-autre-video-avec-camera-cachee.html
Un auteur et promoteur du transhumanisme demande au gouvernement mondial de stériliser les personnes "jugées indignes" en utilisant des micro-puces implantées
http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2014/08/un-auteur-et-promoteur-du.html
Le nouveau président américain Donald Trump a signé lundi un décret interdisant le financement d'ONG internationales qui soutiennent l'avortement, s'attirant des condamnations immédiates d'organisations progressistes et de défense des femmes
M. Trump a pris cette mesure au lendemain du 44e anniversaire de «Roe V. Wade», l'arrêt emblématique de la Cour suprême qui a légalisé l'avortement en 1973 aux États-Unis, et deux jours après que des millions d'Américaines ont manifesté pour leurs droits.
«Les femmes les plus vulnérables dans le monde vont souffrir de cette politique, qui va saper des années d'efforts en faveur de la santé des femmes», a réagi Cecile Richards, la présidente de Planned Parenthood, le plus grand réseau de planification familiale des États-Unis.
«Cela va provoquer des fermetures de cliniques dans le monde entier, avec pour corollaire une augmentation des grossesses non désirées et des avortements dangereux», a-t-elle averti en appelant au «combat».
Le décret signé par Donald Trump «représente une agression à l'encontre de la santé des femmes», a de son côté jugé l'ACLU, la grande association américaine de défense des libertés.
«Le fait que le gouvernement de M. Trump et les républicains du Congrès mettent à profit leur première semaine aux commandes de l'État pour s'attaquer à la santé des femmes en dit long sur leurs priorités», a dénoncé pour sa part le parlementaire démocrate Steny Hoyer.
A l'opposé, les associations «Pro Life», qui militent contre l'avortement, ont félicité Donald Trump pour son initiative.
Bon «pour les contribuables»
«Il s'agit d'une étape cruciale sur la voie pour rendre sa grandeur à l'Amérique», a jugé Tony Perkins, président de l'organisation conservatrice Family Research Council, en reprenant le slogan du milliardaire.
M. Perkins a remercié le nouveau président d'avoir tenu «sa promesse de campagne de ne plus obliger les contribuables à payer pour des avortements».
Parfois appelée «politique de Mexico», car annoncée sous la présidence du président républicain Ronald Reagan à l'occasion de la conférence internationale des Nations unies sur la population de 1984 à Mexico, la politique remise en vigueur par Donald Trump prévoit que les fonds fédéraux d'aide internationale ne peuvent être alloués à des ONG étrangères qui pratiquent l'avortement ou militent pour rendre l'avortement légal.
Ces restrictions avaient été annulées par le président démocrate Bill Clinton, puis remises en place par le républicain George W. Bush avant d'être annulées à nouveau par le président démocrate Barack Obama.
«Le président a très clairement énoncé qu'il était un président pro life. Il veut agir pour tous les Américains, y compris ceux qui ne sont pas encore nés», a justifié lundi le porte-parole de la Maison-Blanche, Sean Spicer.
Réinstaurer la politique de Mexico, a-t-il ajouté, «fait également sens du point de vue des contribuables».
Galvanisés par l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, les opposants américains à l'avortement comptent engranger d'autres victoires sous sa présidence.
Un décret signé entre hommes
Depuis l'élection du 8 novembre, ils ont déjà adopté dans certains États républicains des mesures anti-IVG draconiennes, qui flirtent parfois avec les libertés constitutionnelles.
Le nouveau président s'est entouré dans son gouvernement de hauts responsables ouvertement hostiles au droit à l'avortement. C'est d'ailleurs entouré d'une dizaine d'hommes qu'il a signé lundi son décret, parmi lesquels le vice-président Mike Pence.
M. Pence a été en pointe d'une longue lutte pour tarir le financement de Planned Parenthood et, alors qu'il était gouverneur de l'Indiana, a adopté une législation locale très répressive à l'égard de l'avortement.
Donald Trump s'est par ailleurs engagé à nommer très prochainement à la Cour suprême un juge farouchement opposé à l'IVG.
À terme, a expliqué M. Trump, le nouveau rapport de force qu'il compte instaurer à la haute juridiction pourrait déboucher «automatiquement» sur l'annulation de l'arrêt «Roe V. Wade».
Des millions de femmes ont manifesté samedi en Amérique et dans le reste du monde pour «adresser un message fort» à Donald Trump et défendre leurs libertés en matière de contraception et d'avortement.
Source:
http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201701/23/01-5062309-aussitot-aux-commandes-trump-sattaque-a-lavortement.php
dimanche 22 janvier 2017
Mouvement massif anti-Soros en Macédoine: Stop Operation Soros (SOS)
Une nouvelle initiative appelée Stop Operation Soros (SOS), un mouvement dédié à arrêter le mal causé par le milliardaire mondialiste, Geroge Soros, a été lancé en Macédoine.
Les fondateurs de SOS ont appelé les citoyens du monde entier à "lutter contre un esprit dans le secteur civil conçu et dirigé par George Soros". Le mouvement a été mis en place pour exposer les «activités subversives de toutes les organisations de George Soros.
La Hongrie a également pris des mesures pour réprimer les organismes financés par Soros en leur interdisant le pays.
Selon Nikola Srbov, chroniqueur au portail de nouvelles pro-gouvernementales Kurir et co-fondateur de SOS, les ONG financées par Soros ont monopolisé la société civile en Macédoine et utilisé leur position pour supprimer les opinions dissidentes. «Nous avons assisté à la prise du secteur civil en entier et ses abus et son instrumentalisation pour atteindre les objectifs d’un parti politique. Cela est inacceptable et va au-delà des principes de l’organisation civique», a déclaré Srbov lors de la conférence de presse.
«La Fondation Open Society, opérant sous l’égide de Soros, a utilisé son financement et son personnel pour soutenir les processus violents en Macédoine. Il a monopolisé le secteur de la société civile, poussant en dehors toute organisation qui est en désaccord avec l’idéologie de Soros», a-t-il déclaré.
Un autre co-fondateur, Cvetin Cilimanov, rédacteur en chef de l’agence de nouvelles MIA gérée par l’Etat, a accusé les Open Society Foundations de Soros de porter atteinte à la souveraineté macédonienne en travaillant non seulement avec l’opposition de centre-gauche SDSM, mais aussi avec des intérêts extérieurs. En coopérant avec les ambassades et les organismes étrangers tels que l’USAID, Cilimanov croit que les groupes soutenus par Soros ont interféré dans le processus politique de la Macédoine (…)
Un troisième fondateur de l’initiative et rédacteur en chef du portail de nouvelles Republika, Nenad Mircevski, a déclaré que le groupe travaillerait à la «de-Soros-isation » de la Macédoine, faisant écho à un discours prononcé par l’ancien premier ministre et chef du parti au pouvoir VMRO-DPMNE Nikola Gruevski en Décembre. Dans ce discours, Gruevski a accusé des puissances étrangères et des organisations soutenues par Soros de se mêler de la politique macédonienne.
(…) La Fondation Open Society (OSF) a été mise en place par Soros, d’origine hongroise, entre le milieu des années 1980 et le début des années 1990 dans le but déclaré d’aider les pays de l’ancien bloc de l’Est à faire la transition avec le communisme. Cependant, en dehors de son soutien à des causes progressistes telles que la réforme de la politique des drogues, l’OSF a également été impliqué dans des activités politiques et Soros a publiquement soutenu le renversement violent du gouvernement légitimement élu en Ukraine pendant la révolution du ‘euromaïdan’. Cela lui a valu l’ire des autorités russes, qui en 2015 ont interdit Soros et ses fondations car il était une menace pour la sécurité nationale.
Soros et ses fondations ont été soumis à un examen aussi ailleurs. Dans une interview avec le 888.hu portail Internet en Décembre, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré que 2017 entraînerait « l’expulsion de George Soros et des forces symbolisées par lui. » Orban a accusé Soros de saper les frontières et les valeurs européennes en aidant le flux des réfugiés et des demandeurs d’asile en provenance du Moyen-Orient et ailleurs (…)
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